d’Allemagne, qu’il avait observés ou dont'ifist amis lui avaient
envoyé des notices.» Lb«n ombre des figures.yièsti, dès la .première
édition^ de plus de sept cents; mais en y. comprenant
lesfêétacés, les mollusques et en général tout ce qui vit
dànsX®®1 *. Il réy.a aucun essai de méthode,-et toul^yest
disposé d’après’l’ordre, alphabétique/
Gesùer à été, pendant le reste du^ei^èiri^siècle, pendant
toiit db dix-septième et même pendant une partie du dix-
huitnaney l’auteur capi tal pour tous les animaux vertébrés.
Pour ce qui‘»concerne les--poisïs obs - en particulier, Alârà-
vànde ‘ et/'sén éditeur n&terveriu's- n’ont ijguère ^fiait qde
-l’abréger',de réduire >àKleur' plan, et ajouter aùx/rfîgûres
qù’ils- en avaient tirées, un- certain, nombre'-*deufigUres
ncftavfeEfesf! parmi t lesquelles ril en*?eéé$à la* vérité plusieurs
faites^d’après nature et1 qui coftsefve^Lt -enqUre’tde' là valeùalf,
quoique grossièrement gràvëesieh* boïsï|ï, ' i
Xa plupart, venaient des mers d’Italiel/mais il 'y^àtèSa.
aussi quelques -uns Al'es\pays! ^éloignés " q"ui?Tcommençaient à
êtte mieux - connus.^1]
En effet, les découvertes'»se continuaient dans.- les deux
Indes ;. il> êfï' établissait «des --eelohiesi; on en ^éSri'feaÆt ibis
relati@ife "qui f piquaient la ^curiosité par les -p^foductfons
naturelles singulières que l’on y faisait connaître des ®^varis
formaient des. cabinets.Jüt y rassemblaient égs; productions
t-. Ulysse Aldbovandi, né ,àj Bologne; enHx52^ÿd,uja&lfamilIeJrioble1!qi^s^Èsisli(e
•encoréj/èmpleyaîSâVieetsÿiF^unéà-.rassernbleiÿlQyiTiatériauXjid^SajgjCaQde Histoire
naturelle, en treize volumes in-folio, dont il n’a pul£i^[jû-méme|^eiiqa,ata,e,
savoir, trois snr les. oiseaux et un sim‘les,, insectes; Il moujpt eii r-êpéshéi-soixante-
dix-huit ans.• Le .volume desç-poiss^ons; et, des, cétacés,,-, rédigé’ en "psr&e-’éur ses
notes, par stfnjsjiecesseur à Bologne, Corneille ,U^j0aVEM®,<tn.’a ét4»iipprirné;qtCén
»6i^srpa%'>pâ^fti;.xéi(Bpjârné àfBolognè, en' 1638,, et ,en. i 644y et à -Francfort,
en x623, 1629 et x64o.' •
pour les y étudier à loisir. Petit à petit il en paraissait
dans ^divers ouvrages des descriptions et des figures, et les
poissons n’yîétaieâtpas toujours négligés.
Ainsi ' TÆevet, dans -ses Singularités cle la France
aritdnctique^ipaAaiAï, du calliqbitfôïet du marteau \ L e r y 3 4
nommait plusieurs poissions du Brésil, et sa nomenclature
-Raccorde, souvent avec celle que Margrave donna dans la
suites ,
dans sesÆvrptica} donnait la ebimèrefj plusieurs
diodoins, un o&traeion, un baliste.
: JDelàët, dans, sa'description du: nouveau monde*!, représentait
letrichiure, le chironectey.Ie gai, et quelques;.autres
pjoissonsài
ïtfffiçrembeFgë réunissait une partieMiiiisldoeiimejEp dans
1. dndréOEywwi cojdelie^'nataij.d’Angpuiêrné, qui avait .qcGqmpagné GjJbus
dans*-.soi)i voyage ëit&Qré!?®4 ettmwid®, ? suivit Wfillegaignon.lorSi de son expédition
aufÿàésil^eniJb'KBy',eferd:pui3'ïïé(»sies,:.©ts1eryattians?,5ieri4^S18,,.à.Anvers,,jous le ,titre
de ^Singularités delà antarctique ; petit in-8 s0',1, avec figures, eü bïîjÈs j.il n^.
parle q,ne>;cEe'. deux-omi.ro is»poiS^ons; pû,
^y^i^iedn' de Leby$ dé la Margalle ^.p^ès^S^iOt-Séineiltea-Bourgogne , né en 1(5,34,
ministre piÿJtestanfc, se Tendit aiiiBiesil, *en.-i<55J6.y -sunla denianxle) de ¥illegaignon.
Il-publia, l’histoire de son^vojage à-Rouen, 1^ ,8:, iat8^ : elle a-,été,téimprimée
plusieurs foi^tel&.nQféréeï dans,idi,versçs-;colleetioos.'ï Le chapitre XII j traite; >des
paissons',-«et. n’est pas sansintéretnll n’y appoint do.figures.:,
S. CftarleyiDseVEçiusE^ ?èh. latin Clustuss, ^é,;jà. Aras en >e^5;àj6j,y directeur, des
ja'rdinÿdes empereussiMaximitien JU et Rodolphe H; .mort, eo-r609,.professeur à
Lajd^îÆejlivre dohOàjjms» pari-oasrj, intitnléq Exoticorum libri X , a
parts à, ïAnversi, chez Plantin, in-fôliotj^s .
4. JeaniDELAEn.nAà1 Anvers, suida! fin- d.u> sekièmdsiècïl, rnortqu'i&4gs directeur
dedsÆompagiiiè JioIlahdai^ties.IndeVoGcidemtales,-grand pronioteur Jde;’]a,géogra-
phiey éditeur : d.el Margrav&jrqtQ., jest auteur de» plusieurs.ouvragés,.parmi, lesquels
figure, au preteier^ran^soa.^(»«j-oféiçiÿfljiegtde, ,in-îoldô.',On j .voit,
p\ ^ 0 jfen" chapitre sûr les .poissonsjdu Brésil, tiré, de renseignent^ tpanuscrits,
ï.'Bsv' Jean-Eusèbe Nieremberg, j ié ^ ^ n é à Madrid ea 1,5^0,. d’unqiamiüe ^originaire
du TyroJ j'aiqrtreni^^}^ fait de'narn^T'eux ouvrages* dont celujjquevnpu5„Gitons ,
Hmoi$a naturoe maxime peregrind,’\ & d l parut à - i^ e r s .,_ e p ;i f â â | :