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a fait dan« son histoire du Danube sur les' poissoris'de? Ce
fleuve,, qu’il a rassemblés i aVec^s'ëin, déerits avec Passez
d’exactitude, e t représentés sur des; planches magnifiques,
auxquelles il a ajouté une anatomie fort exacte de l’Dstur-
geon bausen. §
— -De nombre de sës ’espèces* 1 * est de^Gtoquanfë-trois ; oft&jf
voit* entre autres une poécilie qui n’est point ailleurs. ;
G’eSt sf 'pèine si l’on doit nommer ici quelques ¥Oya-
geiirS de cette ^poque / tels que 1, des ÊSë^
■git^-fÿ$[esLabaf ?}'hss* Lebrun% tes 'RaiM'Im
sons, contient dé'triw-bèîiesfigures de cinqùanté-frofsrespeces •. ranàtoaue au hauseiï
est dans Je tomëVÎ.
1. Guillaume Bosman, onpliyt de la Compagnie »lipllapdaise des Jnd< s fegrà-
dentaies en Afflqiyr,' a donné en 170D, à lürreelMjMias-Pg;, u a l'oyefyç en Guinée ,
’àVec‘ues descripùSsjîet dfeOîgüres aanÀbajiï ’piuS ■ïrôtw5rqpses'*‘êt'^pD0s''éxactés
qu'elles:® e, le. sont dans la plupart des ouvrages 'deeOgtgenm'i ')■
^.François LbgoAt , ®é etr Bresse vers V&3 8 , eipatriét lora-dè ‘de
l’édit 8e_ Nantes, eonflne à ffie 'Rodrigue de : revélîri'îïfemfÈbFOpe
én r€g&)m8|t;â Londres en 1 "|1>5 , «•ÿiiWié en^7^*|l'à^ÔMdfeisi,Mndt2Y Ï«s>fe ),^« i
est aventures 3e François Legbm et de ses compagnons, etc. 11 y dt>àos$Mes flgTüTêStrSfe
qtielqïteS animaux, ria is faites, à ce qu’il parait, de mémoire.
3. Jean-Baptiste Labat, dominicain, né à Paris en'il^§^M«fisBîo*rfaâ&1éffiKla
Martinique en ifip4 , revenu enEurope jS^VS^Hipj metît ri
qnatrè ouvrages qui intéressent àrquMqï角't^ td s wistoffe-'natMïeâfe MRÿSrty8ÉK|®i
voyage a u x îles Antilles; Paris, 1^22*, Jf> Jvol. y»<ld* a d â .éditions de La
Haye, ityiiltffX.itjl&i; de Paris, 1738 et ï j l p t -et des traductions en allemand et
tu relation de -FAfrique occidentale, d’aptêf IVSwMémèiréis» dq-
Brue 5 Paris, 1728 ,^ v o b â n - i2 p réimprimé ea. 1 ÿ&Stt, etrry$8 i’- Stfi Voyage èciche*-
valier Des Marchais en Guinée et à Cayenne, fait en rfesfl Aiiu7 Paris, 17&O,
4 vdl. in-12 ; rékîlpriiné en 1731a Amsterdam. 4-° Relation historique de l ’Ethiopie
occidentale (Congo, etc.), traduite en partie de l’italien dn'Oapucin;(*AYA2zij %risj
rq^êSyLs YCtl. •irr-12. - i
4 . Corneille Lebrun, peintre hollandais, auteur de detox voyages où il s (donné
quelques objets d’bistoire naturelle, et notamment quelques poissons-: 'Voyage au
hemnt <, en1 É g y p te en 1Syrie p etc. ; Am s t erda m Jpp^îffto Vcd. inMf<did.!; Voyage-, par
la Momdçie, èty perse ersaisc ’Indes orientales ; Amsterdam*, 17*8, 2 vob ifisMid*.
