M. Hammer, professeur à StrasboTirg, s’ë§WGtn|)é de nous
procurer leà-poissons du Rhin èfrdes rivières'- qui descendent
des Vosges. M. De GandoUë, cé célèbre botaniste a pris là
peine, ayec ÛVI. Major,fe5nservafeui du'Gabinet de1 Gëhéve,
et avecle • concours de plusieurs naturaliste^ helvétiërts jMo
noùs procurer ceux dudkc Léman, ët des autres laCs dë la
Suisse et de la Savoie; Ce qui nous a'donné.dës mOyehs,rdët
débrouiller l’histoire de plusieurs espèces;dé truites e't d’ombres,
encore fort mal éclaircie par Bloch et par së&rCorrespôn-
dans. Il y a joint même des poissons desdacs deLOMbaïdie,‘
dont MM. Bosc etSavlgnÿnotis ont aEUssi procuté’ plusieurs.
Géux du lac Trasimène notés ont été’ envoyés par'MM*0w'zV
Canùli, ' savant professeur* déîPérugia.
M. Bredin, directeur de J ’écolevétéîinaireïlfe Lyon, rtoüs-
a fait avoir l’apron du Rhône.
Plusieurs poissons intéressans du Danube nous ont' lté
envoyés supérieurement préparés par léf^tSpïis de Éê‘
Schrêïbers, le célèbre directeur du cabinet d’iiistoire naturelle
deYienne: M. IÀchteïtstein, savant professeur de Berlin, '
nous; en- a fai# avoir quelques-uns'du Bra ndebourg.-M: 'Thie-
n'éfcnhn, de Dresde, si connu par son voyage au Nord ,-hoixs
en a envoyé beau coup de'Saxe. M. lÿztsfèfi'nous en a fait TUïê
collection à Halle.
a Nous avons été surtout mis k même de bien connaître les
poissons de l’Allemagne et de bien constater toutes les espèces
de Bloch, par le voy age que M. Valenciennes a récem ment
fait à Berlin, et par la faveur qu’il y a obtenue à la sollicitation
du eelèbre M. de Humboldt, de rassembler jusque dans
les étangs qui appartiennent au roi, toutes* les /espèces 'que
Fon y nourrit, et en grands et beaux échantillons.
Nous avons même reçu des poissons du Don et du Phase
par les|sqins dl&M; ^Gamba-j konsul dêBrance èn Géorgie, efc*
la com mi®nâcikion que MJJd'chtenstein a bien voulu nous
accorder dés poissons-de Pallas, donnés au cabinet, de Berlin
paâr^M^ Rudolphi, nous a ffftoniBeku’efeîup de kunière^’ suï
îésç'èspScô^propres1: à' la Hu^i^^ÿ|apg©éfequi nous a pénétre
de la rèconhâiss!a|»&e la p l u s s e , c’èsfela gracieuse attention
qn^ShiA.'J. la grande-duchesse,Hélène a daigné nous marquât?,'
en - nous faisant- enVnÿëÉ. :enf beauxé&échantillons; les
poissons« fess plus rema«Eqùàiblhs- ids^^iprnpi re ayeé leur nôA
menclature populairél? Qu’il noust^tpermis^d’exprimer ici
notüef respectueuse. gra#itude pour*cfé#te preuve qufüne,prin-
ècssé'isîffetipguée a Bien vouluëdonner d’un, amour éclairé
pour ies'sciênees&ÉOl
Les grandes expéditions nautiques,i ordonnéésrpar le feu
Roi onfcltëtlmpléfeeîséettei longues,suite d’acquisitions, que
l’expédition ide Baudin- ^vait » Commencée!,MM-. .Erâpcinet
k. jE)n/fr7?ey5‘idhnsdeiU'S vôya|%Màulôur. dxNriÉmdef} ©ntt fait
re’èueiüit pd’apÈèsules instructionsf (j^Isw’avaïeiÉfetseOÙ^ du
zèle ppùr la science qui'anime le minifetèSçklê la marine,
ïes poissons de tootésdes mers qu’ils ont travétséc^et ils ont
êfé;parfaitçtÉten#'sëCOhd:és dkns cette decherçhey,de premier
par M - M v ' Gaymard, l^ségqnd par MM._ Gaçnot ét’
WMêssonv ‘Les-„relations de leurs" froykges' offrent au, publie
les figuré éplés-descï-iptiorts- des^èSSpèces- nouvelles les plus
remarquables quils ont décduvëMëPpPmais ils en ont rapporté
beaucoup d’autres qui, même lors quelles n’étaient pas
nouvelles pour la seienee, avafërff encore un grand Intérêt
pour nôtre travail, soit en* nous permettant dp les 'mieux
décrire que nos prédécesseur^ soit par les particularités
anatomiques et autres qu’elles nous ont offertes. C’est ainsi,
d’ailleurs, que nous avons eu les poissons de la Nouvelle