GHAP. I. S ARGUES. 35
!d _M&d$“celà$m4ne’ prouve que ce sparulus n’était pas le
sp'arè ’si' vafdë^pâr les Grecs;'" 1
Qiiknf ïfe l‘fÉ t ë ç î , ê!st toüf-â-mt arbitrairement
qu^B-azaPra traduiï tantôt paxjtspargus, tantôt par jlu ta ,
tan.tqt par SqMt a r i f s qu’^rtedi lui rapporte le sparail-
lqn. A rjsço^ i^ ^ t 4aps, lin encjapit , q u ç ^ guàs pond ?en
jg^é^îdans un autre-(1- YI,t g* i y)j que:c’est au printemps,,
et surtout aux envirqns dfe l’équinoxèp dans un troisième
(1. que lés"'salétès'',jetêés des navires le mettent
en fuitë pa^ leur [ddèifrv
f ’ÆlieWf,m^te,nd' q u ^ ^ t un prudent, cpii pen-
Sâdf cq ntrë^s^semblables
pour se rephaüfFer, et au printemps fait de grands trajets
P^ur-»enrober*U$ie pourriture ch<MSîe.fj «
Il ny a- rien là.,; comme on voit, qui puisse aider à mèftïi-
na®ÿ:ê une espèce, mi qui puisse ^pnduire à l’identifier avec
le lip^rüël\
, Le- Sarguæ vimiLXiE.
(Sargu&^âê’tktdj 'ixéb.')f; &
Àf># ’s'-ti^> is,e |^ ^ àe la Méditerranéë, plus ou moins
distinctement décrites par plusieurs iebtyologistèsnous
enajoulÉroûs Une quatrième,’^tii na pas échappé à Rondelet3,
mais dont Willugh^y seul4 a reparlé, et seulement
d’après Rondelet.. Elle forme cependant une espèce bien
re|klç e t Rjen distincte,, qui égale au moins la première en
grandeur, mais ,qui <se fait, reconnaître aisément par^ ses
dents plus nombreuses et par soir museau plus obtus. I.
1. Hist. anim., 1. Y, c f r f . —‘ 2. Ibid., 1. V » s 46. — &• Séants, Rondelet,.
I . Yiy-cV 2 / p'.- ï 6 ^ t— 4. Wi‘llugM>y; 1 .1 , pi 3o 5 , S- 11 •