L a M en d o l e vomérine.
(Mcèîïa 'vomerina, nob.) *
Enfin , nous en avons u n e qu a trièm e esjxè'cfe, a tê te b e au coup
p lu s large e t à jn u s e a u b e âu c d ü p plus c o u r t , “qui
n o u s :p a ra ît entiè rem en t^n o u v e lle . Elle se distingue
a u tre s, p arce q u e lle a des den ts -sur le chevron d u vomer.
C est d après c ette disp o sitio n que nous avons cru p o u v o ir
lu i d o n n e r l’é p ith è te àe vomérine. Elle n o u s de
Marseille, oit elle a été prise p a r M. Delalande ; le 'd d è ^ u r
L ea çh n o u s en a d o n n é u n in d iv id u u n ]ÿeu plus p e tite
q u i lu i avait été envoyé de Malte^ ■
La forme du corps rappelle celle de notre première mendoîe,
La hauteur est comprise de même trois- ïois^et trois -quarts* -dans
la longueur. La tête est plus courte, et contenue un peu plus de
quatre fois dans la longueur’totale'. Le front estdar ge ' et içepdiigne.
L’oeil est geand^son diamà« fait le tiers jd0|^ongijeur-de la télé.
Le sous-orbitaire est plus large en arite4e ç?son ,‘b'or,|linfëriei ir Ph-
plus échancré. Le bord montant du préopercule, au lieu de;descendre
verticalement et en ligne droite, ;siÿâWe ©bld^p'emenLun
peu en arrière, et est échancré-vers le milieu de sa<ihautéür4Les
lèvres -sont épaisses ; la supérieure’ est large: Les dents de la'Mâchoire
'supérieure spnt eu fortes,cardes- et à-làrihâch^ï^^nférieure
iîl’ y a quatre ou six canines 'plu^|g#@s§es .ques lés autres et;>6Çjiqui
distingue surtout cette espèce des précédeates^-c’esis qu’il n!y a plis;
sur le vomer des dents en série longitudinale,imâis un groupe assez
nombreux, placé.«extrémité antérieure de cette * g ||P | sur les r,en-
flemens qui en forment le" chevron.'jCèsjdents fi|lt fifltë's 'é't pointues.
La portioh épineuse d e là dorsâle est plus haute que dans notre
seconde mendole -, mais la partie molle l ’est beaucoup moins. L’anale
n’est pas à beaucoup près^aussi haute. Le loBé 's^jpérieur de la
caudale est le plus long. La pectorale est un , peu-plus courte.