face interne de cet 'os. Le- bord postérieur d£f surscapulaire est
arrondi et aminci en écaàlle visiblë 'au dehors.
Le scapulaire s’articule avec lè précédent, et s’élargit éft* une
palette dBlongue/amincift suf ÿes bCrds. Il s’appuië eh; grande partie
sur l’huméral ; ceKii-ci est très-grand et très-fort sa pa^6ê'supérieure
aplatie et élargie en une grandë lame quadrilatère-, dont
le bord inférieur est é chancre' pour1-recevoir lêS'^Vs' du‘carpe et la
péÇtbrale. De l’ànglé antérieur naît unèrflofxgim^pophyië^cFfelisée
en gouttière, et qui le'terhiine en pointe sous-là'gorge.
Le “radiai est petit trou rond Lest médio'cre. Le cubital ‘est
mêê^o’ère. Lè stÿlëal est'ti^^Éirïj sôi^és supérieur est larbe, triangulaire,
â bord pbiféw.eür arrondi : éèlhi qiU ffiit àâ pbifiîë!est
fort, mais pas très-long. ■
Cest bien certainement cette! espece que Ronaeïet-a
représentée s q u s le nom. de sargus -Q.Y, c ,^ , p. 122 |de
l’édit, in-fol.) : la forme, les bandes, la tache ;de la queute,
ne laissent point de doujte'à cet égard. Il h ’sest pas’aussi sûr
que Bélon l’ait connue : son sargue p. 2^ )>est* plutôt
de notré setonde espèfcé. A la véritéf il donne (p .’^ a )
une figure un peu plus ‘ressemblante ; fnais sa description
de cet endroit "contient dés traits qui ne s'appliquent
qu’au sparaillon. Cest aussi-à notre seconde e lp ^ é rq u e
paraît appartenir la figuré, d’ailleurs très -mauvaise, |Je
Wesner (p. 82S). Aldrovande la copiée;£p. 176.}$ mais jc|e
ses figures;originales.(p. ‘174 * 175, et 182),aucune ne'répond
à l’espèce actuelle- on ne .peut m'ême "guète veeon-
nâître que celle de la page 17 4 , qui nous parafé‘aussi de
notre séconde espèce, surtout à cause de qu’il dit dans
son texte des couleurs.
Cest encore manifestement hotr e secondèjçsp|;ce que
Willughby a décrite à Gênes (p. 3o9’)j mais.en. tet.e d.cfarticle
son éditeur Ray U; insÉEe une autre description, qu’il
reproduit; dansispn Syrïopsis (p.- r3o)^ et qui ne convient
qu’au cfupTâ&i'pu$sq*$l lui refuse îes tubercules osseux
et granuleux des mâchoires. >;f <
, ; Cest cette ^description de ;Rà^iqu Artedi a copiée dans
ses Généra (p. $ 7 , n.° îf3f^ ©ù îl dit : Dentes lati', tub'er*-
cula granulosa nuUà. De plus, il a réuni, darts sa Synonymie
(p. 5 8 4- ce sargue de Ray, ceux de Bélon-et de
Salyjaniy et dès-dors il n’a plus été possible de débrouiller
cettecéonfusion.
Ainsi Grmio vius.*, qui nous paraît avoir décrit; notre
premier, sargue, qui indique au moins les nombres des
rayons comme nous! les avons trouvés^mais quij à la cite-
fion de Rondele.t, joint mal à propos celle de Salvianiy va
jusqu’à mettre, au nombre, de ; ses isynonÿmès Yhepdtüs de
Rondelèt, dont fles?,fdents «rsont indiquées d’une ’ manière
assezïplaire pour qu’on ne puisse.pas même le rapporter
jb ica genre.- - 1
>Cest aussi dune manière générale, et comme s’iln^y en
avait qu’une esp|&e, que Cqtti a parléjdu sargo ou saragQ
d e r Sardaâgqe % et que Gornide en a mentionné un des
côtes de^Galice*?, en sorte1 que l’on ne peut;pas même
savoir lequel des nôtres ils avaient en vueL£,8
Briinnich, le premier^ aî«jcommencé £ en distinguer les
espcQ@% c’est à notre, féconde qu’il applique l’épithète de
sargus* ; il d,écrit Ja première (son ri/ jlfi). Sans lui donner
de nom,'Spé^fiquej en, sorte que B’onnatqrje ,.l’introduisant
d’apris, lui dans i^Emeyclopédie^methodique -,;lui donne
un.jnoùv,e£qi §t. l’appelle spare big&rré {sparas va-
1. Zoophyl., p.>63, n.° 2 ® '^ ,3 . Cettî, t. IÜ, p;,,i i4-î®jlf 3. Comide, Pese.
galeg.jTg-., 3,7... — 4. Bïünnicb,
6. 3