a fait le premier de ses pagres sous le nom de pagrus
bugaraveUa.
Ce poisson est cojmmun dans.^oute la; Méditerranée.
Nous en avons un assez bel individu, que M. Savignyva
pris à Naples. Il se trouve'aussi, sur les côtes d’Espagne $
car M. Bâillon nous -eu â- donné un individu pris à Malaga.
Nous ne voyons pas qu'ilcerusoit fait mention dans Cor-
nide; cependant on le trouve aussi sur nos côtes de l’Océan>,
et ç^-que nous n’aurions pas pu déterminer sans le. secours
de M. Gàrnot, c’est que le pilonneàu\ ou le lagadec de
Duhamel (sect.1^, pl^i, fig-1 ) n’est autre que lé bogueravel.
L ’individu de Brest qui nous-- est VeniL-s'öias le nom de
pilonneauj ne dîflbrë^de ceux de Nàplès que pm |in seul
rayôn épinéux de plus '^If^dofsale ; mais co-mnJ^ib a un
rayon môu de moins, nôussavons’ vu-à^ez^ôùvëilrbette
légèreunomalie sc'répéter pöur öroire qu’éllè^ne piéùt faire
un caractère spfièifiqnp.
Le hoguëràvepsï2st: pfusCeoprt que racarrie.^fia hauteur fiat un
peuonrioirié dhdïèfs ,alpflorïgulSK. LaTére%stlpltffwiiAè.1'ïfêjnu-
seau plus obtus ; c é 'qui reüd let’Söul-otbitaire' plus1 tWiiïi rtlli Jig’rie
latérale est brune et droite’dêpüisdé-surseapufâire jiJsqn’àpàUqüem'e.
D. S/ll ;4v' n 0 ; fTy V?fSÎ;^
Il n’y a pas détaché, dans l’aisselle de la pectorale. La c0ijl|ué
paraît d’ailleurs un peu rougeâtre^sur tljs/dós*, et la^dsors^; est .finement
lisèrée de hoir. Bsunnieh uit queda ■couleur de la jtêie est un
bel argehtë, ’devenant’plus' p â le u r le corps, qui^stV sansi/Jaqhéi
4« tié dessin colorié, que nous a'gË^JYL Mi^sU, le rend vioMirepur'
le do.s et jaunâtre squs le ve^traLés nageoire,s impaires spnt peintes
en rose. La pectorale et lesVernrales le stfat en jaune.
Nous ne pouvons rien dire non plus^dés vispèrés a elcé'pagel.
' fiôn squelette ,:hous bffirë vingt - dehx vertèbres, doht dix portent
'■ des côtesé! r
Le crâne :est p lu s ^ r o it entre les yeux ,• çt les crêtes sagittales
;i. sont p lus recelées encore qu’^ Jacame . Les deux crêtes latérales
sont pluSptrefêvfes.. .
i -^ms findividus sont longs de sept pouees.
Le P agel a -.museau j^ourt^ g
(Pafeellus breviûèp'b,. nob.)
, r.Nous ayons un Cinquième pagel de la Méditerranée, qui
nous parait diffqcer dgs nréçéjdens -
-.pàr l'e museau plus court, par le profil,du dos plus arqué, et par
la lignp%téraler qui n’est marquée <ÿ»ç- d?un simple ■ trait.
§Ja:fl?Jé cl ÿ lpur paraît avoir éijé,uniformément argentée , avec quelques
Jîgri|s fines et brunes le long du,dps. .
Il iry â f . soit "derrière l’ouie,-£oit dans l ’aisselle
de l a Jpecto'rMe^
D. «etc. |
H Ce l l l i f d ts Mêmes nombres ,qü!aùx ' pm;eâëfjkV H
Nos individus ne ;sont longs .qpe de cinq pouces, et
ils ont « i p r i s ÿ ë Marseille par M. Delalande.
,fi^,es| de;,,tuu^uj)||^arQidês celui qui répond le mieux
figure qi^e.M. Risse a donnée dé spn aurata bilunu-
lata ( a i^ d it.,^ . I II, n.° sa description laisse
'^ a ^ ^ ^ d u ^ o ù té surd’idçntité.Kdes deux espèces.. Il parle
d’une ligfiç latérale marq^ÿ^oe qui paraît mieux convenir
aux, <|eux $ag$Jfcpijé<î4de«s. • Il donne à'sa* daurade bllunu-
léë une douleur argeitéeyifese sur le doëyle museàp bleu,
e t deux ërpissans -au-dessus des yeux.