: 'Notre individu est'l©ng d& r^ a e
Nous n’avons pu rien voif de l’anatomie ae ce poisspn.
Page 362 (supplément), après"PaVrole'de Yapogon à nagê$res*rctses,
ajoutez : -
Cet apogon a *ëté-;â écrit isut-*d-©s individu^» P©>t!i|er-fës
danS^Pbsprit de vin', 'ën partie ^dfé'Êolclrësy;;
Ceiiàn par M: fcèsdienaultf en ^vi'ifs : de Semblables
que MM. (Quoy^ .Câiinard ont pris^'Âmbômël, jp! quilsl
ont peints d’anrès le ’frais., t
c Son ceeps-jèst uniformément -jaunâtre',, à* i’eflets doidsàiHesina-
rgé®irës?sontMnougesv®î^arg^oei^Jfe»G^r eMopr'e la ^uMêJ:Bfeux
bandes violettes vont du boufedu^mûsëamisnir #opeJcule;i'en^pas-
sant à'travers ,l7oe%JLJne facile d&la meme' epu^m-- séfpliit le Lin g
du maxillaire guptfieîif ,* et une bande violette~Eègnèjlfe^foné-Meda
' vbase rde Pana)le.fcEpsvdèux .traits dé lioêil>s’effaeent ; la bande vfüTette
de. la base de l’anàMme«paFak plus .-que -surf la ânémbranê^ >©£ ƒ
, formetudêssuîtejde pointssn@i®?s»jl!ie»e®éolénîoir sde la quejie ipâlaît
seul être inaltérable.
Y'Çe ’nouvel examen nous confirme dans l’opinion que|
ce||er e s jjjy diirgre^e^edf- ,<lue
pb&ervjépt,.(pt que d ^prèsu l%ldeac^ipti©n^ou leslÆgures
qu’il en a JbisséesyiM^iie' Lapépède^:. rintrofduite Æré i *.-d < > b
da^s àpn Ichtydogié^ons -trois nofegënériqués différent
TOME Q tF A T RI È ME»
Page 1 6 5 ,üaprèsd'articlelàéù’üspiéojfHojt&à unezmle>'d&rstiky’<fâ aspi-
doph&übïdB fàSïacèp'etit&i, ajstufêé? -
Depuis que nojis.-aynnsppublié, d’apr.ès Bloebj.la^âourte
description de l’aspïâpphore à unexiseule .d©rsâlé^è nous
flvohs pu là rectifier et,la compléter sur l’exemplaire même
pN B'eriitr, que M.-LichtéiiHeïn a bien voulu nous com-
inpniquer.
Le i$gr-ps a au-devant, de la dorsale une forme prismatique, té-
trsàdrejjtmais que l’on peut';diré «aussi octaèdre, si l’on veut, eon-
- sidérer -nomme des iafees .séparées ,lesi -divisions des plans latéraux
et du|Sessous du .cprps paroles arêtes, longitudinales qui relèvent
les éoail-les.: Ennatr^ères des deux nagéoires verticales la- quelle-est
. hexaèdre. La plus-grande hauteur du,.corps; mesurée aux ven-
^ ^ s& â ^ j &içîle -quinzième d® la ' longueur totale. La longueur de la
têtelïiSest qûe Ie"septième de'celle-idu^eorps. Le’casque du crâne
‘ ^ t .nreuâéjnri gouttière «sur la longueur, .^élévation des crêtes
n3‘S0»eî4i|èW^rqnd;>le‘<sillôn plus!profond -entre les yeux.. Le casque
f%rÿS®argit un peu-en arrière,- et Aura ç* un "léger- sillon au-dessus-dé
Ji i ’artipidawm de r^,pe»ouleiqKeeilièsb^rand;<son diamètre égale le
quart d e là longueur.de I g g tê , et la distance du -bout, du museau
à ramyséantériëWdé P o ^ tte est égale au- diamètre. Sur le bout
- -dm'«musea-u[ ibyKæ deux ,poinbës^cïf©fÈ^ë4 -.comme dans l’aspido-
- .pkosresdje Sbqs ;cètjes.*- lâai-dessetef ïd’eùcçs pointes sont les deuy très-
. • petites ouvertures de da narine ; l’améiieure est une-fente-loagitu-
„ di-nâle. -Li|sonê^di3Mt'ai^e antérieur est étroit et peu caverneux; le
;'4p'#tférieür s’étend derrière1 l ’inil'-sur la joue, il est un péu relevé5en
w .ca'rièneïfih'ïiqiiae *Vers sa"portion inférieure. Le pféopéreulè est étroit*
bèpOtCufe, un peu- renflé y est -petity'li^ efes-operr.n.lê l!ést encore
davantage ; TinterOpercule fos^etualë. bande osseuse.; aplatie -derrière
Sa branchëjde€a^mâ-ohoirê' irféi-iéups,-i Le mUsêau;, obtust et
arrondi, s’avamee au-delà ^ ’ouverture de da 'bouche. La fente [en
< est-petite et en arc de.; cercle; elle' né dépasse pas lé bord antérieur
de l orbite. Il y a sur chaque inâchoire une -bande étroite dè dents
k ^nsifqpe sur les palatins e t sur le devant du vonfer.
Si Les? ouies sont très-fendues-pearÛk membrane brancMostège est garnie
des six raybrîs^.
Il y a sous la gorge âne
^isénb^dle %iâiq'-ëcâSîes étroites j alongééè/’échancrées sur les gâtés