L e S^ARpUE AKG®K>j »(
f SàrgüTàPgeAééuSj nob.)
L e Brésil a u n autrV Sargüe
à museau avancé,à dentiS MèiêiVèS'petites'ef-proclives; mais pud’on
ne voit plus qu’une large tache noire de chaque cqfede la queue,
le spàràïMn.’ S® nanc^ 'paraissent avoir ete argentés
et marques1 ’d’une viifgtânie de''lîgn‘esf>lôiigilüdihalesi grisesY 'qùi
s’affàifeHssent'k «hé^urè qjik’élles sont plus près düventre/fLes’
geoires fSbâjfc' grises, à l’exception des ventrales , Jtinrl^iéore!
gardé, leuç couleur noire.,
: D. 12/15; A. S/14j C. d/5.
VI îfes Jmolairés- *de eejlâïgué Soifi? petites;
O n en d o it le s individus au zèle dj& M.’Delalandé, Ils
o n t h u it à n e u f pouces d e ldhgueur.
L è S argue â ' ’£i,ëNE,s
i*) t{i$w'ëi4£'flwolfyçfiPsys>• pp p-D p ■>
U n d e rn ie r sargue d ’A ia éiiq û e a .èïéiP^ch.uvert a San-
Iago d e Guba< p a r llnfortjan^ jGrfemi ^
’ Il resseniblè à l’argenté, mais s’es inçisRes^sont lar'ges’ët implâri-r
tée*s droites sur les* mâehoires^Les'inhMîrès 'sont' dè grandeur, médiocre.
La parue épineuse deSà dorsale- espassezûlevée, et c’-'eîstj de
tout le genre Gëlui qui a le plus tiepifîes à ifu'orwe?
■ ’ h: à j tî■; A^Wfts'c.' h;1? f i
Dans la liqueur il pamVf\FPn^fi|Éiî%r^ji^^®
dinales grisés*, et n’offre aucune trace de band^;transversales sur
le corps ni de tâches sur la queue. D’après le dessin colore sur le
vivant que nouüs Wons te^ù^âe'k/'Chôrilj^nOüï savoîis"que le dos
est bleuâtre, le ventre, argenté, Jet que l'es flânes sont rayés en long
A de treize à quatorze^lègnes.ijaume doré sur le dos, et presque effacées
' sur sSut/y entre. La dorsale est. bleuâtre ; sa portion molle un peu
, rpugegâr^ La caudale et l’anale sont rouges, les pectorales noirâtres,
et les,ventrales grises.
;,,t L’individu est loljgjde neuf pouces,
i n ’avpns pu ri^y|rideCses viscères. ,
Suivant M. Chorisq/pnle nomme grand-goré à Cuba.
Le îS^eguè de L’A scension.
1 ~i$$‘argi{s i^cêj^sf’oni^,' Uob.') ' ■>'
^Ænrn,, nous 4 e™ s encore à MJ\LQuoÿ et Gaimard un
fa&uè, fort semblable à nptre argenté pour le^ qpuleurs;
Rimais, q à fa le coijps plqs jél^vév, le museau plus eôjijiTt, les incisives
plus larges et plus1 droites, 'et.les molaires bien plus nombreuses;
on cti compte facilement1'quatre rangées à la mâchoire sugé-
’ rièür‘e"et trois a l ’infériéurël 7
(3e pth^sdn p^rah^ètré'd’u n ^ n s ’argenté'(assez uniforme, Ikihle-
meht rày# defligneâllongitudinales grises. Il y aunM^flèrioirpar
flptt^erside la queue, et une.bordure noire à l’angle de l’opercule*
D. l'2/13:; À. 3/14; G. 17; P. 16; V. 1/5.
Ç ë s aigue de rAs:ceilsioiti est 'long de dix porices. •
,{fLes c^tes'1 d e 'l’Amérique sur l’Atlaritnÿèè produisent
deux pdisspns qui* à tous les ' caractères des sarguès, tels
que nous venons de les décrire d’àprè^ nos espèces d’Eu-
rdp^ypign’ént ' d'ès incisives éèhancrées^comme celles des
gl-yph^odons, avec lesquels’1 cependant on ne p eu t pas les
confondre;, car, outre les différences dans les formes-géné-
râles ]>Fês glyphisodons n’ont pas de molaires rondes derrière
les incisives;