MM. Delalancfe et J.Verreaux nous en omâ rapporte .de
très-grands individus* .Un deux aiplus-, deotrois piedsret
demi de lô.ng.,;Lés IBiallandais, du, Cap nemamerit ce. poisson
. ropdsteen brasse j (.perchesde^roche <«b>uge) ||§y qui
nous apprend que cette e&pèqe^ vit parmi les rochers, et
nous dônne~une ideefide f
Le D e n t é m a o r t o e é ph a l e . jj
{Dentex màcrôcephàlus, nob.; Labre mabrôcéphalé, Lac., t. I I I ,
p'. 4 8 0 , 1 fig.-ï(|
Uest à .00téide ce poissomduUap que nous dêVSBS pl&H
ee® celui .qui ;est rep^^éhté, par un^d^sin-d^Gbmmersonj'
Iong .de dix-huit pouces^ que M. de ]ja<fépêdê,a ifait Ê0-’
pi e r , quf i l a regard®'comme un labre. Il rfehs’en trouve)
aucune indication dans les manuscrits de Commerspn, et
nous ne balancerions meme pas à rapporter*ce dessin à çe
denté de roche du Cap,
si nous ne lui trouvions pas les écaillés plus- grandes, la dorsale
molle et l’anale moins hantes. Il y a , quatre haches noires sur eêttë
dernière nageoire-, qui manquent à tous les individus que nqus
avons reçus du Cap. i. Nous-devons même fàirê remarqueçÿqn’jlles
'ont été fort mal indiquées par le graveur de M. de Lacépèd&j
■Les deux premiers rayons'de la jfectorale ne1 pafjffisent pbint
hranchus, et ils se prolongent en filets. Le dëSsin, 'fait à la'piërre
. npire, ne peut pas. nous apprendre quelle était la couleur générale
de çe . poisson.
Les nombres sqnt, autant qu’on peut les ;qonipter :
D .1 0 /Ï# i
Mais nous cFoyQU&-jqu’it''4ék ;.ÿlati davantage à la pectorale,
qui est pâle,, ftvec trois taçhes noires à sa-base. ;
Nous ayons trouvé parmi les nombreux et beaux dessins
dos ma turalis tes ■ de la dernière expédition russe, une
figure qui nous paraît être du même poisson;
car nôus comptons les mêuies nombres a la dorsale, un seul rayon
, ;moü de plus à'Fanâlë, et pour le resté de l’ensfemble ces deux figures
Rl^t^eordent parfaitement. Les couleurs que ndus offre cette figure
f sjmt un violet1 assez, fiancé sur le ,d<l>;a;/passant au bleu clair sons le
ventre. Les écailles sont bordées de vert, ce qui donne au poisson
" ùn refle^erdatrè.“La portion antérieure de la dorsale est bleue, et
’ ïïa portion molle violet trèâ-fonce. L ’cUialë est plus claire, et sur sa
.Tbase'dn voit quatre taches noires' arrondies. Les deux nageoires
sont lisëréësd’un ruban carmin Ijsiez.large. La catfdâle est violette,
* la pectorale rougeâtre “les ventrales bleués, et leur épine rouge. Le
dessin n’a que sept pouces.
Le D enté gobioïde.
{Dentex gobioides, nob.'; P.erca go bioides, Soland.)
Nôiis plaçons avec plus d’hésitation à la suite de ces
dentés un poisson d’Otaïti, connu par le seul dessin de
Parhmson.
Les nombr^dë 1k dol-siSè^et :dé l’anale sont ceux de nos dentés.
I). 10/11; A. 3/9,- etesv
Le corps est bleu ; les opercules sont j aunes ; la dorsale est noire,
bordée de içouge; les pectorales SQnt.rpûges. Ce dessin est long de
onzb p'ouctè.
if ':Stolander l’avait nommé perça gobioides,* mais il n’y en
a pas de description dans ses manuscrits.