L a D iacope rose.
' ( Diàcope rosèa. ) '
Enfin nous avons encore à d é lir e une diacope que
M. de Mertens a découverte dans l'archipel des Carolines
à Üléa, et qui a des nombres toût différens des autres
espèces de ce genre.
T .a tubérosité de l’interopercule et l’échàncrure du, préopercule
y sont très-marquées. La forme du corps ressemble à celle de nos
autres espèces. Les nombres dp. nageoires sont indiqués de la manière
suivante sur le dessin que M. Mertens a bienjvoulu nous
s communiquer.
D. 13/12; A. 3/8;'Gï'î7; P. 20; V.-.1/5,,
La couleur du corps est rose-vif ou'carmin.^ La tété est un peu
plus fonpée. La dorsale est 'orangée, avec dés üacMs'bleuès; L’anale
étales ventrales' sont bléués.
Longueur, neuf pouces.
Page 338, après-l’article du mfsdprïün à stigmateajoutez î
L e M ésoprion a tachée, c a u d a l e ,Îv-
( Mesoprion caudalis, ifdb'/)' ' ;
MM. Quoy'etj Gaimard ont trouvé aux 'Vanicplo
un dé cès mesôpriohs à tache noire sur7l ^ l |l é s , et trps-
semblable kYunimaculé,• maisql nous paraît avoir
le corps plus haut, la tête plusdongueïe^pLus étroite-, feinuseau
• un peu plus aigu, foeil plus grand,dj%9qiiss^rbitaile plus étroit, les
: rayons épineux de la dorsale plus grêles-et plus hauts feKla qaudale
légèrement arrondie, tandis que toutes les autres -espèces^obt plus
ou moins en croissant. Les dentelures du bord montant du sous-
opercule sont fines. L’échancrure est profonde ^presque fisse, et
le bord; horizontal a des dentelures assez fortes et séparées comme
de petites pointes.’'
Le dS^psfeaîV'gm ofivâtré»'©^ jaunâtre* Lès flancs et le ventre
sont argentés. qliyfja une vingtaine;«! e trait? violets longitudinaux
| s ^ t e ^ q u e six environ spnîl iü-dêssus'de la ligné latérale. La
portion épineuse de la ^à^Ée^èst gris violacé; les autres nageoires
-îés@hh^uï|}ja#:n-£ftre pâle, k l’exCeptionfde la caudale,,qui offre une
'grande taqhëitciâhgulaire violette, entourée«de blane jaunâtre.
D. G.A7;/P. 16,;
L’individu1 est long de six,;phuéés^^
L e MÉSO-pRT®FbRTJNATRE.
L e s m êm e | n a tu ra lis j^ cQ E e d ® ) u v e r t u n e n q ta v
e lle ^egpècé; d e m t^ o p r io n à ta.che latérale«.f5
; a ^ ^ l |oe i l *pe t sVô'rbi taire presque
inférieure,
rtÉpjub^up plils fïbèJffëi^héahêohp ùï^MMnaUms.^ Lëfih|en'teluEÇS du,
•' < s,ont* p résqàA nuPes leid^ Qg' du fiord1 môntânt et dans
qui!cày''%è^lârgé?Lés||gi'ne's de la. doîfsàl’ej sont fortes
V D ^ ^K fW V3/^vefc.'^ ‘
La qaudale est ® b a s e d’un
firun plu^^n*in»dins'’,f^ ^ ^ P et ^îjV«Vd^]ég^cihehfr ÿqr^tre.'1 C^tle
* d^fSw^ftLwn" rend le n o illlp i brun verdâtre, h t e . d o s
L e ^v 'e n ^ ^ ^ b la n c mat / ^ânsaucdné taeüè: La
poTtio&. ép®cufe|3e liM o ^ le ^ soe iru n e ; la p orfi'dh'Arrogé ést jau-
|;v-Mîlp§tLa c à û d a ^ ^ ^ ^ n a lc m Ail*‘tro u e s Morales pffês y avec
f& n e tache TofisS&lÊIÊts’ le u r1 aiss’SIl^ÿlMst^enbrWes jaunâtresâVèe!
duÉtohs^Ltre ’sur la m e m b r ^ f e s Jfiijoi?, premiers payons.
L ’if f& ^ id u , lè rig id e iie u t p o .f i^ p ^ ^ |té - .p r i§ d q fi^ ie sÿ ë au x
d o ^ q lm ^ jg g ç e îq u i e s t-reH tam u a b lf ? la p lq g ^ r t d e s
a u f i;es£ ejSp§|f§s*j^tant m a ri^ e g s p i