CHAP, XX. MEND0 LES.
\ CHAPITRE XI.
D e s Mendolés^ (M æ n a , nob.j
, Ce qui distingue ^éminemment les mendoles des pica-
rels, des^eaesi® et d p s^ rfe s^ e t ce qui les éloigne de toutes
lés^ifîii^és' ménidèsi^tgfèSî la présence de dents implantées
sur leur vomei. iLa forrnm d is e u r ScMpssi l’on ne fait
pOinst attéfrtion 'aux li^ ë p ir è k s ^ s t !ass®z '.ressemblante à
celle d’un hareng plein; leurs,couleurs sont assez brillantes*
et elles ont toutesrsur les!iidt«s' une tache'plus .ou moins
fofe^^Pdpf yA^dffps dhisselle de làuoeavvé'n.trales et entre ces
deux na^eë'irfëèlune écaille longue et pointue, Comme dans
leV'pentapddÉs ; thaïs la protractilité de leur museau lès en
distingue suffisamment.
Uailps! pi)i^ohëiîd|ïfeé>fgenre vivent près!des côtes, dans
Wifendroits rich e l^ ii algues et *vaseùx ; leur nourriture
©fiTnsisifiâiln petita^p©feéîwfe^tL quelques mollusques sans
, qu’ils trouvent dans-les herbes.
-piÿëü| en connaissons quatre especes, toutes les quatre
JtPda Méditerranée!; nous .n’en savons jamais reçu de
nOS-^éïtes dp I Océan,' ni dë^Éiners .étrangères. Gornide
n’en plâcé'pointSur les côtes de Galice^et nous ne trouvons
pasv qu’aucun auteur de faunes boréales en ait fait
mention.
Il «#t même asSfez difficile, d’en déterminer la synonymie
dans les naturalistes qui ont traité des poissons de
la Méditerranée, et de reconnaître daims leurs descriptions
s’il's’agit d’espèces ;Éè ce -genre ou du genre suivant.