pas douteux que' ces livres ne »^puissent fournir, quelques
notions sur Pichtyologie. de Ves régïôns peu fréquentées^ Les
recueils d|e peintures offrent des ligures encore meilleures!
maas ils sont bien plusferares. 1 |
Koerrvpfer aîta dait graver quelques-uns de Üeso poissons
dans sôn Histoire du Japon , et ys à:ajout^i|uelques détails
tirés de Kvrés japonaisyet la comparaison des espèces avec
eeHste que fe? Hollandais prenaient -d'eîson'temps aux Wiô*
luquesi dette partie fctedson travail a - été copiée par Chàr-
levoiæ&
chinois. C’est umimjmrné petit in-folio,, contenant beaucgup.de figures d’anin^aux
aquatiques, Sont quatfe-vingMrois" 3e poissons,' grâces sur bois çr coloriees
en grande' partie semblables à'celles de l'Encyclopédie. M. $bël?fl.é1ïiîlfè&ro%,bien
voulu nous déchiffrer quelques artielés de ces livres ; nous avons ciu, pouvoir en
citer barmmeioefi§ figures, celles des espèces'connue^^^teayant appris à apprécier
la 1 fidélité'des âùtres.
, ~fli. îifous avetéi c@PSBife|)lusieiu^;dehees.Té©|^lsÿ entre autres un très-beau , qui
est à_,la hihliqtjfeque dp IVluséum ,d’histoke naturelle » eedgqt *M. de Lacép.ède a
aussi faîfeusage. I lc o n fient cinquante-quatre f< ailles'^iiF-lû-fio trS SMiï^v^u péri
euremënt -péinfès. M. Dùssumier-’n(ÿ^%ff''lâ-^omrnifnrqu:è! p lui î^cbmrn‘» f ' ’un
autre, ou il s’tri trouve encore «le plus soignée s Jau nombre cio vv 01 g hqu a tre£i M. Ife
duc dttRiyoli en possède nnjsnperibet rapporté, du Japon'par feu TEtsinelÀ^ etrau»j.Ies
éoms%apt)"nàîs sonVâjSütés en caractères européens Cil aineii voulu nous ■permettre
d’eii prendre? ceMÏËfaissâüeeiLë''ni>ïnbirfe; des'po’iSsortS ƒ est de tfentefen?Ws>
J |2. Enge&ert Kæmpfee, néJiLenjgow, dansJejçomtéide 11 Lijïue^uiitttbÂji •
en Verse eiw'f^^Cs’embarqua’emi 688 sur fine frotte hbÉâiidais'ê q’mjK>i;.;?il dans
le^golfe*PersiquèfgâWiv'are#'î68.£f"à Batavia , et se rendît"de^à!-âu'’Jipéffi j ‘en* répartit
yerSjla':fiû de i^ g i^ p ^ n t deux;ans après en Europe, et mourut en fi^&jip^ecin
du ppmterdé ja Liripel II ppblîa en a 7 1 2,ses\ Amoenitates. exoticoe, en "cmîHiyres, é&
laissa énniatmscrit et en alléniaiid son Histoire naturelle ecclésiastique du.
Japon, qui fut acquise par Hans SloàriëÇ tfâduitê^.ën'àfigtefsïpElr SclfiMShzÈiïy: et
imprimée à. Londres- en II y en a'une traduction. jfratjiçaisejvEa Haye, îaaqy
2 Vol., in - folio. Les planches XII — XIV représentent” des animaux aquatiques,
parmi lesquels sont douze é^eceynS^ÿSisSôiiS. ‘
:&^ i ' ,îPieTié ^PM ftfd is -Ê a ^ e é i^ i^ ^ i^ ^ â 3dr .jésuite, né à Saint-Quentin en i6 8 2 ,
'mort' à-La^fitefté Dans son iîpîdtf« die'Japon, Pariai, 2 vol. pjjpjjtâj
J-ISjjiB KæmpteE^^teëi‘ë%WÉ(E0^^fiè'!btjqtfiLtei*#ufe. ©e s t à l a fin du sefiond
v o lum ed a n s un Supplémeflt, qtrtl''place l’article sur les poissons. R$
•A||pus •' devons faire remarquer cependant que tous ces
docu-mens chinoisoet japonais,- secs!et mêlés de fables, sont
à peif pi^ ï inutiles quant aux testefeÿfon ne peut tirer parti
qüè des fïgu^és, leS artistesfétant de beaucoup supérieurs
auk^ écrivains.
Mais un voyàgOupde l’époque dimb mous parlons, qui
avait travailléfeeuülvrai. naturaliste^ aÉ&ià qui l’ichtyologie
aurait étéféminemment redevable^ si son ouvrage avait pu
voir le i‘jour de son vivant; ce»fut légère Plumien\ Sa
réputation comme botaniste dMan- ordre- supérieur ^est faite
depuisMong-'teibps ; mais il n’était pas moins bon zoologiste,
et^sur les poissons en particulier, il ayait fait, soit en Pro-
vencôftea patrie yc<ÿ>it4 aux Antilles, uÉé suite nombrêuëe de
déssins remarquables pàr leur finesse Vt par leur exactitude^
et dont on peut dire qu’il ne leur manque pr^qu&cqpe
d’mêrt rendu correctement les . nombres déf rayons-, et
d’avoir exprimé lés dentelures des pièces operculàires dans
quelques‘' èëpèëes^ob l’épidenne 4esT «masque )pendant que
l’animaf ést fraisé^
; 1 . CharlesPimntn , hé à Marseille en 16 4 6 , minime en 1662, instruit en Italie
par-IioccmWg^rnî dé TouiueŸJrf et de1 Cxanddl, f it ,un^Sr^{riï^^oy^e^î''Id ^Marti-
''®:Ssî:^& *^9ü gouvernemenl
: il visita aussi les îles voisines et même le continent. Il mourut en
^ » i t e - I ^ f e îV r e s J ^ C à y i x / ^ à q u ’i f e ïS ^ x 4 tmom1eiittde;l;'plrfir
jpour le Pérou. Outre ses Plantes d’Amérique (Paris, 1690, in-folio), iel^SToilveailx
gJef e î ( . J >aris> ! f « { V iOE Z f ^ m n - t o h o fM e s Paséic\fles
pübiïes'par Burtaan, à Amster3 a f n M ^ ^ K ^ ii^ ^ T I sf i| ilsé une gran'tîè quantité
de manuscrits, qui étaient restés à la b x b h O T e ^ lW '^ i ^ ' d c la p la c eV o y â le ,
b t '^ i ' s o r i t^ e p ^ ^ '^ îm r d ’lmr à ^ V b ïÈ U o t^ f fP â u Wô^^Wlefte^d u Muséum
d’bis toile naturelle. On peut en voir là notice par M. Duvau dans la Biographie
universelle, t. XX X V ,
2.^'Les 'dêssins de^oissohs se^rbuvent aujourd’h u i l ll a tbibliotMèque d u 'B o i, aù
^’Pes ’ religs v^wfiie^'d’é giàHdeu?différenfefj‘n1:iïules, l'eut,
V o i ^m ^ i s e q u b c , lézards et’'insectes'‘\ n i 'c^ jt ie n ^ ïe n t c in^ u l^ p s'èp f poissons®
le second, Poissons d’Amérique, qui en renferme cen t; le troisième, Poissons et