CH-ÂB. ÏV. PÂGEtS* f f f
est seulement un peu plus long, et sa corne antérieure plus
élevée qu’à celui de notre pagellus càlamus. Nous nommerons
cette espècç, que M. Delalande nous a rapportée
des; cotes du Brésil, pagellus penna,. pour rappeler son
affinité aveq la- précédente.
Elle a l ^ q r p s moins éleve, et le museau ne jïesëend pas aussi
verticalement ; sa bauteur'èst le tim id e sadongueur.
E’cfeil |s t pétfc, sMue*'ai# haut Se1 l a donne la place
t> 1 nécessaire po u r doge V le ! trêè - grand? sous-WMtairêfde''’ée poisson.
Le lurnbe du préopereule est étroit. Les épines de>la dorsale ne sont
pas! très-hautes ; mais elles .sont fortes. La pectorale atteint l’anale.
Le nombre-des rayons est de
D. 4-2/12^ $ta/9 ; C, n R 15 ; Y. fe5‘.a x
La ligne latérale est pai^ilèle au dps,. au, quart de la hauteur j
t’rèsrp.eu sur fo queue ^qu’elle traverse par le tie/s^de
la hauteur.,'La c o u le r paraît |A|dix',e,te dorée,, plus foncée Jsur le
Jfc fg .^1 /y .a ^v u o n unévirigtaine*delignesTongitudfinaïCs de points
noi-çârtres, qui deviëonâit de petites bandes brunes sur les ji^geoire»
impaires-.'''' '
- Le corps est en outre traversé par sept bandes brunes verticales,
peu la^llfp^dont ]a première descend’à travers l’oeil sur la joue.
Je n’ai râaslpu v o ile s; viscères'- de>>ce<pagel. qui restait de la
.vessie^aérienne m’a prouvé quelle.,est gj^rid^Émplè, àparois très-
argimMg, et,que s'appointe entre dams, l^premie.r - interépineux,
comme c l | . a lîteu dans- l’espèce que nous avons précédemment
û décrite.
1 Lés individus que nous^pbssédons n ’ont que six pouçes environ
- de lôhguëur.
L e PagMhDe Fernambo|I c.'
(Pagellus■ pernambuce^mÆ noBÆjj
ÏÇpus .avons trouvé dans la ëtiKéççf$^fc<des poissons de
Bloéh un pagel que ^cet -iëlitÿologiste avait re%#de Fer