Bloch croyait avoir'reçu cette èspcce du J a p ó n ;'mais
jl est probable que, cofiame tant d’autres qu’il dit^japo-
n arises , elle était venué de^J'aviv
^ 'tom m ^ so n avait dit c é j jô i ^ b rare à l’Isle-dèVFraçLce^
et d’un goût agréable; M. Desjardins nous, a^ure ^ c o n traire
qu’il yesç.assez commun, et quonxy regarde Wirane
un manger peu délicat. ?
; ' ’ L é j G eeeèé'®0 R D Ér ' : :
. ^Q0,er<res limb at us, ~ nok.*) B1'
M. Dussumier a ra p p o rté d[e; la v o te de Malà^âr .u n
ge rre s,.trè s-sem b lab le a u rb re to n ,
qui a J© bord de la- caudale noirâtre, et düinoi-rî lv^ongiifù börd
,'fle sa-dorsale, surtout jdg J&j parti&fépineuse efevugBS/sn poirite-^mais
qui du.resteJfâTp^enté, et a-les^na^cm.res' ja'ujiai iv ^ S^j.mteur ,est
i ÿrqi?,û)is et d^ns^^.,longueur, t^ôj$jj^ng|
9 aiguillon de ,sa“% ^ a® |..p e u p i r> 'd . B»! ■ -V-,. Txh j bjîiw^îtr
éeux fo.ip et demie -d^^»<^ le- du-cmps,; ^^mèrrânt.'atóuies,
Leur'làrgeur .esFsept tollmans l^ ^ S m e u llïr ^ ’ÔeuXÎèfn^^pB»^
estfti;ôiS'l©i&'lrîpeû^l!|s5'â h ! ^ î& § ^ ^ t r o i ^ M L ^ « f e tv " È 'e
- troisième égalële deuxième en1 îéH^ùeujr-, maisfnoa^èd1^rb^efîrî^r^
b <ÿ;à de dentoure' hi au préop^r^clli,m âi^tdii^èi^îtaîPl^iEa>
partie visible de son- maxillaire'’eist-’un* pêti-pius^etf-oitba Mi'opor-
tiottf i&ais , au toral^jccfe di'flfereuces-sontrasSëz pe& fcèàisïdèrâÉfek
pour iqu’-on rpjg^&.les - regarder tfco^i^fe £,ne faisant peuhrôtré
.■■ qu’jw^ valiéipf,,-
. Les individus ^ p t ^ n g s ’de-quatre npqqpsv ,r
M. Bélengki a trouvé- ce^ohêm;® '.gÿâroednrô la côte de
Gomopoundièl dapa la-rade ^d'e Pondichéry,, d;où il l a
yo&é au Cabinet du ÏLoi. î
L e G erres brillant.
( Gërà&M luciâus, nob.)
M. Baynaud- a .rapporté, de Pondichéry une petite esp
è c e encore extrêmement voisine des deux précédentes,
. ibais.rquï' paraît avmr K porps plus court!,la ligne du museau à la
dorsale plus droite!; "les “épines de là dorsale moins arquées. Le
Gcörps est to^t^-ggemhb très-brillant. Le dos est un peu rougeâtre.
La Gaudalef-n’a point de bprjd noir, ,et,la dorsale n’a qu’un très-fin
L # ventrales soât' jaunes.
' D. 9/l'0 '
Nos individus n’ont que trois;pouces.
■ . L e GerMes ’
éTT&k subTmïÊtitüs, nob.)
P a rm i lés ^ r r ’es- à aiguillons grêles no ù s e h distinguons
iïïh qtfi ‘^ ‘ê^ë^rapporté d u p'jjirt Jacksoiï p a r MM. Qhdÿ* e t
GaMwardVy.
et'-q-iln'lW^m.B-gwdes' flancs, six p^ sep t lignes ou bandes étroites,
verticales, brunâtres,rlss'éz peu apparentes, du moins dans les indi-
•'* %iMtis icbbsepvés! dân’g^Kliqüeur.
, Sa' toiiatpjU; «St' trois' fois'-ïdans*sailongueur totale, son museau
plus court \h proportion qu’aux précédens, saflsête plus haute que
1 longue^ .som.>fA oa^plutôt -reothigpe-j,ou nxêm,e-un peu convexe,
| qiu* enfoncement triangulaire entre les yeüaS; sou
soûs-oçbitaiip presque.rgctiligne, san^HenJelure ; ,1a partie visible
de son- maxillaire- plus large en, arrière^^opiréopercule entier et
' 'ssms âèjftelû|&, Il n’apÆÏa doifsale\ç u e des rayôns grêles;. car.,
'** bien' ' qM^flti^isiême, n’afe que momeMé la hauteur du çorps, le
diamètre .de sa,base* est plus de douze fois dans sa longueur. Le