surscapulaire esj dentelé,) La pectorale est longueur pointue ; le
dernier rayon mou d e ‘la*d^rsate*-et; de l’anale, prolongé emfrlpt,
‘ du double plus don g que le rayon.*' précédent, 'Les v ent-rales^feamt
très-grandes; la caudale profondément-fourchue. Les é.eâi]fe'st]s’ont
de grandeur médiocre et légèrement -4ptes«r | .
| -Ce poisson, peint dés Couleurs les'ph&LriUaritôsita lé fond» d’un
-rosé vif sur'le do»; qui s’affaiblit en descendant îsuÉàlévyenfre^liui
est rosé. Quatre bandes orangées descendent fdu dos-sur les flarfcs-y
io ù èüefes’arrêtent à la moitié de la hauleur.,du coips. La 'dorsaTtf
est Jaune, etlisjjj rayons sont' légèrement t e i n t s ,/ l e su, La .caudale
est roussâtre, bordée d’une belle bande »jàùna 'd’.or .dans; sa"f(5urche..
- Les autres nageoires sont pins ou moins ro/sées.,
B. 7 ; D. 10/11 ; A. 3/8 ; C. TI ; P. l5 ;
■La longueur de l’individu quLa»&ervi;^ettndescription, eSt de
dix pouces.' ~
Page n o , après l’article du mérou ÆAlexandrie, ||&rëzv$ ‘ .
Le Mér,ou d e GorM.^ ’
f(.Serranus.^gopéejisis, : noF. )* ,
M. Rang!lvîënt d’envoyer de iSroréePâtr’Cabine t du Roi
tin mérou qui ressemble beaucoup au" mérou vulgaire et
à celui d’Alexandrie,
Cétte nouvelle espèce a le côlrps .plus alonge, ,et leTmaxillaire
nù comme.de mérou ordinaire ; /mais sa’mâchoire inférieure a,.de
.petites écailles. Sa tête- est plus longue, l’angle duÿligird'membra-
. heüx de l’opercüle plus aigu,/l’oeil plus petit; et ce quille fait/sur-
tout reconnaître, eest-que la caudale e&t^^upçe carrément ou
même un peu echancrée, tandis,.que. Tés deux e^ëces,-Jpie4.n0ns
venons de nommer, ont cette nageoire arrondie. La forme des autres
nageoires de ce mérou de Corée "est d^ailleüfsemblable à
celle du mérou vulgaire.
D. 11/15; A. 3/8, etc.
La membraneuses ^gp^nesiiverficalds 'ést presque entièrement
i&feuéuv.er.te de p e t i t e s d u , corps, sont un peu plus
SlgrdridcsÆt pïipf apres 'q^^^y^s^m^méiuu.-ll ny.-ên a pas de plu»
grande au-dessus de
evld'unly un uiiifc^firiSé-R’u rid n t le corps,. Le bord
de ^ ^ ^ ® e . iW/d@^uiàle'jesb piolet Les' véhtrafes sont
;nfoirâtrçs
Un des individus est long de dix-huit pcfubes.
On elle*e&l moins^semblable
à Yemnentiêlùsi.cff&r, de BlocI&(;pLia^ | | quj^eIle d’AIexan-
.djdèy*||
f ^ ^ ^ ^ 6m o n *^Vetîibl'e 0 * mérou à museau
aigu4(t.JI, 2 12 ), avec lequel fgtcile ^sié>
le’/^ n fç^^feL: mai^i^|.d&ntelritn^i^a p^apercule du mère#
' d é-^d.d^A,vfe)iri,L'tjo.i teg, la1 caudale \est,,.à - pe%é,’. édh ancrée,
et les iiombrëâ^d’OS'*' rayons* de 1l’anàbe -sont moins
eVt;r '
_ , PvJgé^,11 ._^ldijüwn à l'aitinfô ma-mérmrpjnanzrSl. I
ons reéü detGoÉ^ë ùn « fedbindividu dë^ce -mérou
br<^^^^ic^®|viMgt-#éu^^ouëeVrj|^, .Rang., qui l’a
en^ôpçau Cabinet du RÀ&y; ;arj|)int un. jêuue individu
lotfgtd'é'six- p o u fe^ sb
yt sur, lequel, on voit les t* is ^^^es/^bhques de la j®u^. Mais le
. corpa|*lüs'p|aÆ,wèst traversé mar- sÿx ©u' sept bandes brune» verti-
<ri[^ S 2 q u i monte* k r la dorkale. De» taplrês nombreuses, plus
|| |p | |eé, sur l'ês baide» brunes qtfêj^ur le fond élair du corps,
couvrent les cqtés/et les nageoires' impaires.