la tête. La erétse la plus1 externe est très-épaisse et naît de l’angle
s. iposjtériear d&diorlite.--.liesaos-du bras et du bassin ne nous ont
y a présenté aucune particularité notable.
..„ ^ ’individu que les naturalistes dg,l’expédition de Morée
Qn^prjs à, Coron
n’a |>'âs neuf poufces de'lbhg,;' ét cependant s'a' dentition est com-
- plète ; ce' qui nous prouvte que les daurades de ces mers plus
- chaudes prennent lé cMra'étere des adultes plutôt que les daurades
de’^Tos^cStes: Nom ne trouvbîis à cet individu aucune différence
’ * dans les formés',1 ni dans les nombres' des rayons. La tache de
l’épaulé nefiis paraît beaucoup phisaéWbïtfe • et même est presque
restreinte aq- bord membraneux'je|è l’operculé": e’est-la seule différence
que nous ayons vue dpns »ljs ^couleurs: IL n’y a pas de tache
noire sur'la queue.
i.. ï Mw Bopy iijaflæït^-Yincent l’a entendu nommer à Coron
V$ s » 7Ce nom,domine nous l’ayons dit plus- haut, est
^ ^ y d is in de^celiii’ que les ‘GrecS’- de Smyrne donnaient
du 'temps de Rçmaelét au poi'sson que cet auteur a mentionné
à l’articleçle sïpii hepatus.
L a Daurad^ a* &uspAy .recelé.
XGhrfôophrys crassffiostris 3 nôR')’
wNotre seconde daurade de la Méditerranée a été prise
sur les cotes de'lit CérSfey près d’Ajaccio, par M. Paÿfau4
deau|Cbt sur celles du Pélbpûrië&é* par M. Bory Saint-
Vmcênt. "Nous k'eii trouvons aussi une figure parmi des
plpicnes; de p o s o n s grades en -Espagne,f et qui n’ont
pas encore,!fljéjpuhlié^; en sorte que, bien que plus rare
que la première-,!Selle paraît habiter les mêmes parages.
Elle se reconnaît à'la grosseur dé son mufle, et elle a d’ailleurs