l'orphie. G’est surtout de la longueur des pédicules 'montans
(àt^ eés intern^xillaires que; dépend là »plâjis ou ^eoen^, de
prétractilité dç la bouche, Q’e&^-ij^ÉC y de qetoe faculté iqu’a
le poisson de lailaire saillir tout d’un coup en avant du
museau; mais toutes.cès-circonstances,, dont, nous parlerons
« l’article de chaque genrè , n’influent point sur la compo*
sifrion“ ctë cés parties*
Des Os nasaux^ Sous-Orbitaires e t suMernp&raux.
L’agpajjeil. nasal, sous,- orhitaire et sur temporal ]t@§t >le
plus variable de tous dans, des poissons* quant au nombre
des pièces dont il se^ compose., "Le premier
(n.° 19)j en général jle »plus prononcé* dans a i formés^ est
articulé; «I uneü£a(étte de ’l’apophyse ; inférieure externe ;du
frontal antérieur;; ce qui pourrait dg^aire regarder comme
analogue du -lacrymal1. 11 forme le bord ;e&têrne,ou inférieur
dé la cavité de la narine, pendant quç le/bord iMerne,.ou
supérieur .est formé,, par \e .tnasal 20) 9, qui s|artiçule
dans le haqt §y^iJ|«frontal (n.° \ ), descend de »longs de la
crête antérieure de lethmoïde ( nî° %*)«, et couvre quelque;*
fois par sa partie inférieure la jonction du palatin~(mi:22)
avec le maxillaire (if,018), et de cçlui-çi ^^pc^Tiirtermaxilé
luire (n.° 17). Au premier sous-orbitaire fh,’0' 19), dont
je^ienst^p parler, s’unit une chaîne d’os plus ou moins
1. C’est Yadorbital ovk^ptortion orbitaire du maxillaire de M. Geoffroy» .MM. Spix,
Bojanus, Bakker et Meckel le rapportent, ainsi que les suivans, au jugal. Pour
M. CaVus, c’est le lacrymal. Ce qui me fait considérer cet appareil comme différent
de ceux des autres vertébrés , SSït- qu’il recouvré les muscles , au lieu de leur
donner attache.
2. C’est l ’ethmophysal ou cornet supérieur du nez de M. Geoffroy.
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grands , phis ôri^jnoins nofhbreux (n.° 19) ^ qui finit par
aller|et rattacher au frontal, postérieur (n.° 4 ) , après avoir
la. tnoifffé’ inférieure de Torbitè... Çîêtté chaîne d’bsRelets
Èèprésenterait tout au plusfiâ portionÆe Tos jugal qui occupe
la même placé», dans|beauçoup d’animaux ; quelquefois
une partie dje ces ;os donne même une laégcq qui forme spuS
l’orhite un plancher incomplet.ii^e; s$ont euxji qui cuirassent
la joue et couvrent le-crotaphyfe ;ef dets muscles’ voisins dans
certains poissons, tek qpe’les trigles, les scorpèriesR certains
salmones, içtc. Ont yoit -aslez: souyent a leur, suite d’autres
petits osselets qui forment en arrière une chaîne semblable
&e chaque côté (ri.0 21 ) sur l’intervalle de Tapophysé^exleme
| | de l’apophyse, intermédiaire du crâne* et couvrerit l’articulation
de l’os .srirscapulaire (n.° 46 ) avéç ees deux apo-
physë^ ceux-ci du moins sopt bien certainement propres
acUx; poiâs0p9i -et nous n’aperceVons pas ou il serait possible
de leurchercher. des analogues dans les autres classes. Nous
les appellerons, surtemporaux.
De rA rcade palatine,, Ou du Système p a la tin pte'rygoïdien
temporal.|i $
Gé système est Composé, de sept pièces’ de chaque coté. II
côriipren^ asSez riianifestement le p a la tin en «^aift (ut° 22) r
1. Ce sont les jugaux de M ..-Geoffroy. '*,i
• •'•2. M. Bakker, qui me paraît seul avoir distingué ces petits os, les nomme surterrt,f
porauxWjsfâpfcP-fcmporalia)* Nous adoptons1 2 ce nom. i s
3. M. Geoffroy, «Fans lé tbme IX des Mémôiresidu Muséum-,, p], 6 y donne des
figures jdes lames palato-terfiporales de la morSt et Aumérou, mais san^expÈcation.
Plvfe tard (en 102% et i 8a 5»}qj en a"domÉ-unêiqui revient à peu près à la mienne,
si ceSfffêS^qu’i l■ fait 'de^ébon jugal et-^dp' mon tympanal son hypocoiyléal- et soit
ijdcoiyléal, de1 qui signifie queo ce- sont des dérnenabremèns d’un, os de la caisse,
lequel serait lui-même distinct des trois pièces qui composent le cercle du tympan
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