A in si ôn v o it qu ’il trouvait un ra y on 'ép in eu x dê plus
à la d o r sa le , et u n rayon m ou TO pluSfjAl’anale.
^a^couleür, telle qu’i ï l ’indiqué, est blancE^'^èc. ’uiie' teinte
• grise; et sur chaque écaille des côtés il y a un traitl>run transversal.
_ Ces traits ^’effacent sur le do's?
Ce n aturaliste d it q u e lle s Arabes nomment,'pette ; espèce
abu-basal| c’est-à-dire cepa gaudens,, àjl^ause d u renflement
en b u lb e d e la base ,dëP épines dorsales. On la n qmm ë
au’ssi berda. E lle h a b ité Sur-Jés plagësVvaseuses de, la mer
B o u g e , principarëmentf^ütour d e s îles plantées >dp|farbré
schoüra, d o n t elle mangé les feuilles. Cetfé
èbm m u n é et*d’u n i o n :*on 'la ' piêëfe© ‘à l’hamedtih.
Gm e lin 'e"G®L/de Lacép èd ë~on t p o rté danS i é ‘catalogue
d e fleu r s s p a r ^ c e sparus berda de Forskàl. B lo c h , dans
so n éd itio n d e /S ch n e id e r , a jtussi pla cées e sparus berdq, ,*
mais il n a ^ s u reconnaître dansda^description d e Fqjjjjg***
kâl le p o isson qu’il avait reçu- de, la jjjêî®,dq„>Qo.romandel
sous lefehçm d,e karumudalei, ©t q u $ k d é e îit £çoe^-mè>‘un e
cspMg n q |r y elle squ's le n om d e sparus h a ï t N ou s avons
comparé l’indivicLu d e Blo,ch‘ ay||foe^ p pître .,j:ét“;n o u s . n t o s
som m e s assurés d e le u n jd e n t it^ O n lu i avait aupsi^appris
q u e la -ch a ir d e ce poisson, est - d e b o n gOtjt r „©J^qu’i l n e
dépasse pâs un p ied .
N ou s d'eVpns remarquer-ici que Xp spar-us ber dan d, rien
d e c om m u n a v e e ^ e ju i d e , 3^ . ^is^er,1, qui^est-notr^jpagel
açax&jn, e t .d o n t n ou s parleFQns plùs; lp in . t
J. Ichtyologie de Nice, p. 25^.
La D aurade a £ orgues épines.
{^hrysophrys, long isp innis, nob.)
M. Duvaflcel a ényoye du Bengale une daurade assez
semblable à la précédente, „
• mais qui a-la-seconde „épine de banale encore plus longue et cependant.
plus grêle; pelles-de la dorsale*sont égâlemenl.fort longues. Le
cprps. purs obl'ong,, ;lar'nuque’ moins haute, la bouche moins
fendue,’‘les dents.plus petites et disposées sur trois rangs, le sous-
» jûrbitaire plus étÈpif.’ Les nombres sont :
D, 12/10.5 A. 3/9, # c .
La couleur de nos individus est totalement effacée. On peut voir
^èpjendant ique- da dorsale e t l’anale étaient brunes. La longueur
est de si®4 sepfe'poueës.» *-l
^ Npps-myonS remarqué parmi les poisons du Japon que
M. Langsdorff a donnés au Cabinet de Berlin, iin individu
de cette espèéfe, mieux Gonservé que les nôtres,
et qui ffiontre-sept à'Wit lignes brunes sur le préopetculF, formées
11 par unë suite dé'points marqués’ sur cha'que écaille de la joue. Le
' ?ëbips' cfc , et il y*a sur1 lé dos huit lignes longitudinales
brunes.
L’individù, dé AL tEàUgsdorff est lQng de neuf pouces.
Cette espëcé. porte au Japon le nom de tai.
h La D a u r a d e c a l a m a r a .
Chrrsopkrrs calamar a., nob.; Russel, pl. ga.)
“ MM: Kuhl etŸau Hasselt ont envoyé de Java au Musée
royalties Pays-Bas une. daurade qui nous a paru ressembler
entièrement à la figure du poisson nommé calamara