- 5. Paul Lucas, aé à Rouen ea i884, mort en 1737) a fait de nombreux Voyages
HvlSTOl,S!î^|^>qX^eHfîO-|-0GlE. 65
K@J}b<ex, qubm’étaierit poin%^turafipfe^f0tep’ou.t dQWué sur
-tes;}pQi^oii&< que des figures en petit nombre, peu exactes,
et des articles le plus souvent mclés de contes, populaires.
Mats n#îi% ptes pouvons pas; traiter aussi légèrement deux
IP^ueilsidi poissons, fàitsafan« les col oui es bollarid aises de*
Indesjiipipitalps, j t qui out ser^iscte matériaux aux publi-
. cations de d ^ 'fy lm tjr k ^ t^ e Renard,
h* Ujjl premier? avait été exécuté pour Q&meille dp JSlaming*,
par un artiste qui n’est .pas. noinrué. Il a Servi d’original à
la prenfiései partie des poissons des Indes fie Renard3 4 *. De
1 . ùJiifiâV.', v'lllt4 * donné des' relaüôn^pcÆ’m^l^MsS^^titres ; Voyage au
L e v a n traris, vèj r'ip-12 }Vojfa'ge addns la' Grèce1','l'Asie mineure, la Macé-
’$ÿmepk'l’Afrique; Paris, 17,10,^2 roi. ;if£qyçge. dans la Turquie,A ’Asie-, la Sourie,
AgÆaf o ftgg. la h a u t e ^ p J y im s ^Æ g T p t e ^ Y 17 i l s ,^ v0^‘ P es nwragps ont
ctéjswÆmf ixiiijj)run'ég. On y* 1x0^6" des peissonV’dù ïïil.
lv P'i'èrrè Koibe, né en> A&yW-à •’yVunsied'el’ÿJ* dinS^la^lp^ys de,, Bareu tb., ». envoyé
au-'^p^en^in^fj rejenii»eq Eqrppe en,ÿfoy2,.mort,en;sÆ2fiJ^njubliç en ,177a ,
eniîalleîffland^ Mire irelatfon n e ,so n Voyage, Xuï< int><rg^iv^vol. in-folio, qilj a
rèpiVrreiî' aSEtmann™®HeuXvolumes, Amsterdam, oir en a une traduction
a'brégée?uAnisteréLaîn,, Il parle ^e' .qùélgriës
ip’ai^ons, mais mal observés. Les figures paraissent ayqijsjfté,faites,en Europe après
.stîmîrlo’u't.
• -Corneille De .VlAMWG avait été maitte d’équipage de la Compagnie, .bol!an-
^ai^ yîés pidies au, Beï^aJe^jet- 'rame^'.pooiime, amiral la flotte dç, ij j^ , ,8,qn
jçeçqeil, original est au-jaurd’Kui pcto,sqjçYé»au Muséumt d’^jÿtpire. naturelle^,il est
.et il y est’diK^u’ftl'^'étéslesfei'Bié d’après nature par l’ordre et
sous l’inspection-; dg Vlàmîng. ; s
h.sÉoLsonssi-^mnAe^yt^crai^) de diverses couleurs ç^figums0 trqqpdplgires, qqe
rpAtrome;autour des) Moluques et-sier les- cétes des-terres,, ®usilr^r,îr^ii‘i4rnafepjanj,
1754, in-folio.
-Louis RïNARDîj agent du roii,d’^ g le te r re -à‘Amsterdanâ,;avajt préparé sa publidè^
ni{}ve,
.ifi^'s3litÉkIieae«priria^i)^4A -pw^'ilea so iù S id e ÿ^ î^ e r i. RenftP® ÿlf&Qtè un, certificat
de Fièderic-Jules Coyett j portant que fps ,dessins d{:>ee|tè prpqjj.^’q-paiitie.ont été
faits dans la maisoûidiè son pèm^:Ralthasar CqVErp-, gouVerp^rd’AifiboiriV* Cette
assertion ne peut se cdncilier avec’ ee qui est dit sur/le titre du, reepeil de Vlaming
qt|fcn supposant qu’il en f it fait deux exemplaires., Fun pour.Vlaxning, l’autre
pour Goyett.