Nous en avons „de plus* d’un pied <fe-longueur.
Les viscères'des deux individus que j’ai pu-exhumer étaient Inaï
conservés. Je n’ai pu voir .qu’un estomac en cul-de-saç très-petit,
à parois minces; un intestin assez.gros, faisant'ïdeux replis sur lui-
éaètnè. La vessie aériënnè est grande, siuiplfe^.àfgëAtéje, etpKter-
mihé en ufle pdiftte qtd entre dans l’entonnoir qu'è, tôrme'le pre-
mier inter épineux de l'anale.
L’arête mitoyenne, du crâne est fort élevée ë t 1 avance jds’qtfau-
devànt des yeux. Lès làtérfdieÿ sont presque nulles. Le tubercule du
maxillaire supérieur a une forte saillie de chaque côté du. rçmseau.
fl en est de même de l’angle externe du h omal antérieur, qui s’écarte
de chaque côte au-devant jdfed’oeu; ce qui Contribue à rendre
le iro n t du pùiiso'n beaucoup plus ÏSrge que dans lès autietpàg'els.
L’épine à' vingt^qüatre vertébrés j dont dix sont abdpminaîês. Le
premier interépinëux de l’anàlè-a la fqpne d’un" entonnoir dont le
bord postérieur se trouve prolongé*!© maniéré1 qùéÜ%nverture de
cèt entonnoir est'camme feôtipée en bec de plume. Antérieurfemènt
il porte une arête longitudinale assez ‘élfevéè.
C’est à la singularité de cet os que ce. pàgel doit son
nom de sarde à plume ou celui de poisson commis, que
les colons lui donnent également selon M. Pléeî*:@>,T voyageur
nous apprend que l’espette 'vit dans ïtes bas-foâd^ÿ et
qu’elle atteint huit à dix livres de poids: On la matsgpià
la Martinique , où. elle est fort estimée^
On la trouve aussi à'Saint-Domingue, d’ôju! M. Ricoçd
nous l’a apportée.
L e P a&è l a tuÿàu^ ’
> (Pagëiim penné, nob.)
Une seconde espèce de pagel à front large vient se grouper
auprès du page! à p lum e au q u e l elle ressemble aussi
par la forme du premier interépinëux de son anale. Le bec
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