du vitellus. Gé renflement, qui montre déjà de petites écailles
écartées lès imès des autres; se contractera petit à petit, et
alors les écailles sd rapprocheront.
Die quelque manière que le poisson ait été amène à la vie
extérieure, il est désormais livrnà lur-inême et chargé seul de
pourvoir à ses besoins. Le très-grand nombre périt; dévoré
par les poissons plus grands, par les oiseaux aquatiques , par
tes reptiles; ceux qui'survivent, prennent un accroissement
plus ou moins rapide, sèlon les espèces1: dans certains poissons,,
cet accroissement dure a peu près toute la vie,* et la Viè
de plusieurs est très-longue. On prétend connaître des carpes
de plus 'd’un siècle; mais cette longue vie, qbé l’on a attribuée
au peu dé dureté des ns, est loin d’avoir été accordée s
toutes les espèces,
, .DE L’Ô RÇr A NIS ATJ QN^DEsVo TSSnW S.
Telle,est,*;ce nous semble, l’idéeigénépale que l’onipeut se
fai‘r,|de la inaturect de l’organisation desipoissons, idée qui
au/resté?rie sera complète que lorsque^nous l’aurons particularisée
dans*-lesdesêriptioiîs deslespèces, en faisant connaître
ce quiièlt propre, à chacune.
Il îè^^ltep selon nous, tant de cet exposé général què. de
tpütériles observations|suridess organisations particidièoeesf
que les,poissqns forment,une classe d’animaux distincte de
toutes dès autres, et destinée, en totalité .par sa conformation
à vivre, à sejmnuvoir, n exercer les actes essentiels à*sa na-
ture dans Pélément-.aqueux. G’est, là leur place dans la créar
tion. Ils y ont été dès leur origind; ils y resteront jusqu’à la
destructiôri de, l’ordre actuel dès Îchoses ^ dÉcè n’est! que par
de .vaincs spéculahous métaphysiques ou par dès,, rappro-
cheraens très-superficiels, que l’on a voulu considérer leur
classe comme un développement, un perfeefionnemeut, un
annüihlissfement de celle des 'mollusques^ ou nomme une première
ébauche, comme un état de fétus dès autres classes des
vertébrés. |
Sans contredit, les mollusques, comme Ies- poissohs r respirent
par des branchies : ils ont en commun avec eux et
ave,odes antres'verfobrés un système nerveux, un système
circulatoire*; un canal intestinal et un fôie;,v et personne ne
le Sàit mieux que moi,, qui ïe premier ai fait connaître un
peu complètement leur anatomie et leurs rapports zoologi-
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