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Le voile membraneux qui1 est au-devant de la langue et celui du:
palais sont couverts de papilles élevées ét charnues, presque aussi
fortes que les dents en.y^purs, Une bande, de ces papilles , qui
s’avance sur le1 milieu du voile du palais, pourrait faire croire au
premier examen, que ce poisson a dés dents: vomériennes : ce qui
, La dor^sâliç^t l’anale ant res myops1.é'teip.eux,médip&a^ 5 et ces
dieux nageoires, s’élèvent''àfjpep.prèjSipomme c’est l’oraitoaire aux
sparés.
La eaUdkle^est foùrchuej IesfpeofôraLes, pointues, atteignent au
troisième ■ rà^jifti épineux de l’anale. ,
! Les nombres, sont :
. D. 10/9 ; A. P .I 3 1/5^*
Z1 L’ôsWt^rlcapiulaif e ' es^m ontfe^commé une écaille un peu plus
forte ?pfè celles du^orps1," ’a'jl’an^lè supérieur Seu’opërculéc il est
fortérriènt* dentelé 'à's.db, bord, igt surimontë d’uôè rangée d5écailles
plus'fortes que'celles du corps, dentelées1 suîr leur bord, de-forme
oblôngue,1 et qui raboutent suy" W êrâne veÉs'lè front. Celles du
corps sont finement ‘ cÿlîlêes sur leur 'Bord ', qui est membraneux,
Leîburd radical est dêhieiei Chaque écaille est d’une forme à peu
près carrée, un peu plüs' haütè ’que largè | il y en a environ qùa-
rantè-cinq dans là longueurV et vingt et une dans la hauteur; dans
l’aisselle des ventrales sil y en a une pointue, mais peu longue..
La ligne làforâle est Jfortementifnàrqèrée, parallèle àu dos et uns
,peu plus haute au- tiers^de, la hauteur du c.orps,
La,couleur paraît avoir, çté,rougieâtre sur le dos, et argentée sur
les flancs e^.suf le ventre. Sous1 certain^reflets pn y©it,.des taefles
nacrées l%ïbng du doÿ La joue^êst ro x ^ ^ tje ?,ta^p|^ e de »opi--
hreux points hlanc de lait. Sur la do,rs^lteji| y a des taches rousses
assez foncées, phrsyisibles ,sur la partie; molle.
Ce: pdisson est Iqng. de sept pouces,. ;