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»aient attention %fèes découvertes. Qui ‘ta ir a it, par
exemple, qu’en 4770', danss a p ar t i e ^natouiiqup^îGoiuan
assure encore gravement que ie.Æerveau de-eçs' anfiniaux n?4
que troi^ lobes ,.^ f «qu’ils ne possèdent ni oreille, interne ni
oreille externe1 WjÈ
, ' (Je ne fut que quelques années après,
commença ^ rattaeher un peu davantage l’anatomie des
ppisson^ 'às leur bistoire naturelle.. B fit entrer leur cerveau
et leur oreille dans lesscojnparaÉsoni qu’il donna.de ces deux
organes dans les animaux vertébxjps. Il a 4Mt aussi de cette
classe, prise en général, l’objet? d’un exaïnjen.lptmparàïif ;
mais la diyision/mlme qu’il y établit, s
anguiRiformcs et en osseux, qu’il appelle épinëJy.^prouve
qu il n’en avait encore qu’une connaissàue&assez. légère^ Ses
figurç^-le prouvent, .encore ‘ mieux, Toiu^ois^se^mémoires
contiennent plusieurs ? observations intéressantes^ qui ri’a-
vaient pasété faites avant lui.
1. Gouan, Histoire 4®s poissons, «p. .a et 7g. Noos devons remarquer cependant
que l’anatomie qu’il,derme!vÈ ctasfefe offre une.'mymtSgië'assez nduvéHepour
l’époque j^SÉf»K\l!ostéBlogtfeC*â!y^rqu%lî3n35îkée. v*> 1
à $ .; J?Mix VieQ^nJAzra 4>médeciri ^ertijanatomigte •çéMi^e^t^eliftaiïï«fâiJfe|^ nfi"4'
Val»goete en 17^8, secrétaire de.ia sdciété royale de médecine en î t y j i è - ÿ 01b De de
l’ficàdérni® des sciences en 1774, et de l’académie française '^^n^&Sî^.JïWÏéss.eU'É à
l%®fe yptetinaife, mort .eüB^ ^ iU I’â jiubliicsur- le «W mïï placeurs M»f)B»W8s40|;
u a grand oaaarage orné, ^ p lan ch e s, magnifiqdeér, > et iJsaV^tîcoInmeiicé.'pqruB'lîim^:
çyclopédie méthodique une suite de'descriptions .anatomiques’particulièreaJPÉspèces
extraites idet toutes sortes d’aqteu^l M. Bippolÿïë ïp js^ e lj éi. continue..'Les M à
dont nous parlons dans le tesBtewsoffit,■■a'I°s^ïeiaf ilitwiltilEes'aÿ^S^seryiï à l ’hi'Stoire
anâton»qi^.d®sipëj^onS4<^i^dfetpiràepltt4 eâ& r^ ® iiî®®ng®r-s> imprimé eumjfli,,
p. 18 et 233 ; 2.0 unrméraïffir# sur:dâj*j^#uta'du te'éïyàSti?dsi'^®m’amfej GoinpaééKàJ
celui de l’hommejrÀcad. desrsci^nyS-g, p. 468S^‘âiS^“. Us softfc'réimpMmésidaHss-'lai
CalJeotioEiles oeuvresâé Vicq-d’Azyr par M. Moreau, ti V , p. i 65 et suivantes. ©ni
trouve aussi en tète .de; cettèîcôHeelatoiï une vie; deVicq-:d’AzyrrfeÉ'gj|é indication de
ses écrits, rédigées fuïteÆt l’ûutre avëc beaucQup'de'soin par l’éditeur.
HISTOIRE UE e’iCH®YOLOGIE, 4 4 9
Mais l’auteur Capital sur cette matière, c?est • A. lêxandre
d/onro, le fils1;, Bàns&sbn Traité du i^stème nerveux?|'4il
ffipnne îdfesÆgures du cerveau et d’une partie des -nerfs de la
morue; ’danèvsbn Traité dé-l’aaatomièlet de la physiologie des
pMssons 3, il. fait Connaître les partie molles dé céS animaux ,
elllsurtout leurs intèstiris ; leur circulation, leur système
iierveux, leurs organes-des'ûsens,* * leurs vaisseaux mftqueux,
par dë iglàndes; et^beRes planeRês^ enfin, dans son Traité
desïb’oi^ille, i l a parfaitement < représenté celle -‘dè là raie.4
Après Geséfautcurs qui ont traité de tout ou de plusieurs
parties de l’anatomie des poissons ^ nousMevons aussi menti
© nnerxceux quhseëèhnt attachés MUlèmëMÉ à quelqu’un dfe
leurs-organes en particulier. • '
Lçur eèuïe3 a occupé les physicidmfnon moins que\ les
anatomistes.^ dès 4 7 4 0 , avait décrit les pierres de
leur oreille ?.'rMoüev, en 4-7 4 3 ', avâitfait dès expériences
qui protoydnfe que l’on peut bhtëhdre -sous l’èauA jjfderoti
en fit de! dire^têfesen ■ 4 7 4 8 ; {sur la faellfté IqîiênIâS? poissoiis
ont -dfèntendré\ fyè^fjfoy \ décrivit en 4 7 5 5 jje labyrinthe
©XSfiux .de :1a rai®|q et indépendamment des' découvertes de
1. AlexamdYe'Mdynio/leqJèiîe, né a Londres en 16fi)7<rpTefësseur à Edimbourg,
mort en 1767, à; îla^l© un «p6titï'tiaité'M,éMà(oawêi ,é(3iÎ!paÿëë’)S®pi*imé
«pljgfea mort. (Séliîi tloïit' nolflSf>^ar}ô/JS est feonv,fl]s;, tfomcné aùSsi Alexândrt ,
*ip0-a:'&Êâién> atîotiè é n i’hi strVàh^ sys^M;!lEêitàh.,
ïn^fow1^ '^ .’ Tfié structure an&\f>hiysiology of fiskes explained and compared Iv'ith
thosc'ùf mon arld eifitr a n h h â f a j - ÜÔé'Uàiliicfipn
alfernande -par Sfetoeider. — 4.■ Obserç'atiMs oti the W^&TÉ fâ f hêdring in ihan and
o tfie r « m n te fa r Éitorodai|«|ÿ|llë^l6S$i0 -
w i Bans ie premiëf WèMët' a ê1 s%s; Mhsiis’jSkW.y dôtit "cn é tÿ 'âvo‘És'f,ÿarM,,ôï?;dessns
s6.'Métanirèis de l’ât^dëtiàie dëfe'SéreiitlSs'&é'Paris ipdiÈft i j 0>, Trans.
‘pniPMt. XLV,« nÿ°fîS|S6) p., i 4|p«. savans étrangHS^. U ,<