54 livreSixièm-e. s.PAR0Ïfiæs.
l’on nomme ainsi aujourd'hui rie philosophe range le sien
avec les poissons qui ont un grand nombre d’appendices
coecales; tandis que nos5 s c a ^ s ’uten. font aucune,, et^'que
dans MSI^pates il tfy îsm#;'sfct;pluà-. qnexiiaq^oU- six. Il est
vrai qu AristQte cite aussi dans. Gai endroit d’autres noms
que d’on applique maintenant à des poissons qui n ont que
très-peu de lüp! appendices pt>u meme-qui n’en ont point
du tout , tels que le gobiùs; mais.ee-n’est qu’une preUvq;
de plus de fe legèrètë âveo laquelle on a dnterpréfcévdfettè
ancienne nomenclature}' ’’ r
LeS„’autres auteurs n’ajoutent riernqôii puisse nous aider
à reconnaître-le" vrai spire. Oppien1 d iu q u il habité shus
les'herbes le long deSLiivages' 5 Marcellus ;Srd@tes (v.’-a^;)
M d o n n e *des !âehtS-aiguës'j Pline ( lrXXX.HI, c. n}'*s»
bOrhë lide nommer. - ;
€ ê qnPe&Pplus direet,fe^feé qui péut-ëWe -est la veritas
ble Origine d’ùn ôm dü sparaillon , G’est?ee qu Ovide dit de
{ ^ sp a r ïM s /qu’il nômm& entre le sarguetiSiile pagre, et*
auquel il attribue une nuque dorécr
ïnsigrtis' sdrgus(juénotis,'înstgnîs et alis
Et super aùratà sp'àrulus cervïè$fMu^éns -T
Et rutilüs pagür...i............ >-•••••••*
VètSdüi peuvent d aillant mieux s’appliquet^n^tre-'espèëe
actuelle, que W sparidùs était un^oissOn pëtit e t1 peu
estimé. MàftM (1. III, turbot. t
Ostrea.tu stmis stagno sâturata^
’ "iSu^uW ihWb"myUlus ore^fuihi)
Sunt tibi ‘bététi j J k d ^ è g ^ tm id iiM o s ^ fi ‘
MePtikhcw® rho^Jfomfy at mihi cum (sparufc.. g|
1. Hàli^ ï 1, y- ioÿ£- — 8jfj0iüi^ Eul-,