Ainsi, Fàrcade palatine*composée, dessus que noù& ayons
appelés palatin , ptérygoïdien in te rn e e tex te rn e , ;jugàl,'
^tissp et temporal, &èméut sur ses deux articulations, l’une
anterieure , qui appartient, pfl palatin, llauti|©®poi!tt|lè®ùe^
qui'-appartient au temporal, et î&on mouvement consiste à
écarter sa partie inférieure dé. celle du? côté opposé, b u ' à4ç|»
rapprocher; mouvementqui çcarte, âu&siîles brandhes$âe la
mâchoire inférieure et Fappareil operculaire, et dilaté tout
l’appareil branchial.
(Test une action-essentielle à la respiration, et que le?
poisson continue pendant toute siviffPlI
' Des 'Muscles de JOperctilec
Les mouyemens de l’opercule sont assez; semblables à ceux
de l’arcade palatinep ef les muscles qui les; produisent sont
placés en arrière cle ceux ïde cette arcade.-Il y en a également
un externe (n£°i2&^!, qui relève l’opercule ,éet un interne
(n." -2(>), qui l’abaisse.
> Ils seiÆyiseht quelquefois en plusieurs, ydptres/ Il i^t'a
même defefepbces ou lès rèleveués forment deux ou trois
muscles distincts.
Le releveur (n.° 25) adhère principalement le long, de-la
crêté externe formée par l’osiriastoïdien ; l’abaisseur (ri.\L26)
tient à la face latéralç inférieure, dans une partie oulagtand©
aile et le rocher, s’unissent ensemble et au .mastoïdien. Il est
séparé de Fabaisseur de l’arcade palatine (n.° 24) par le faisceau
des muscles supérieurs'antérieurs des branchies.
Le subopercule et 1-interôpercule n’ont pas de muscles
particuliers ; ils partagent les mouvemens communs i | | FarI.
cade palato-temporale et de 1*opercule proprement dit.
Il faut remarquer encor© que les muscles qui rapprochent
les branchés dé Fhyoïde^èt, qui contractent la membrane
branchiost|sge ; concourent aussi'à rapprocher les appareils
palatins etjl^pfeeùlaires.1
P Dèb S Os hyoïde.
Le principal (n." 2ÿ} répond au génio-hyoïdien ; il rient
de la face interné déda branche de la mâchoire “inférieure
presfdâisa- ^jnphàfsé^et se porte sivftr l è ^ ^ t e ^ e la branche
^oMieripeydu il s’iôsère à la première de-ses. deux grandes
pièces,. MÈsûz souvent; des fibres transversales réunissent les
deux génio-hyoïdiens-en une seule masse, au moins dans
leur-partie, moyenne, comme eela-s'#'voit dans la perche.
SouventfCun© bande fiqysj®ulaire transversale réunit une
braqëhe~de l’hyoïde à l’autre ; mais la perche pe Fa point.
Aé *rJ^ii^les*lmuseles ïplâcés eiitre, les' rayons de la mem-
btfaMe ■ branehiostfge agissent ausshn^dijàtement pour rapprocher
les .branches de l’hyoïde. Il ne faut pas oublier non
plus la portion du grand muscle, latéral du corps (n>.° 1 ) qui
se, rend au-corps de F hyoïde, et fait fonction de sterno-
hyoïdién.
Des Muscles de la Membrane branchiosttege.
Il y a généralement une coucha de fibres (n?.'s 28, 28) qui
règne en travers à la face interne des rayons branchiostèges,
et qui y.occupe plùsGpu moins^e place, selon les espèces.
1. Une* remarque n^oe'mBïns imporumw^î c’est qu’il rl’y à ijulTè analogie des
muscles de-‘l’opercule à ceux des osselets ;<îe l ’oreille des mammifères. > ‘