constater; nous ne nous occuperons pas même d e^ o p tre r
avec cpiel génie àL jeta les bases de l’^ÉApÉNipi^ comparée,
.et établit dans.l© règ®i«e animal, et dans plssieuES.de ses
dasses, d’après leur organisation, sue distribution^ laquelle
les âges suivans n’ont presque? rien eu à ighangeriî^fcliest
uniquement comme ichtyologiste que nous »mis» à le considérer,
et dans cette branche même de la imologi^^?e!ut41
traité que celle-là, on^iêvsrait encore le reeonnaîtr.^ï»mnie
un homme supérieur.
Il a parfaitement connu la structure générale dpi pèisfOPs.
’ « l e cou leur manqué , * dit-il; -leur queùeest continue
avec leur corps-, si ce n’est d a ns l es raies^ énu elle èst iengue
et grêle; ils n’ont ni mains, ni pieêsy ni scrotum, ni memjfeee
viril , ni mamellésr
• *• On doit en animaux marins q«i pr#-
duisent des petits vivans, |d s que A» dauphin, q u i’aisés
mamelles cachées dans des sinus près délavulVe.
«.Le caractère spécial des lirai!s^j^il'sOns'->eôd^fee^dans
les branchies et dans lés nageoiresll la plupart ont quatre
nageoires-; mais ceux de forme alongee, comme les-angU'iliis ,
n’en ont que deux. Quelques-uns, comme la murène, ên
Manquent même tout-à-fait/^es ra^çs^h^en&ia:^^,tout |gÿr
qui empêchent, la. génération, qui est peut-être celui què» Poil ra®ge tfo^inairig
comme M«euvième de l’histoire des animaux-rOn-lui aittrabua» ïMisIi Je :teaätr<8.D«
mirabililus aiiscultationibus, dont la meilleure édition est UaHteVidBdRtâibnUaÿGoet-
tingue, 1786, in-4-0 L’histoire des animaux., qui nous intéressé <pai>ticHliese»ent,
doit:•êtredue dans!édition générale des|OEuvres d’Aristole de Dayal, Paris, 1629;
-ou dans l’édition particulière de 1619 ; et surtout dans
-celle ■ de S^mrâder, Leipzig, 4 r o i én-8.? «Gamus Ua paMiéé, ias#étSfiôroe
traduction française en général assez exacte, 2 w l. in<4-°i naâs il ^
a j oint des-notes qui malheureusemen t ne sont -pas d!hn naturÄst#. ll-jnen a une
traduction -allemande par Strack, arec des notes; Francfort, i*8#§ÿ 1 -vol, in-8.° •
corps élargi. Lesibëanclîfes sont tantôt munies d’un opercule,
tantôt telles en manquent;»et; c’est le cas des cartilagineux:
les uns les ont simples et les autres doubles1; il a même
remarqué^que le xiphias* a huit branchies de chaque côté :
Üd qui est, vrai tdans: cet sens que chacune de ses branchies
iÜ diviséiàen deux peignes, Aueun poisson n’a de poils ni
ii© plumes*; la plupart Sont couverts d’écailles, quelques-uns
d’une) péa.üf^Lde^Ôut - langue est dure, souvent
aimée j de dents; quelquefois ttellement adhérente qu’ils paraissent
»; en maukjudrÂjôet cela parce-'qu’ils doivent avaler
rapidement; s^eàt (pourquoi aussi leurs dfentSfspnt généralement
- crochues heurs: yeux manquent de paupières. On
ne voit point leurs oreilles ni leuxs;>narine§:f ; car ce qui
tient lieu' dé narines est urfe cavité aveugle i^ Ils jouissent
néanmoins’ desvsêns du goût, de l’odorat eti.de l’ouïe;1 ce
quë rè’autenr prouve* par- de nombreuses expérience^6:* Tous
ont du sangî:^t(hist|4es écailleux - ont ' des oeufs ; maïs les
cartilaginëùÉ, si fori? exeeptëMa baudroie, font des petits
vivans7. Tons^oht nn coeur,- un fqfeet un fiel; et à cet
égard il-entre dans des détails très-particuliers et très-vrais
§®fr les ^fei-eulUs biliaires du calBonfpaèïet de l’amia; mais
il se tronipe en refeant aux poissons des reins et une
vessieir^f^l
« Leurs intestins varient1 beaucoup ; il y e n a , tel que le
iniige, qui ont un gésier ehaarnu comme les oiseaux ; d’autres
n’ont presque pas â’estomae apparent 9i Des appendices
âvei^Les adhèrent près die leur estomac», tirés -nombreuses
l.jQ ir f ., LdL, yW â ., 1.111,&J8» 2, JH£si.^,kÆ., c. i3.
— ^..kDepmliß., ï. i . Hist., L H „ p à 3ï y* 8 .L . ÏE , & ih . -~ 6. Ibii.
—- t . L. II, c. i 3. — ,8. L . I l , « r9.. j0e -partit., 1.111, eJÇfei w