clés poissons de S-Égyptepar-ee qu’il le eonfondïàÉaWcde
sparailïon, fel eù effet’bette noâvblle elp^ëe' a sur‘‘Gft'al^ue
côté de la quêuë uuèJ tache fîpirè ét arrondie > Inllîf1 nous
lui avons observé d’autres Garâcterès ? et cela non^seüle-
ment sur ïë§ individus r^ppQr^és p|tr-M. Geofl^o^?j^ a |s
encore sur. ceux que M. iEJ^çùberg a bien .vg.ulti
communiquer. Ils viennent de Suez étn4,es autres p$âts ide
la mer Rpi^ei oÀde savant yp^geur de, Berliffi>d^||a|,en-
tendus appeler nocte par les Arabesrîfous avons
que QÎg nom signifie tflche ;dans, leur langage.
Cesargne a la tournure du sparailïon, dont, il së‘distingue par-
ses dents incisives plus étroites :«t plus ©bhquest suarles mâ&hoiÉw?
il eii a huit à la mâchoire-snpjéripure, l'inferieure. Les denljs
molaires sont sur quatre rangé es»-,en haut R. sur tr©is~pn bas,^^qux
rend les machoires_plus renflées Æire-çelles du'spaæaüj^n, Le.sursca-
pulaire est peu visible, Les .épines de laÆrsale sont a’s^sez Portes. sLes
rayons mous -sont tfgsicourts ; ceux .de/fanale le sont encore plus1.
. r D. Ë Ë jg j A & .y. m , . ^
Le poisson paraît grk vferdâtre, à'refleSJflo'rés.'ïlîy^-sér chaque
flanc une vingtaine;fiedignçs longitudinales grises. ’De chaque-côté
de ta queue à sa naissance est une tache nqire,î»Fï’Q'ndieieD3djvisée
en deux parties égale&par la ligfte latérale* q u i, la t trayer«q. iLes
nageoires verticales paraissent âvéwvéBé jaunâtres /'le s pfectoçâlës
rougeâtres, et les ventrales brunâtres.
L’estomac est petit. L’intestin fait deux plis - il est assez ‘-gr
a cinq appendices ceecales au» pylore.
Le-foieëst médiocre ) placé en entier à gauche »de f estomac. La
vésicule du fiel est très-kriigue ; et après- àvoir ’l :Sn^| l^M p h a g e ,
elle se contourne sous des intestins de jmaniçre à" ce que son extrémité
Soit accolée près Âes'fcoecums, de sorte qu’il Faut faire attention
à ne p âsdompte r une apjwmdice de ptus.'-î*V
Nous avons trouvé dans le canal intestinal des. débris de fucus.
La t'essieènatatoiretest?grande et simple; ses parois, argentées et
LrillL^ps^son t ihoins épaisses que »©elles tdes ■ sargues d’Europe*
Lë&^qrêtes«latérales du crâne sont basses; la mitoyenne l’est beaucoup.
Il yj^ftdix .vertèbres, abdominales, et .treize pour la queue.
M<;Nos- individus variept de^sept à neuf pouces de longueur.
Le S Ah G]fE| t ête- i/e-m quff'ON.
^ ^(Sapgus/oy^, nobs;^parus, pfts., Mitch. *)
F xlef-mers d’Amérique imurÉW6nt plusieurs safgües, parmi
l e ^ k ^ p -vff p ^én a 'un a ^ ^ ta js ^ ü p is ,, quÉreSsèmble
prodigieusément à ilos jpremiëi'es espèces. tCest le sheeps-
heâd où fête-de-mouton des^'Angta^méricamS;-! /
JSon/çqnpsj nest pas plus élevé mais son ipuseau est encore plus
■'/'èbtus'ùuë celui démdtre 'saigne vié/lfe', parce que la nuque est plus
P la u te ’, çéqne la ligne dû-profil, mr'jaeu plus courbe, descend plus
verticalement. Le- frôiit^^t ^»lfis large. Le nu: du’sous-orbïtaire sé
* iqrôolO’ûge'hlavantaîge sur la. joue. Le limbe du préapercKue est plus
- -'liarge, et l ’angle de l’opercule plus ,aigu.
^ipeisives sont larges et au nombre de huit à chaque-mâchoire.
Les dents de la rapgée'externe de la mâchoire supérieure sont plus
| ^coniques-;- les autres molaires sont tout-à-feit semblables à cefles de
» notre sîtrgue, et en même nombre. »
Les' lWies,stiThr épèissês,'J et l’inférieùre a le tubercule que nous
'kv’ons ‘décrût dans les ‘sar^fè's1 dé no^'côfèé/4' !
Le's Opines5dé, la &K«lç Wde l’anale Apt; très-foroes, un peu plus
' que celles des- espèces des mers1 d’Europe.
Les nombres-des frayons sont:
D. fè/13; A. 3/11; Ô| 17; P. 14; Y. 1/5.
Les écailles-sorit. grandes et listes.»La ligne latérale se ramifie en
1. Sheeps-head, SchoepT, Naturforscher, t. VTII, p. 152'; Sparus àçis, Mitchill,
Transact. New-York, 1.1, pV’Sija., pl. 2, fig. i4>: