plus grand de nos individus ‘7 ib^t- lcfh!g*;d.^ vingt p^uc^lï-
M. Bâillon' èïi' a* envoye^oî^ plùs!petits d’Abbevillè^ et' nous-
même l’avons vu * aæè^ ;f ^ QU'étifïmeht^u^lAWif ' d’Âôut et
de Septembre'jà Boulognè^sur-Mex et à Galais.^Sjà chair Est
ferme et d’ass.çz bon^gout.» .-..
Des Cantfières\étr&ngers^
L ç CanthM e/ Btu Sénégal. .
I n^Gan thdtrus sénegdlerhsisÿ MiKrH
M. Rangea1- envo^é^au. ,GâMn<et d u R o i, d e -la rad e de
C o r é e , *un c an th ère ï q u i tiÜat de ^n‘îè s;iau ^ é ^% ^ |^ '< i-E u -
rope.
Son profil est moiü^ojblique,,qjxe^cekii du-jÇ^nthère vulgaire,
mais de museap est plug&a;igjï'|me dans lfÊj^WC'ulaire.
La hauteur est moindre--qüerc'èlle dé l’oPmimhérê,j,anaj,s .supérieure
a,celle du vulgaire, -Le front,èst^hombti Le>.ouij()ifiilaire^tist
plus, haut que dans le 'vulgaire ; vgon éçhancrur^^t^plus^ profonde.
Le maxillaire est plus ::n^aürétL;qfe_,embLé. presque eit' epitieK soW le
gous-pibitaire. Il n ^ a .q t ^ , cinq rangs d’épajp^S’^ur^la jîpjue, ;,
La dorsale, naît plus, en a^nt^sugï k.,dfts‘. JS a1 h au teu rtien h le
milieu entre celle de-notre preniier eL4celle,de notre se<^nd,pâh-
,,'fyye.^ ^ gjO&M r i
La ligne latéralé¥st large, ^&-marqq,éç, etsans aucune inflexion
à son commencement. Elle e§t d’ailleurs moins courbe que aâns
les jespèçes précédentes,
Le sursçapulaire est h au t, peu^ largej, et surmopfe.de huit pvt
neuf larges écaillés, qui montent vers*là-nuque', en ne faisant
’ qu’une bien légère c a rb u re ,' J -
La couleur, est un argenté brillant, à reflets dorés, avec:vingt-
. I ÈÉÀfé: 'V® H® RES^ j il ^Oô:
' quatre lignes brunes dorées lé long de chaque flanc. La ligne latérale
est plus colorée qu.e les bandes. La dorsale est d’un gris violet,
tachetée d’olivâtre ; la caudale a une large, bordure violette. Les
rayons dès ventrales et de banale sont olivâtres, et la membrane est
violaçél. ‘Les i^ etoraTé^cmt rougeatrgs^ffi
^e'poi'ison auprès de' ’dis; pouces de long.
LQ ‘: C^MTHÈRte - AfS,ÓUjsJ-ORRITAI RE E ^i^NeRÉ. ï
- 1?,$.Çàh^UdfÆ^éfricirgÿ^dt'Us “ * *
Cbi trouVeaUhi’fCap un - (Àïith&ù dont léchancrure du
siÿûî-orbit'âï^éA’^st plus1 plo^tode que dani> aucun autre.
‘iî^a^cpr^^^Eoili^le museau pointu, lé from large e t^ ro n d i,
Éj le, inaxittâire.Jç^E^fi^éî.adus orbitaire| ^c5^ y es
préopercnle petites^ le surscapula^ petit, arrondi el surmónté de
quatqr^Sm^pinzé ^cailles disp'osees ^en un arc de cèVclé^boxi^be.
Lajk'orsaie^ p thasse,, principalement/-vers sa portion mA . La' ligne
latéral'! esL^S n te.' bien rnarqué|]^jànontant a Partir du surscapu-
C lairef ,VÎde m a n i a i s a r l i a n t !sous^cinquième rayon
51 ^Ipm'ehv uw lle . Lés |eaf0es* du corps sdnt lisses et petites.
' LeRbàndes^hrimôs sOnt plus étrèrtejy é f pips möt^refises. Lg.' cou-
^ l ^ ^ p r i i t plus ^dfifec La dôrsÀle''câ|pÎM?re, et h ’a-j^ue peu de
peihe4fîaBies. L’aiiafe est un peu plùs ju ||ioe e . ,
ICîéstfêfei'Rayuaud qui *a rapporté cèttaé&p'èoe en individus
\dè' huit pouces. Ijl
Ley©jêntEèrM de^Rloch.
|g (tanthdrüpÉlochii, nob.;'aSparus bramai Bl., pL ^ g .)
>;T2newejonde,,espèce|palràît -être, beaucoup .plùsi com-
muneï>.d,ans la rade du Cap que- la precedente. Le Cabinet
du Roi en possède, de nombreux individus, qui y ont