ces brandies ne se divisequ’en deux os principaux : \e den-
tairé (ri;0 34)-% au bord supérieur düquèj âdKèrénfedes dents »
et l’articulaire (n,° 55) You esj la facette pour l'articulation.
Ils s’unissent principalement par une pointe du second, qui
pénètre dans un angle rentrant du premier. Un troisième os<j
plus petit (n.° 36), je laisse souvent aussi détacher de l’angle
postérieur sou^ rarticulaire, et on peut le, nommer Yangii*
taire*; -et l’on en trouve quelquefois un quatrième (n.°&7)
a la face interne de l’artjeulairë : il répond à \opèrçfilàiré
des reptiles.4. Ce n’est que dans un petit nombre de poissons,
comme le lépisostée, que l’on trouve clairement lés mêmes
os que dans la mâchoire inférieure des crocodiles, des tortues
et des lézard s. JN éa n m oins eé fait suffit pour que l’on ne puisse
admettre l’opinion de M; de hlainville, adoptéëmomentané-
ment par MM. llojanus et Oken, qui suppose *pie ce sont ces
os manquans qui se transïorment ep pièces opereulaires.
- Les ^mâchoires inférieure des poissons né varient pas
moiffcs datis»leurs formes et ne sont pas moins eonstantés
dans leur composition que lés crânes et les mâchoires Tsnpé-
rieures : tantôt t(>ut-à-f«it transversiales, tantôt paraboliques
ou arrondies en avant Y tantôt-formant* un angle pfus ou
moins aigu pelles ont quelquefois leur symphyse alongée en
pointe grêle et aiguë, comme dans l’orphiey et même dans
1’hémirâmphe cette pointe s’alonge sans xpxe la mâehqire
supérieure y corresponde. Cependant l’inverse a bien plus
souvent lieu.
. En résumant le.eompte de ces os de la face, on voit qu’il
1. G’est lé subdtntalde M. Geoffroy.
2. Jjé submalléal de M. Geoffroy. ^
S. Le subcolyltal de M- Gébfïroy.
4. Le subwrnéral de Ms Geoffroy.
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y-en -: a dix-huitiom dix-neufjpaépës^fcëonstansy savoir : üne
auxmàsaux, sept* à l’appareil
palàtor-temporab,7 quatre a l’appareil-operculaire, ' et quatre
^m êm ftfc iq à la mâcboiré infériiùM|.à quoi il faut Ijqou-
ter les soùS1 2 * 4- orbitaires et les surtemporaux, qùi I dans la
perclie, lirmeiit eneore fhuit paires^ : etffÿ*joignant les os du
crâne, on trouHib, pour-M têt© pr.opremeât'ifife, un total-de
soixante ©s ou à peu prèsy maisdessubdivi^iohs auxquelles
l’os maxillaire supérieur est sujet, augmentent quelquefois
sensiblement ce nombre, p
T)e PÙsf^omê^eï/ides^Majoïis’brandSio^Àg’eS’. Vu
Lès tyms piefees opereulaires ne. fermenfcpas â elles seules
la grande fente qui est de ehaquOiPÔté entre la^tête et l’épaule
du’ poisson et dans laquelle ? sohtjles branchies#la clôture
en est complétée par lffc^pmiHrane < diteld>xar^èh^o.ste^,}, qui
adhère,jù l’ îd'g-éfjgtjjOS ( pl. 111, fig. \ I et V II ) , pface
Gomme 4anS les autres»,classas de, v^EtébréS^^mais fOuiqars
sfcpjeudu* ap fêmporal,, se compose- de ; deux bra nch es, cha-
cune de cinq pieties-p^savoir : VqsspleP .it^lbide^^n.0 %%),
qui M^ngpend au-temporaLa, deux grande^pièçes latérales
(méjST et-58), pla ça s,l’une derrière l’a^ufre,. et formant:1e
principal dç, la hranèhp ^esCl%postérieure des deux
[n /3 8 ]^ q u i s!attache à l’interopercule) ; enfin deux petites
(n.°5 3») et 40) placées l’une au-dessus de l’autre à l ’exfrémité
1. .On'a -représenté!ItÉs^hyoïde’y.u/par;le®.c<|fjéçj<pl. U, figi.VI,^et-pi. ffl/jfig^ Ij
et yu en •’dessus/ ayepsMs „q$ des braJoehi^sgfiglj. III, figi.VI. * i
i o 2u:j Le. styl-hyal i0sçeffiojv
3. M. Gfeolfroy, qm croit.ees',cbux.piè^prinoipales dériyées«du Sternum., nomme
l ’antérieure hyo-sternale, et la postérieure .foypàrstëmale. *