nambouc, mais qu’il n’a point décrit dans ses^ouvrages.
Ce poisson portait l’étiquette de sparus pernambiieensis.
Il;riBSsemSé^^i^; Àu morme par l’alongement; dè- sort rou-sèau 5
ÿ mais son -cô'rps/êkt' un peu plus- ùapn.vSesl deritis antérieures -sont
fines; les nxolair^ne sont pas très-gr,c>s&esL' Le limbe du ppéqpér-
cille esylafgéVfinement strié le long d u bqrd montant et-p|>intillé
sûr la portion horizontale. Les nâgèqires terticalès'ont peu dé hauteur,
,et leurs rayons épineux sont de grosseur rMm^pr'eL.
D. M /i& . 3/10 • ,£ n ;Jp^l6 ; V.
La ligne latérale est marquée par une suite de petits traits doubles,
l’un horizontal, et l’autre unTpeuJcôùrKe et.dirigé* ves?s, le dos.
La couleur de. ëé'poisson est uniformément-v^pd|cte©,. sans' taches
ni bandes ; eHçtparaît .plus-fipi^ée? sur le spus-orbitai-re.
■’5 Nous n e pouvons rien’ dire de TariâtômîeNû dis î‘n$bi-
tudès de cette ^èsjp'ecé, dont le'Musée de B®in ne possède
que ce seul individu, desséché, long d’un pied.
CHAPITRE Y.
D e s D e n t é s ^ D e n t e x , nob.).
Nous appelons dej^tetâ ou dentés, d’après le nom ancien
dune d'e;leus^e^^ges^; deâfÿ^is.sbu-'S; de la famille deS;
sp^îiféu, qui n*®ntùux; deux*,mâ.choires’ que! des dents co-
niqu^s^d’ordinaire'Sur ua>seul rang, d o n t’quelques-unes
des antérieures s’alongent en, grands crochets.; ;
-hComme.les antres » spares», ils!, tiennent d’assez près aux
seiénpjdm à! dorsale simple.; tels que . les pristipornes, et
particulièrement les gorettes,}qui ont à peujppès la meme
jfîjirnurie’générale mais**dont on les distingue^ejjendanf
aisément^ parce que le prédpiprçule dês gorettes est den-
td ié ii^ è'gie, et que celui des dentex af le bord entier et,
sans dentelure. Cpmme leur opqrcule s^termine par une
pointe plale^efepbpuse-et par unt feston, qui dans* l’étàt
frais disparaissent dans, sa- membrane , mais qui se montrer]
t un peu ,dans les individus desséchés, i l y en a quelques
uns quef-Gè|ta.ins naturalistes Ont rapportés, au genre
dps*^bddiarlSf, tel que Bloch ravait/établi;j genre que nous
lavons’îrén4i à/u os--serrans : mais lesfdentés diffèrent de ces
bodianS'peest-àl^fedes serrR.ns à préopercule sans dentex
lnre sensible, par f absenc^de> tqut®s îdents dans la région
vomérienne palatine^* et parce qu’ils n’ont , comme le
grand nombrê des autres spares, que six rayons à la membrane
des ouïes. Du reste, leur corps est comprimé, assez
haut; leur tête-assez grande; leur front, leur museau, leur
sous-orbitaire, manquent d’écàilles; leur sous-orbitaire u’a
point de dentelure fleurs pectorales sont longues et poin