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imprégnée assez souvent d’une buile,.ou meme quelquefois,
comme dans l’estûrgeon et lé thon,'d’unè graisse ^ssez .compacte...
■ - ' '■ - ’ ■ ■■ . ■ :
On a remarqué que ce vide entre le crâne»et le~cerveau
est beaucoup moindre dans: les jeunes sujets.que dans les
adultes,eo qmprOiiVe qûe leur cerveau ne crôit pas dans la
même proportion que Je resté de leu^loç^s, H éfféetivement
noué en avons trouvéjes dimpasîons à peu jg&sgjæfe mêmes
dans des individus dont l’un*est d'âilleursgSùfolë de Vautre.
lies loties q u i composent 1’ep.céphalé sont,^açj^:à la file
les uns 'des’autres, et représentent souvent- Un^eapKçrfe
lés tubercules qWüs; contiennent'sont les «jua.drij^paea^-.les. îpbes inférieurs?, les
^ i v Bnpftsj^aftiillairas. Ainsi-l’on voit qu’il 4 éîoigno peu -&S' Çampef de-.6’eUx
qui i ’on^suiyk g&f fciSMSW ï » 1 1 •
L’Acadérme*des sciences avait proposé, sur^ma demande, pou» sujet d-un poses
prix d é iS k * / la description comparative ^ejrsWK^pbjaîc dansijbsnquatr'e'claisés* de
vertébrés, et,cette question easuta à de noyvçJ|qs-recli(*cbss'. |
L’a u t e u r d v publié-'SsBiè ouv^gfe en « 8 a fl déerit .et y
représente les eeirtSaux -de* la r a ie , dû requib , déf rSugé/wle l’a ig ^ I a t, 4/^esCur-
g eo a /tR i congre y «te l^nguille, de lai* morue b <hi-merlan,, deri’aîgEéfa y dpMjnrbot*,
de la sole,-de ln*carpe«,-du barbeau^.d» Wt<inchef djt brôc&ôt^fde-da perche/4 u
fl.fnirtiff.tt-dr la baudeoie. MalMuretfiêment
néglîgen«©. Ëe^grand volume'et la cavité4 ês»tiiberculeg C[ua<Wjui^auiidansj;les-®tié
derrtamtfi itères le déterminent'à prendre.,Vgîllgaeï^ï'- de devant Je
cervelet pour les analogues dé ces tübercutef», -efeA■cons?d«r6P/eü*gérf,éfal Féneépbale
des’ ppfc^nrçômHie représentant àbeaucobp d’égards'jeelui des ïetus deï ar&maux
supérieurs. ! M A SuRf®! w
M. ItesTnoulinsj qui avait aSsâ ^ v a i l l4fi®taç-èé^rix i^ipuSMI avec. M. Mâgendie
tm ouvrage i^us gteadti qué.cçlwqaSl av,afo stoumis'à^Acadérrfté.' Il Jn déorittdairS
le il.' livre, 1 .1 , p*'.i'4»*a*-flK, lesystètne cérébro-spinal des yoissbns-, et.y dpnnç
Jlani, leâ'articles'du DI.6 livre plusieurs^observations sur leurs. differenss.nerfs.-Sfe
descriptions sont 'àÿpixyées de figures des* cerveaux ;et d’nà^partie des systèmes
nerveux de* la saie -bouçlée, de la raie ronee $ de fer toSpilie/ de la lamproie, dé
plusieurs sqüéles> âeJ’.ésturgeUiiy-du poissO-raluAe^de-deux triglee, delà vite, du
muge > du barbeau /de la carpe, de la morue , du*®.erfenj dé la lofe, dÀ lunjp, du
turbot, de te carpe êt du congre. U adopte, comme M; Serre/ les idées d’Arsaki sur
les différens'lôbêS.
-t&IÜ&.'V. CERVEA-U ET NERES DES POISSONS. 3 1 4
double «bppcJ|ffc II y<«/c^péndpat aussi* des tubercules, et
mêm&*quefquef®is assez nombreux / caefiés^ dans l’intérieur
ou sous quelqu’un des grands lobeàÆ
-Pour arriver à reconnaître l’analogie de ces divers lobes
et tubercules avec ^eipk des, cerveaux des; autres classes, il
faq^d’abord partir d’un point fixe,, qwemous prendrons dans
le cervelet (a, pl. V l ^ f i g ^ Y I , YII et IX). ®
Yj’est^en effet une partie sqr la nature de laquelle on ne
peutosé.faapmper, caractérisée, feommie elle” l’est parce qu’elle
est impaire,, et par >sa position-en travers sur le haut de la
qiqelle, q ù ’elle joint par les pôtés, comrqe ferait un pont.
Or, e’ii avant dd èe taein/elet on voit sans dissection à la
facé supérieure une première paire de lobés ( b, b, ib .),
dont l’intépiqùr. |s t constamment creux, et qui sont précédés
^ar/uùeî etquelq*iifois par deux autres pai»es {jéy C/ ib.),
généralement solMesI-Dans l’intérieur, des lobes creux, sur
leur* planeher^' et - en avant dii c e r v e le t , sont fort souvent
dne^iù'déux paires dte petits tuberéiilés (H^ fi g IX).
A la Jace inférieure il y a sous -les lobes creux une autre
paire der protubérances -(ej e/ ïb., fig.YlII), que nous pouvons,
appeler lôbgs inférieurs, et entre elles, en avant, est
suspendu un corps impair !ƒ) qui répond&ft ce que l’on
noirnne, la glande pituitaire. En arrière du cervelet sont
d’aubesYcdïês ( § , <§) , différens par le nombre et la confi- 1
1. 0.n a. représenté le cerveau de lfi perche, toi sÿtnation, et avec les nerfs de la
tête et de l’epauîe, p l.V I, fig'.y : il est dessiné à part, par sa face supérieure, ib.,
figSVI; jmr ïecôtéy*fig. ^BL; pbr/de^i|^ï^ fig.VUIj et cîn l ’a dessiné, fig. IX/ tel
quftl'jipaît|loi^|uç les hémisphères oiÿ êté.ouverts et le cervelet jeté sûr-le côté,
après avoir .qotipé une.d® «es jambes. Les. nerfs superficiels du corps sont représentés
âvéèulk muscles/pT; IV (la preiùiéré 'dô ia myologie), et les nerfs profonds,
pi.v.