CHAPITRE T Y.
MŸÔL0 G1E DE S Pdtfè#G fôts.
■yx,$)ës moiwèrhëûf dàhF tëWquèletié des P'ôisMns *èft
susceptible.
j> L’épine^composée d’un nombre plus pu makis g ran d ie
vertèbres*,' auxquelles les cartilages qui Joignissent permet-'
téltt quelque mouvement des ma.es* sut des: autres^ sikiourbe
avee-faeilité àdroite.eiA-gaucbe,gsur. une^enle.pu sur plusieurs
courbures altcmativemeqt{ couvées, et eoncajp^el^n
qûleÜn.esEplus{pu. moins longue. Ella se,ploierai t fapgttom
dans ïe’sens vertical,%4§4es'arpopliv^ës;épin^^^û^ërieq^|
et inférieures, qui empêchent'd’aùtanfcplusles moWeipinf,"
qu’elles spnt plus bautes et plus, rapproelm||^ , j
Au total;,jp!est donc en frappant latéralement l’eàdpàr les
flexions"alternatives.de sOn tronqet de sâ queue,; que le poisson
eXercte son principal, mouvement en avant. La surfaqp
qpi choqué ainsi l’eau, augmentgou diminue^eEauteur
selon que les nageoires du dos, de l’anus et,de l&sqgpme ont
leurs rayons plus écartés et plus, redressés^cê qui ^ f a i t au
moyen dp la mobilité de* ces rayons sur.Ie§ osselets interépir
neux auxquels ils sont articulés ; mobilité qui, d’apsrès la
forme des articulations, a lieu.en avant, en ^îâère,J#UïSur
les cotés, au gré du poisson, et qui produit effets sem-
blables à ceux des mouvemens d’un gouvernail.
Quant aux nageoires paires, les'pectorales ont d’abord le
285
mohyqmenti de' la ceinture de l’épaule., qui peut se faire *
d’avant en arrière, oujd’arrière en avant, dans une étendue
qàp dépend-deda liberté^de l’articulation de l’omoplate, et
dfè l’existence ou>de la npn^existence du*sternum, mais qui
esten général fort b,OM©e^||pèsios du,bras sont rarement
doués d’une mobilité particulière. JLe carpe lui-même ne së
meut séparément que. dans lès* espèces ou il est alongé. Mais
les rayons, ont tous la facultë4de s’écarter ou de'se rapprocher
les uns lestfaittres, et la nageoire quiseiKeât composée.*
celle de? se porter en avant our-de^se^ coller contre' le»corps,
d'd s’élever|de s’abaisser, ou d’inclinoridiversement son plan
à; Khorizon* Elle agit ssurbensemMefd?u poisson à peu près
« m e ferait une » e ' placée en yét endroit*, »et-sa".force
dépend, de-te surface et^doda'- vigueur denses muscles. ■
On sait qu’il yyai da.psçlesv pirabèbes ett-fes1 exocets- des pectorales
«assezigrandes -«pour éléveit le j^iàÉuiphors de l’eau et
ha Maire décrire dans l’air une courbe a'sse9z*étendue!?*»»
Lessvôntrales ontde^ÊUoùvemeiBtti^pibS du>bassin, qui sô
portent en avantsyou-ên a rrié ré ou de^lôté, et, lorsqu’ils ne
sont pas samdfes|il’u n à l’autre.} s’écartent ou seürapprocbent.
Elles1. onJLenpore un .écartemenWaù un rapprochement-dè
Iëurs~rayons, un mouvement d’ensemble ye^s, la verticale,
ou vers l ’hoaizon, eru,se rapprochant du ventre», u&uèvers le
côte *: elle‘s’%^isâéht par-là comme ferai ëntMes raJmës.‘ fs?
Enfin, làdête^qui est un peu mobile-sur l’épine, a beau-,
èoùp^iè mobilité’’dans*faë^ mâch©ir^«ûêSxaréades palato-
tëAp'OfaJfes, sôfi !ds byoïd^'&p^arcV branchiauxj^ek os/pbà^
njtngi.ens.et se^npercules. Kec^ïtement ion le rapprochement
dè*!eesî iparities,,r très-utiles’:bôur la déglutition ëtinfimu:' là
respiration, contribuent auslEja u mouvement du poisson
en avant, par la pression qu’en éprouÿed’eau qui est entrée