toutes les nageoires -sont noirés ÿ d’aiiteute lé nombre des
bandes, tranëveiisesîsuffit pour le faire reconnaître.
- Bien, que Wilhighbÿt né paTle.tpas couleur . Bei
nagepite&idu; pôissqn qu’il a ^ t s ^ s dès yeux , M surtout
des? ventrales^ n©u«3eri)ÿc»ns flepai^aDt, par les 'fiultes dë-s
tails qu’il nous donne, àpsdnèarticle -du?.sparus, q-u’il a'
entendu parler de, nôtre, sparsâllon, d’autant qu’il popie'
(pl. 5,„ n.° '>%) la figure de .%lyiani:'Mo«ste^pï»-|î®y§f|terfI^
qiie- ce poisson est rammun dans!* la» mer/Adriatique^idt
dans celle de Toscanep-îld’sssocie/poür le goét à la daurade,
tau sargue et en general aux autres sp a re sJ'5
; G’est' d’après ces données!qu’Artédi introduit lesparâil-
lon... dansïisesdspares., avec* la£ipfeïdSev; ^Sparus uni^i®V
flavescens, macula niovu annulari dd caudairi f
sorti ensuite le sparus annidaris de teinnaeus, mai«Jfavèé
la substitution impropre du mot rreello pour màct/lai
Copistes ici, comme en tant d’autres endroitsyde Wil-
lughby, ils ont tous deux conservé le*>fâux synonyïhe: d’Ate
drpfaiudn-t 1
A cette irrégularité Brünnicte en» a fâjouté une autre*2. Il
décrit «wtetemmen t nôtre.sparaillon, maisdl lui applique le
nom du ntetrui
qu’il donne celui desparus amiularis. i <
Bloch un pas démêlé, feette confusion; ce-qui rfôûs
étonne d’autant moins, qu’il m’a'pas cdhâü de s^rïfillo'n!.
Sa figure (pl. ^us)|est Icelle d’une dàura'de‘ ’que nGus!iiê
possédons pas dans notre Müséer W-
compilation des.dire®-auteurs quîldnt parlé ôüèrd ‘p^ ]ë r
du sparaillon : elle n’est certainement pas..fkite d’après .ua-rf
e ; 2. Pisc. mass., p. 4 o , n.°&§4;;
taréÿvet%ilia en tassé à cet article,jsans aucune critique,«la
sy nony mip la »plus - disparate, v
/ %#I&*Schufeider;!sést.‘;kp'eï!çu ideïce désordre], et fait remar-
1 quëiiôéonsbien■Ê&jisfaamiis. smaris de Brünnich diffère de
cèluMde Linnæus, mai«, sans s’apercevoir que c’est Y annularis:
p
M. de^S'cépède n’as fait queîfcopier, Bloch, et son sparaillon
nîèst ipas,optes lé spkvrusrs annularis de Linnæuè et
d’Artedi^- quê^eeteii| de Bloch né peut'hêtre. ■
-si^ ’esfe aMmdfè»Laroche Vqui a le /’premier débrouillé ce
èhaosdanWon Mëmoire^sur, les poissons desdBaléarés. II
J dpnnebune-figure exacte (è*î une,dlorine( description, de
l’espèce.antuellé^ia Teoonnaît pour le sparus dessichtyo^
logîstes dû seizième siècle, patooniséquent pour le sparus
annularis, de Linnæus ,^éBporuT»leî smaris de Brünnick
ï^ïèlemnnfeîil-n’a pasi^éteussi heureux îen interprétant
Yannulariÿtàe Brannkh ^e|t îèm l’associant à celui de
Btecte,Kp®ur des éloigner,>t@ns detax du isparaiilon. he sparus
annuSdris dé Brünnich eSùæetei-là; même qiie î|Æïî de
Laroÿ^lLéffit,^ômme|;«niodveau sous le, nônd de sparus
peuMrostris§ ou le. cA«ra,r.
-jiM^'de^ârocherncais-âpprendiqna Ivicaet àf Majorque
on nomme: le spakaillon esparàÿ,. qu’il g est ? littoral, et. ne
devient jamais grand; qu/om te troiive aussi dans tes étangs
s a l é s p e t i t e . » d é de Tbrmenteraÿ ét que-sha dhair --est
peu: estimée. <
Ipipj Bisso,,îidans tsa>' premdèiw édition,, trompé apparemment
p ar le texte et, la .figure <|e Bloch, n’avait jmsreeonnu
l&^o^wr annularis, hien qu’il^fe-possédât; mais itehavait
1. Ann a l esMu s éum ,4 . XIII, ’1. Hist, pisc., p. 3o8. p. '342., pl. 24; % . oeÊ