l’anale jaune pale, :M.f caudale rougeâtre ; les pectorales orangées.
Il y a du jaune sur les vèïitrales. 6es' 'couleurs diffèrent peu dd^flles
qu’indique M. de Laroèh'e», -qui l’a observé frais à Iviçàririldil que
le corps est gris»argebté, foncg^sur le doA-et;cfairiiur le vérflre.
La dorsale est grise comme le dos; la caudale fest grisé, bordée?de
rougeâtre; lès autres nagéoires sont jauni rOugeâtré. V>
Le foie "est très-petit rée-ne forme presque qu’un seul' lobé $ü;ué
sous l’èesophagé. l à vésicule- du fiel est petite, pointue en arrière,
ét cachée entie le foie %t îevteêté droit de l'oesophage.1 -
L’oesdphage.est long, et détermine par un petit iufc fè -ià ê r Au-
dessus est la branché* montante f'dé l’ëstorrikc-, qui5 est renflée-, globuleuse,
à pdrois minees et transparentes^-Il y%‘qüâtre appendices,
coecales au pyloce.^Le canal iptèsjaàakfait deux replis % peu ê è distance
lun^âè' fautre. Le ré c tù h i^e st-tlê^ l^
La rate-étit petite, alôrigëé, de.ehuleüf $filr%î E lf e é # ^i^é’é'Sur-
le duhdehum à d ro i^ d e
La’ves^e aérienne ’est fgraïîdë|S^p'arois ’s^në-min’êës? et brfMntést
Elle donne en arrière-.deux pointes A rg u e s,, «ii'gu’és,,-;qui&pénèYfent
■ 'de èhaque'cdte 'des'-lntèrQsseüx de^llîÈÎÎale' d'anÿ-l^®^i$êsV'dé la
queue. Le péritoine - 'éstt'krgëntsëi; ; î
Le crâne-du picaTelfest aplati, fet rfâfîqheifà^^pM^téfe«nuV(^énne
éléVeè en une lame triangulaire mince et ëoUrfè. Il parKle^Sÿ a ^;
antérieure’ deux arêtes qui sV tendent, sui le front jusqu Aia-dèl.ïhlës
yeux, et qui servent à limiter la rainureid^n-Sglaquelle 'marchent
les branches' montantes, de l’intermaxillaire.
Le sûrscapulaire ëst'Jpelit, -.é|rSitWéf^a^#ei‘4enf a'vani?11, *
Le sCâpulai’rè nè forme'qu’une lame assiz mince ^gui paraît'sur
le poisson entier comrhe’^pfe' sîmpleléÇcfîlle.
L'humêral'et? le radial sbrfcf ïèprtis* Vérifié’haut ehr une grande'
etflarge plaque mince, qui forttie la plus -g-mhd^pàî^e'wM'iliû-
ture de la poitrine. Lé radial-s^e termine eh une‘pointe aijmté^sjsëâ
fine.
Le coracoïdien supérieur est triangulaire, klonge,lj;es^ipihe<:*j>ar
son bord' postérieur. Le s'tyléal oui la' pOrWon îmeriëùfé du
eoïdien ser prolongé éh une pointe longü'e'èt trè s -a ig u ^S a face
externe est-lisse et un peu-coppave; sa face interne est relevée dans
le milieu par upe arête .assez forte.
’■ |k^a%ingl^tr^is,y;^|brfes.’dont dix sopt abdominales.
Les *^|y%sont giêles,' âssbez, longues." La dernière est courte, re-
. rejetée en arrière; elle s’articule par sa ppinte avec le
troisième inter épineux' di l’anale., et'ouvre ainsi le canal aux cornes
de 1^ ypssie aériennes^.
"Cette esp’ètsl>, répandhesdàhs’liîbute la Méditerranée >'est
shîvâ’nï^Bélon le manda des Cntecs modernes. De^uatu-
ralistè’sîde l’expédition ' dfe' M o ^ ‘ Kônf entendu appeler
pcèïviïoc par les pécheurs du golfe ipM o d o iu Ce serait au
rappa^tl(1d!e, -'I|el<'4gî le giarret dqs Marseillais , pu suivant
Rondelet le :c,er,res -ou gerbes du même endroit, et le nom
de picarel Iul serait donné; sur d’autres cotes de Provence
e t> sui? -celles icDEspagne. On le nomme i suivant M. de La-
roêbë, jâ ff e ï a Xtdhàyét caramel Rut une grande partie
A Tenisè'on le nomme ^iroli ou
gerh/Çselon Rondelet; mais M. de Martens ne lui donne
que les noms jie mendia bianca, d'agon, ftishia et jdè
inaridoïâ. 'Ch iiernier juppelle le marida de Bélon.
‘ Ce ^ p lr è l vit pplfjefu rivage ,^se’"hoûrrit dë petits crus-
a j B ' n jê ^ Pm d n d a n r a Iviça qu’il forme à,lui seul, selon
p lu s s e la moitié du produit total de la
n'êî||oe’ de !%ej.iè,t.île.' Rondelet #ssure que lq u expose le
j|§E&érà l’air après l’avbir sale , pour en faire une sorte
de'garum. Il paraîtrait même que le nom de picarel yi&a.-
.drait'tâni-gont piquànt que prend le poisson ainsi prépare.
M » Duhamel noüs^pâràit avriir redressé cette erreur d a-
'bbservatîonè de£Sbn correspondant d’Antibes, au
rapport duquel on\urait»)nfondu;a|y^c’lè picarel ou le
pitrel^Antihiéa un poisson du genre dea harengs, proba