CHAP.: y.: djentés. 167
Les brandies des intermaixillaires sont longues, montent assez
haut sufi'de front, ce qu^dp1! rendre la bqmchp assez protractile.
M, Bfso Assure' qiie ce p5p*soh atteint trôis pieds de
Ipiigpeur et pèâf <klore" vingt livjres/^aMen n’eprâ vu que
de dix livres." Roudeiet pMtend que sur la côte de Languedoc,
il ne surpasse "pas la dâü’râder^' mais que dans lia
mé,r Adriatique .il devient trcs-^Tapd.
Paul J dvu,' et' d^apres lui le l autfes dcn^dlogistés, yan-
teift parficulièremânv^ux. dè Dalmatie yxt surtout de Sâ-
lôîie P s e Trau, que' les habitahs dë oetté cqw’roupàient
pçir' mofQeàiix, et ‘metfàïÇehi a ^qoim'ciqte. dans leur j*ëlée
et.aveu beaucoup de sarrau ‘dans aei^barils; riïôÿién par
lequel ils les1 observaient encor£trës-frais,, et lés Vèn-
daieiMîà Rônïë et dansiboüte rïtaïië.® >
' , ïjèi^cbrrelpondans de Duhamel* 3 lui disent qu’én Provenu
ef'ét Vn Langue do c j ï n ’èsf-pâs rare d’en prendre de
huit ou dix livres 3 qu’ir ÿ fdis de vfn^t‘, et
même de vihgt-cinq.a‘trènfef ënfin", q u en en a vu4 un de
.s.dixante-seiz'e. . ^
Il àp(M®®he dq^fee% sqlpn M- Risse Qu 2 53), en Juin et
-eh Âelft. ]\L dé"pQçfocl^ <Jùi était1 à Ivîg&Aen hiver, n’y
en â vu qu’un individu A l^cius n’en avons pas trouvé )à
O.êhés au mpâSf o vcmbf e ; -çt BrünmJjbiidit qu’en gépéraj.
il. ept Mar^e lfe du nofribre des. poissons. fa r|s| Il
ept beaucoup plus rare dan^ l’Océ^n que dans la Méditerranée.
uornide aWhre que surdefuotes deGalice eq h’èn
prend que de temps.l au tre4, et Bôrda;, qui en décrit un
1. Pèse, roman.î |$ |r a . ^—-2. Pêches, a .'p a rt. j sect. Æ^fKaïart. 3 , p.
3. Annales du Muséum, t. XIII, p. 3f 7. 4. Cornide} Ensayo de los peces, etc.,
p- 45.