turdus cinereus peltatus? et auquel il assuré-Fque-'les colons
de la Caroline ont transporté le nom de shad, qui
en - anglais est celui de l’afese $ mais- les* auteurs méthodiques
n’ont point fait usagé de cet article de Caféshy.', |
Plumier en avait observé en Amérique une autre espèçe.
Il en a-laissé une figure fort exacte dans ses-manuscrits
de la Bibliothèque du R ©»y et je m’étonne jjue Bl'©ç|o,_
qui avait en sa possession un double des dessins-^âe Plumier,
n’y ait-pas” pris ceÇppisson. Peut-être nel^f trouvait-
il pas dans"«son exemplaire.
Le labrus ôyena3 décrit par Forskal (p. 35"), dans la mer
Rouge,'-en est, comme nous le verrons, une troisième,
espèce, à laquelle il faut rapporter le sparus erythrurus
de Bloch, et le poisson que Commerson- li fait dessiner
à l’Isle-dé-France sous le nom de breton■, que lui donnent
les- colonS françatëde cette île. Ce,dernier-observateur en a
laissé en inême temps une très-bonne description; mais*
quoiquejte rapport de eés deux documens fût clairement
indiqué par la dénomination identique .inscrite Sur lün
et sur l’autre,'et par la conformité de tous leurs détails>
Mi de LacépèdêÎRqui semblé toujours^ avoir pris plaisir k
faire deux espèces avec une seule de Commerson,"ét;sou-
vent à les placer dans deux genres diflêrens, a tiré de la
description son article du spàre breton (tom. IV, p. 134) q
et a établi sur la figure son labre long-museau (t, I I I ,
pl. 19, fig.i, e t p. 427 et 46^)-. Quant- au labrus oyena, il
l’a laissé ou favait mis Forskal, sans se douter de seg~r'ap~
ports avec la long-museau.
Russel (t. I, p. 67 et 68) a deux espèéeâ différentes
encore de toutes les précédentes, le woodawahah et le
woodan des habitans de Vizagapatam. Il les place a la
Suite' des; équula, dans dêtgenrepdês xeusj- mais en témoignant
qûèlqùë effet les grandes écaillés de
l^#^¥^whstdeva ïè» déljè lui. paraître>One différence bien
sensible ^titre' "le reste dj# genre auquel il
.l^^|-ssq,Via.i;L
un- geftrès que » Vikan-poeti de RenlfdL
Jpl. 2, qui tè® -<,aaje|i'} C'daUs Valentÿft t(n.t 3£)4 ) ?
mais sOps le ^,^i|^fzA«n-m^«-ii^^^J^tsis^n'^rOS-ceil).
'fi^riginaf daüs Vlaming (oe0î 1 îi^-nst? in titu lé îkàn-p'outi^
’qpf vêéieaà'ffaillfeom deéffif^prd!|l|et signifie poisson
blanc.
ï ‘siFdiitje-r él^ait obsèrvlë- getreS’, ' aiiàsii que nOuS
no^fj 'eny|qmrneèi 2âss,ur'(fe par le«fcfe$in qu!on. 'en conserve
dgps jë r BiblÿÉfhèque de: Bankà.;„t;ptt§is il l’âyàït - p ^ pôUr
imVwj&èr/eiÿ» par 'un- rapproMement elpO-re
plùs^arb i traioe|y iéStg^fa|t un^ci'ele ;W^eWWsb'§f^ciichla ar-
R B H H R n H f f l f f l l H I ri>,
MF. de, Humboldt vu un dans un dac ide iâ éote
du Mexique! sur la mer du'qud^/fit l’a o jc rit, djôis ses
Ol^(n‘uiu^s^È^^()giqaipssous le nom à%smaris linea-
fzzf^Enfin, le miteha lepîsma-de^ Linnæp|fi|d après les-
^wtnbres de doit' eiMofe appartenir 00'
genrèy^c^mme IV'faif reifiafqüær M/Rgup danseur Voya&é
de M. RuppëF9 5 mais-il est 'imposséblé dfè*n‘ déterminer
Il 'ÿ'!ià'^%Wmey|n getres dans lës° déùx
gfëâh§ ’en, effet nous jBa ’avons reçu xbf nord 'et du
sud de V Amérique, et de plugfeqrs parties de la mer des
t . ’SjstfiSVe posthume ‘de Blocbkf'p. 3^4-
2. Vojage de Ruppel, atlas'aètlogique, poissons 'dé‘la jçner Ronge,p. ia:* note.