©H AP. VII. LE T HE IN Ü S. 225
L e L ê th kpæ jsHaetx n a g e o ir e s ? a u r o r e s .
$Lèthriÿ.uj> cvéoeàp t& rù s, no h )
» 'iSette petite îeinÉîeeeia^ lé'Â^pBpsovale ,.-lé/museau médiocre, les
dénis petites et r<mdesffi&Éei pv.\.erddtce. le bord membraneux de
l’oppCulé orangé, les pectorales cl les yentrales-aurores^la dorsale
et l'anale .grisâtres,; la caudale verte^a^ez.’fqncée. Il n’y* a point de
taches surTe^^ûes.’' 1.
Ce poissbii est lohgpre cinq? pouces1.
Il %ël tro u v é aux Séfchellèg. M. Dusstunier ne nous a
donné aircune observatiônî‘|)articuli||.e sur ses habitudes
ni lç goât do ;sa chair. ;
'Kous avons vu parmi les poisons -du Musée de Berlin
un petit léthriims y sur lequel Bloch „n’a donné aucune no-
tiefe^et-*»ffi>nt ontigipre -la patrie, qui n iu s a para être
d d cbtfe
L e •L^iïïRRWUS ARPENTÉ.
(>■Lethriniis nrgehteus, nôb.)
Celui-ci ressemble un peu au jaunâtre jsj
mais''il®; le museau un peu plus court,' la' nu^ue plus élevée et
plus, tranchante, l’ceil plus petit ; il'n’a'point de'tachés sur la dorsale.
Sa coureur, est âr-géritée, à reflets hacrés. Toutes les nageoires
sont rostes, à l’exception des pectorales, dont le jaune est la couleur.
Nos( individus sont longs de ^pt^pouces.
C’est M. Dussumier qui les a recuëïllis>aux Séchelles.
6. 29