■48 LIVRE SIXIÈa®E..[SP’ÀROÏDES.
sa longueur, égale à sa hauteur à la nuqùe, est contenue quatre fois
et demie-dans la longueur du poissôrf. Le mus6aqj|e&|fobtus ; le
profil descend presque,x§rticalemqnt : il'y a-au-devant des„ypux.,un
léger, renflement, et sur la nuque un léger abaissement.
L’oeil;est de grandeur, moyenne, situé dans le haut dé la,joue;
mais son''orbite n’éch&ncre pas la ligne du prdfil du front !|l | vsdus-
- orbitaire est largeaminci, et'recouvré presque en entier le ma ol-
lairè. Le préopercule est assez grand. L’opereul'e est étroit terminé
parurie faible: pointe. Les écailles qui le recouvrentont,^aiissj.
grandes que celles du corps ,$et du double plus larges 2 quç^eelles
que l’on voit sur le préopercule ou sur l’injeropp^cule. ..Lennont,
les deux mâchoiresl.e_ sous-orbitaire îfttle limbe du, -uBépnérçylç
sônt nus lj« sans écailfe; ' :
L’ouverture de la bouche est petite, ,et les deux'mâchoires' son!
d’é ^ e ’ longueur. Il y a six 'incisivés ’"â tla madhoirê,isdpérieure:
Chaque dent a une- petite1 échancrure IsUr le milieu de son bord.
Defrièr^ vOi# des 'petites -molaires- arrondiés7 -'gEeæiui|stèt
gf disposées sur trois;fangées. On remarque dans le.-fonddg lafboWfche
deux dents un peu plûs^ gr<^sspsf que les autres. Les inçisij^gSfjde la
mâchoire inférieure sont aqssi échanGi;ées et au .nombre, d^ huit.
Il n’y ja que deux rangées de petites molaires-, semblables aux-dents
d’en haut. Les deux ouvertures, ^erla narine sont près^Jg; l’oeil jet
rapprochées l’une .de l'autre. L’antérieure n’est ‘qu’un ,fr èsj-pètit-'trou
rond. La seconde est ’grande’, linéaire, etbâchée*sous l'arcâde'^ur-
cilière que fait au-devant de l'oeil le frontal antérieur. *r
-Les rayons épineux de la dorsale et le second: ded’analesônt forts
et pointus, Les rayons mo.usfdg’ces deux nagepjpes; ^.ont^QO'jirts^
séparés, et peu profondément divisés. La capdalq.est-fouijchue;. les
pectorales, aloiigéès et taillées en faux,; atteignent à la base.<Je l’anale.
Les nombres sont :
D. 13/10; A. 3/l#(G. 17 14^V: 1/5. 1
L’ossature de l’épaule est couverte d’éceiflesv.Le sur&capulaire est
large, oyaley lisse, et la peau qui le protègeeSt épaisse. et brillante
d’un bel éclat d’argent polL
CH AP. I. . SAfeêUES.
Lg»dAiygftjcrs du bord de^e^a'qp^écaille.sont^irrondis. La portion^
radicale est ,da:oitet^dppéëî ver fi,vainement, suivant la hautéur
du pois^n^eioh'Oéméitli ,dçi^|fæÉ^par l’expansion. dès branches, dé
l’éventail quÊpsillonnent'cette',partj^'j^Ia*surfacede l’écaille. On en
cojapte environ cinquan^paé,ppis l’ouïe jusqu’à la caudale, et vingt-
isiV; dans La lignp .latérale est légèrement courbée,
^!-v%vp.àr afljëïement au^Mq'^d^puis'jJé suiîc'apulaire jusqu’au
commencement' cfeî-la quçue, qu’epé traverse pâr le milieu de la
/hauteur:
lin indivïâüi tèès-frais ,t que^l(f. "AcKard à^érp^é) de la Martinique..
Jkait.àægdj^^ un chaque
une ! vfcg^à^Ade lignes longitudinales 6u.d e rubans étroits
1 db| ^mIeui^d?o‘r ,rmrtef p’ôlbDerrière fepaMe, 'so/as la' ligne latérale,
W:y # u 5îë tache' boipftre. Les rayfihs épineux de la mu-salé sont ar-
'gehtës.-Xa'membrane-'es^ La portion -mbâmddla dorsale,
l’anale,*krcaudale, sont jaunes ;J6|stpeetoraies pâles, et4les ventrales
‘noirâtres.tDes.individus/venuS daa4&âésil,,etiï'ffQrt décoloré^paraissertt
ijgéis^Vertclàtre;, reflète dorés., etfils ont cpnsenvjÉ la tache noire de^
l’épaule:,...
5 La nos indindius' Varie- depuis!, trok^pojices ‘jusqu'à
seÿt.%
Leur' aiiateihiè notisTa ftforitré tin canal1 intestinal plus long que
celu^de’îfbs1,Argués, à foâùse;'fifesês nombreuses sinuosités. Il se
’repliêvtrois depuis lq|pylore jûsqu’à ràhus>Il y a sept appen-
difcesïcbeèâlésiasîsêz longues autour du pÿlÉrè. L’estomac est arrondi,
deJ^Lÿéhhe;; ^andeur.->Les-pardis; en' sont-. ,tr ès-minpe%' sans .rides
in|érieures. La branche mOulajit^^Pf^du milieu de la face inférieure.
.'Sés paroi ^ ^ nt'aüssLaM^cWs^que celles dé læpotrn'ac a elle sê renfle
tellement entre ses deux extrémités qu’elle a l’air d’un secçÊhd^esto-
mac. Thé foie "est, trè§-pefit et porte .une du fiel, longue,
cjjioitèT'et 'dont les pa’rôis s<mt' ’t6 ut-à>fail ’‘argentées.
La vessie nàtatorrë ‘est ‘gràiidél ovlîe1; llè ^ g e l; eflcforiife en avant
deux petites'domfes. L’extrémké^potsté»èiire; esÉ poinfue; Sa ttCnïqüé
-fibreuse est épaisse, d u n blann-matT etepointillée de*-noirâtre. La
seconde tunique est mince et nacrjé&^l
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