| un fiséré.noii;. fia caudale-.eâjtyJnatbgeàt.rft. Les,antres nagqoHfesjsont
jaunâtres. La-joue, J â | qrçgemijée?-Il. jtfy jde raies sur la t^te.„,
D. 11/13 5 A. 3/7; C. 17; P. 16; y. 1/5. .
Cette nouvelle espèce a été découverte Par Qw||f:
et Gaimard. i K©tiSfipi||ia®oiis qu’un individu
ptmdBbg
Page 322, après Justifie Ûe laJi&içope iofÆ^%ajoutez-:
L a DiAtfflpE Àxi
gf|[jj D içt&ÿjj e Q^illarmT"^
M. de Ketlitz nous’ â-communi^déllëM^&id^uiùfie dia-
copè dé* des '
qui a 1€lÆ@|ks..(Vxui te.ui uyrge t amdn^^uc^fît
formée®' d’unç àuite. 3 e pointsSî^^k Les nage» tjjr&wyç mi-art mqes.
plus fayi<^|:yteefR| iOEps, bordées (lu.d^Æ^^yV'UmJis6t%hl,-ulo.
La pulie epiney^e^de la^'l.orsale
à la base de la<neet.ojpfea qui,es.tAe|lfe|même oram^A^ Ges^iiiojnln (. ■>
- H : D. B | l .
{i^Ç e tt^ l^ ^ cH ;a d es.plus gwn dffia m >oqi la dimfêpe
marginat&jît ldL diacppe striata ; elle tienKafes luné ffit
de 1’aujre * -intermediaire „entre les d o u x p
mêmfe n e^t-^Iè?çpi’uqe j |àrinté de, la margiiiata'. N^c^^îs-
son avait presife sept polices,
Nous rapportons a/cellc Cou \ariel(l uu
pqjsson que,MM. Quogl^t Gaimardr;viennent ^deiiffoiiver
aux îles de Vani@jd|M&î
Il paraît dans la liqueur d’un brunlr%ifgèâ.tre, pluæfen^&Sur le
* dos, et une s.uijê;||(ffpoints blançS fQrm'ent -desr-striés; obliques fsmn
. le dos, au-dessus de, ladigne;J*t^l©^mais :eUe«inecdesjceuderi^pas
au-dessous de la; ligne latérale,^e qui la distingu^de^".diacope
striata, .chez laq®el|^les .striesrdbscèndent jusque sur les flancs.
«ST v e n t r à î ^ ^ f f i » o n de MM, Quoyigl Gaimard sont jaunes.
Il npfflf paraît fWàlemeMftprobable que le poisson de
»aM cÀson décrit au^bommlbjcèmènt de notre article sur
la diacope ma^ginatat{t. IL. ph%^?W st le même que celui-
c ï^ tc lo rs il faudra^r^r.vS ^ m lementde;nom de diacope
lô-cfr^inata an. nois&on^^pPondicbefy, (jui a des couleurs
M | j ditfe|3ǧ,^ d’a | | S c è quë fnpus apppéndM. Leschenault.
, -^Uer 11 r 4 r
.m p ie ro pAëtte^es-pèce diacope dxïllaris. L’in-,
dividu q n e i ^ t ^ ' ^ y et Gaimard’ ont rapporté a plus
de b^iiêyM^e^ rlf
i ( ia^ui^M-.-f-à^tipn à- l’ari|;ïC|lie W diapope à quatre goujtesj
s7ji|. R up«iWtrouvé auss|j,c^feâ|S|0n dans la mer Rouge,
et%f a i i i ^ ^ ^ 5 ii4‘' q t a c h e s " en grandissant,
WË q^ ^ %^ ^ h ^ l|ksMadulte^ il devient la diacope bohar.
' dCiaiz des aeux ésp fek devra donc être rayée du
cataloguiez i
Pag^iaH, ap r ^ n^rtiore de.K aiaçgpe>calvet, ^jputgz ;
L a DiA4|gîft'.Ar;VÈNTRk!Ées jAUNES.
; ■( Diacope\$avipes.,' noh. ) ■, :
Ges t naturalistes qui ' ont ^Ê^mpaignè le capitaine
, cl’Ürville ont pris aux îles.^amcolo une diacope
d’une îlpMÈG b^ine 'IW e , . uniforme et sans taches, comme la
diacope caheti. La dorsale à une.làr’ge bordure.noire..Les ven-
traiesûsôàt jàutief? La caudale esï tl^ rem b ru n ie . Le corps est beaucoup
moins haut que celui de la diacope cadet. Ses nombres sont:
- D. 10/14 ; A. 3/8| etc.
-je-j-ilos individus ont cinq à six pouces de long.
~6. .