poissons quüls purent sëprocurer. Rayles-rangea- soÉsi des
classes et des familles, fonâées^eU prepaièreiligBe sur la
nature cartilagineuses osséûse du squelette^ puis sur la
forme générale g sur les dents ,'.sur là ; présence- ou l’absence
des nageoires ventrales, surI la nature dès rayons des
nageoires mous ou épineux , et enfin >' sér le nombre dos
jiâgeëiresdorsales* 1; mais nè s’îéfant pas bien rendu eompte
dè^fe qu’on devait entendre fpar rayons épineux etr par
squelette cartilagineux, il ne placé pas toujoùrs'-les«espèces
cotmteèf ellêsi'^auraient dui-Pêtre. dans, sa méthodéfe*Ainsi -Mes*
tupgëonAfemeûre parmi lesIjblësssbnx-osseux]* le thon parmi
cens i qui n’ont pas d’épines aux-nageoires:, etc. %
’ TrVofêi uilVia^^de © meffiodeae
Mffieatt q u e p o u r -abrégèr^-Sious ayons mis à la ;d.és'iforq;^ d'^
genres ,teds.,qsionJ^ reçoit, aujourd’hui.j mai&jatfilSfn^o&t norhjp^éjrqe lesvèsj^figs«
et ngyfes ont pas tQjijQursTiieii rapprochées,,
CARTÏIjAGIXEI ,
' Zrgoerm, Mi
L A T I,
— Rma. "
4,juiU ,
Rana piscatrix.
OSSEÏ,
PliANIi <
: An g u illa .^
M u ste là .
~ Mûr1&
*'Qôbio,.etc,.:
i Batistes. " ^
\ ' Strom a leu s.
c xjm r-JSNTjtûn?Rnstoxÿ&C;
Malacopterygii,
Pinnis dorsalibus 3,
J'jnniTdoTCHlibus ïu'
f’'hffî&Èck?™
^W3%èrlisHfl
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'î&’ÉÈWÊf'''-
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WÎmÿrtehwi.
Wituilè'h d \ï\^Le.
MulLi. . rail} lïrmii.
T ra ch in i. 8
i'u'/jrVi
• GlàùcùK
•Wimj: .A r g e n tin a .
B e lone.. |
'Ex o ce tus.
Lucius.
^S/cioence.
IHUnH
Sërfàïiî.
'Gastérosiei;
Il n’y a pas non plus dés genres bien définis et bien limités;
mais les' poissons ne laissent pas;*en beaucoup d’endroits,
Jêfre rapprochés très-naturellement • et de manière qu’il
suffisait de peu de mots pour former de ces- réunions plu-
isieurs^/dés genres qui ont été reçus depuis,
s;? Quant aux espèces, on y trouve rassemblées non-seule-
mentfcelles, que 'les auteurs ont vues et décrites sur nature,
qui sont aùè. nombre de cent Soixante-dix-huit; mais, toutes
celles, des auteurs?,précédemment ils intercalent les descriptions
parmi des leurs?, en, les arrangeant,- autant qu’ils le
peuvent, d’après, la forme qu’ils ont adoptée. |
On voit dans ces additions? une preuve de la prodigieuse
/Sollicitude que Rondelet avait mise, à rechercher les poissons
et des •sufeçès-.qu’il avait obtenus.,WillughbyVétonne souvent
duf grand nombre qu’il n’a pu retrouver , et’ qui n’avaient pas
échappé au naturaliste ;de Montpelliëh/ Après Rondelet c’est
Margrave-qui en a fourni le plus. Willughby îa ide aussi
beaucoup pour les poisson» d’eau douce, du manuscrit d’un
pêcheur dé Strasbourg, nommé Baltne r'; et à la fin Ray
ajoute un supplément tiré déîNiewhof,;-et quelques poissons
étrangers fournis par Lister. Le nombre total est de quatre
cent, vingtl mais les auteurs n’ont pas toujours-; su reconnaître
l’identité de*; certaines, espèces tirées des ouvrages
précédens, en sorte què l’on trouve déjà ici des doubles
emplois,-ce fléau de 1 histoire naturelle,,*.toujours prêt à
s’infroduire&sitôt qu4 l’on.n’apporte pas dans?une compilation
la critique la phis,;iéyère.
1 | •Gftmvwag-e, «qui, existe enoore^à,la /Lijkqlièque publiqtfg ‘d l Strasbourg,
ïioüs^éjçé .eomm,unique : ,ij< contient, des .figues, médiocres de qüamite-cinq pois-
sons, a earfcp ^ g|^et Aa^yfejia^autrea. amipimTs.
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