Ainsi Bélon1 ne paraît pas avoir distingué sa m end oie
de quelques. picarels; à, cojrpSre:elev%| et|É| figure qu’il en
donne ressemble plutôt“» notre picarel chryselej enfeorë1'
y a-t-il oublié la tache latérale. Rondelet semble au moins
avoir confondu tô ü t^ l^m e n d o ls ^ ^& ^ ô n moend^LWj
c i3 , p. r 3 8 ) ; cet il est étonnant q u e o l o l i i t e ' ,
qui connaissàM‘ ;siv:bien lies - poissonsîide <la Méditerranée
naît .pas même remarqué Yôsbeck, dontlle's»,couleurs ij-des
formel isoht sifrapparttes. ~v;
On ne trôu>^li!^n(Mi i de moena ciüé .d'ans Sahêàmify
quà l’article de~\la-,tanche tdleau d o uce^ rti^p%pour réfuter
unë erreur dé Platiné,.-, qui -avait qtuii’eltroufyef la
tanche dans- le moena des, 'hâtons«.’ La" liguie (b^in£pd©lé>
que l’on voit dans Oe&e^Tréést, pas plus prëépè que belles
desBëion dfe de Rôndele&^Willughbÿ^parait ‘en û\..;yu
plusieurs ' der couleurs ,différentes.mais il lefciregardel
«m m e de la même cgpëceVet sf borne^u faire remarquët
que celles qu’ib jaf^bseraëijlé pendan ^ l ’M|^iff{ài|%g#se;
étaient blanohés,- et qifljcelles quil&u t r ^ ÿ lq ^ ® |f p k ^
pendant l’étë'îéfeaienL blekesjel In i I laie 1115oj^ipiedmlle^u-
leur jaune-. *
'x Ges donn%& îétadent|fS vagues ^iqu’AutedL n’a .pu l|if-
rriênoer composer qu’une phrasëf {générale
toutes r lfe,s . e s f& ^ i ï l a dit : S parts ,mgricante
in medioi latère., de^vbusi fw0MàrHmajorJhup.
^G e s t sur ce' caractèrerquèîddnnæuiSîar-établiusenf^^^
moena, mais en yVcjiangéaht le mot de macula ;e»/éehii
d’oce/Zo, éeiqui est encofë’^môins ex a cÉ ^
1. Aquat., p. 226. — 2. Aquat., pi-gotyA .
/>fjl|es..rauteurs qui ont suivi Linnæus n’ont pas mieux dis-
tinguécces divers poiSsqnsi
Duhamel,'qui'aurait eu tant.(dfeiifacilité par ses nom-
breu^tgorrèspondans popi faire une bonne ’ichtyologie
d e |tcêtfes jdg France , ma. parlé que d’une manière con-
fus|*‘de toujV' .cette famille. Personne ne pourrait tirer
ri en d e ■ <fa ir ^I^cfelqn’il dit de ^és, piendoles, cagarelles,
gerles, juscles, seyereauoc ,,jarets , pitres r et autres deno-
minatidhsf i l 6®^m(fins ’vagûês^t jamais*“ accômpagnées de
définitioiis.. 3^üLt ® que l’on peut-supposer d’après ses
figu^V;. é%st qu^sqn ja re t brun pi--8,' fig. a) est
le picâr^Éco-mmun ; son grand pitre (ib., fig. '3^ le picarel
ç l^ s j|è g mais^son, a u t r e / u f m ê m e sa mendole
(pi. ô^jfig. ^^npus.ïiparai^ent indértgbçUnables.
î,rS^é:t1îi:î4.lt. III ) P- 1ïi$>) parlo dé la menola qui se poche
uvec&|dsmdrïde, mail^en moindre abondancejCètfque Ion
-vènd àvè'cpeféipôi§s é r i f o ' ÿ t v ’éstirhfelen Sardaigne ;
niais* il n’en dte^nefpoint les1 cà|||ff'eres.
av i^ ^ ïe ja i’^u que le snîaris de Brünnich1^ est le
sparâ^^S {mjrrgus annularisf).^G’e'st au n.° 57 qu’il faut
:w tcrçher le vraijpK^M pu smaris, de Linnæus. On np -Voit
pas, m^^î-ciairement si jgjgggriuiie' mendole qu’il, donne
commet.sp a ru sm oe n à J ^ y /^ y ^ qubiqueïSâ «description ait
g-Uîfdlé^Blociijidans l’enluminure de sa planche 2 7 0 , qui
dâ%fefte, êfaptès la grandeur desij écailles etdfes dents re-
' rf?tGW^^feëstl; plutô t d’ud canthère que d’une
iheôaole.
M.,dpLÿ(ÿp^4e n’a rienwé c l | i | l f ^ ;s’^ t borné a copier
les articles .de Gmelin. .
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