e’e$t dans le plan vertical que leur mouvement est le plus
prononcé : ils peuvent se redresser ou se. coucher en arrière,
élever ainsi la nageoire ou en réduire beaucoup la hauteur.
Quelquefois ces deux branches se rejoignent en dessous , et
forment ainsi un anneau transverse qui s’enlace aVec un
anneau longitudinal de l’interépineux, comme on. le voit au
n.° 76 et au n.?**77.
Une partie de ces rayons verticaux sont deslos pointus ,
ét on les nomme aiguillons ou rayans épinèwc $ les autres
ont seulement la base osseuse et solide ; mais le ÿeiste de leur
longueur est formé d’une multitude de petites ârticulationsy
et le plus souvent ramifié en un certain nombre de branches,
qui elles-mêmes se subdivisent en rameaux .: Orf les nomme
rù fom y-m rayons bmnèhus. ~
Très -souvent y et peut-être toujours, ces rayons, même
ceux que nous venons d’appeler simples , se partagent longitudinalement
par n u e suture en deux moitiés. une à droite
et Tautre à gauche. i !
Les ray ons de la nageoire de la queue (n, -7l)~sont. toujours.
mous et. articules y. mais a sa racine en dessus et en
dessous elle en a de petits (n:Q!î 7.8 , 78), qui diminuent insern
siblcpient en avant, et où il ne reste que, la partie solide de
la base.
On peut remarquer ici que la nageoire de la queue a presque
généralement m ja ^ |e .à o iD S ..à '8 a moitié inferieure
qu’à la supérieure ; cependant cette règle souffre des exceptions.
Dans un grand nombre de poissons la vertèbre à laquelle
se termine l’abdomfen èt où commence la queue, et même
celle qui la suit (n.°;f$5, 85 ) , ont de grandes a p o p b y ^
épineuses inférieures, auxquelles vient se joindre un os plus
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ou moins volumineux (m°l|79), qui descend jusque derrière
l’anuS, et limite ainsi eiùfc »altère la cavité abdominale.
Dans la pérohfèfïcet.os est;eneofeun interépineux simple,
comme lê'M®utreut nos figures (n.° 79)'; mais dans d’autres
espèces il paraît résulter #fem très-grand développement du
premier interépiùeux dé!lâ A^gêoferé ànalë’, où de la soudure
de quelques-uns d^>prëmdewd^^llot*'t il n’én est pas moins
vrai qu’if remplit une partioydèstfoiMtions du bassin.
Lés premiers interépineûx, tant svijiëriéxir« *qù’i nférieurs,
sont dans certains' rbétodons vérifiés Jèiffi?güii|ss,es‘ ‘massives. -
‘ 3$-piÙsitawèM^#Mè%ëfeo^dè^pp^èlèr ici toutes lès variétés
'de-noùibreydé jibsitiony^B longueur, âe^grosseur, dont les
rayons'sorit 'èùScèpfiM’es : on Vdit‘ùe'55 circonstances dès l'extérieur,
©t-elles ;se'rCfent mêmè à caractériser leè'tespèces. Nous
ferous4eulement remarquer certains rayons qui' se ^portent
jusqùéHùr la tête, aù moyen d’un interépineux coùéhé^urTe
crâne, et qui,‘dlêbà* Cette position représènterif'IltesÆsf^ees de
panaché^.; on en voit de* tels dans la baudroie'/ dans certaine
blennies1, etc-. Nous rappellerons aussi- que dans ,quelques
genres; principalement de la famille des Motubresy les rayons
épineux dfela partie antérieure de la dorsale1/e t plus-souvent
encore une partiédes rayons mdus^dèia dorsale-et de l’anale.,
né se j oignent point aux autres par des membranes complètes.,
etroyl^^nfr.alôrs ce qu^ôn liommèpouPlp ‘premiers Êésépikiê&.
libres > pour les au-tres -desyîssiM'é'-eS' na^emresi.
Le* sternum n’existe* pas, à.: beaucoup près, I dans tous des
poissons. B. consiste en une séîie d’os!impairs, diversement
CQ^gprés ^sélon les’ genresj, auxquels |e | se
fixer. On le voit principalement dans les-Gilaÿ^i^Tes &onwFS>.