danoise, de toutes les hôtes alorsthoumises à la couronne
dé Danemarck. Quelques autées donnaient* dësf mémoires
particuliers dans lest recueils dies académies du Nord subies
poisson»; de leur pay§§'«ttfy joign^ent même qudqües
poissons étrangeES.x'
-* Thunberg insérait des descriptions de ceux qu’il avait
rapportés du Japon3,; et les récolüs. qu’il y avait* faites
servaient aussi de matériaux à des mémoires .de Houtiujré,
imprimés dans des recueils hollandais.5 *
Il paraissait aussi, mais eü moindre quantiff, quelques
mémoires sur des poissons dans les Transactions philosophiques.
6 i
ses découvertes tnicroscopiques-ont rendu si- céIebie jl!aïg<ÏCi^éyqpi^ü^i!p<psst®is
dans la- Zoologia danica, commWcee^êâ 1779» ‘m-fô'Iio"’, e# fsôn* exemple a ete
suivi'pâir'scSr'continuateurs, MM. ABilflgdardt, Viliorg et Rathke. Il a inséré le
catalogué' général de ceûi des pajs' danois ! dans sotè:Prodfàmus tzBofogioe daiiicw ;
ISoperiH'a'gu»^ î^ y^ d n i-» . »u
1. Ctn en trouve en grand nombre dans lês > coilèetiôns >dé*î’aca<MfiBip 'des'
sciences de Stockholm, de Jlk 'stfciété rojale det'Gopenhagüeÿnfes lsf sooiréïje des
sciences de’-*Nonvége. te s 'auteurs'les plus notables de1 ces mémoires sont S'troemîÿ
Bùphrasen 'Brünnich,l,': Strupenfeld^Gissl'ér, Ankarscrona, SFb*tîrtm| * sVdhi$
H o rn ste â tH o lm , Rëtziûs, Mon tin , ëtêi -"■'t
î*J§fi ■ ‘ChartesPierre Thùnbïb.g ;*n?éen 'ryl$ élîefe' de Linnæus, professeur à:?Upsal-.
3 . Mémoires lf€rl’académie de Stockholm, r7 9 ^ * 1 ! ! ! / ! ■ a-aussi -de
lui -une* dissertation* ‘ sur la murène e tT o p l i l c h t e .*
4 . Martin Hocttots, naturaliste laborieux,- mais peu instruit, quif-a- traduit et*
paraphrasé é'n-’hijlîândàis'le Sysiemà) natures; 'Amsterdarff, — 1 ySSjï'j
; 5 . -Dans les Mémoires de la ' isociété des ! sciences d e1 Ha r l e m t . X X p é æMe i
r ffi'd'eanifrédV Gronovius, sur le misgurn, Tr-aris. pÉtil . t>!»X pT ,.^ ^K |y sPa*M
skiüs' >- sut la ymSèèiiip t.'-XLVI, p. Moaftimery Stoefeîzettsdttn&i, îMdi1)
t. XLVI, -p. 5 i 8 ; Farrington, sur la truite des'
Fëigtison ; ' suf la 1 baiftdroife'; 't. IUT, p. J. AHf; S'eMosséry'-stfri. les chàetodon
rosfrâfus f iR1^t. EIV, |».!?§gjp;et LVI, p. i8 6 ; P. Sim-. Pallas^<Stirvlë'toxotes'jifrè.!j;
. fM H p. ^ iy j'M ièh ; îÿson*)'î*ur-'U-n^'|rèt^é'de-dav.B^H;.
p. JlÉfi Daines Barrington ^ sur là truite ,rib.', t. LXIV, p. 3*ios; Thom: Broveh j
tû t Vëk&ixlpib. f!®. IiXVm,p.^gjfc; WifcVVaJsbfa; sur leïsqukle*glauquej t. LXYIII,
'fiiÿ&ÿï Witt. Bell, sur l e choeiodon nodosus, iBtà ï f gS> 'p. >$«i tt
<fÆaisg. «t l’oft excepte BhoùsS&tinei* 1 *3 4 1, peu de Français
skî&cupaierït alorA de iVés animaux d’uue manière scienti-
fiqueiiÇé fut un Danois, Martin J^^ûéùM,cqmlé premier;
oepjifel lus ichjfÿologfstes''dujseizième!*s^èclé, vint examiner
lèsïptfissùoefe delliawsellie. e| dehAdAÉique, ét s’eflibrça de ïës
Bànge®{d’aprèseleos|Ktèî^i’dhXLinnapusY. i I -
; ^.;(ye^aMonhait' !qnelque: indieiafion deij©iUx; jdfe Sardaigne,
mais l'égèrd; èt telle qu on pouvait l’attendre td® l’état on ste
trouvaitiMÔjts l’histbire'naturelld)d^nsi.\Le.,^ d i de l’Europë j
©iules ouVrBages.de Lïnnæus n’àvaieht pénéfbélju’avéh lenteur.
Vérs la fin de cette*-époque, un travail analngnp a'relui
de C e ttia^ a is plus détaillé,,, éjtaitv, exécute sur .les po^ssqnS
de Galliee par* (?orm’de V ^ un autre Espagnol ^■mnt&ine
Pctrra, en publiait nn sur ceux de l’île u’è Cuba, infiniuiéift
plus,précieux.cause, des figures doutai l’enrichissa it.,
1. ^BÎousspxNBs^ Mémwirèfîsur- le v*oïlîer'l académie^dedscihgOMS de'’PaPis!,' 1 7 8 ^
p^^fe^SsuiF'cli'fférenteS'ieSpèceside-chienS deitaier,, r^Boy p. 641, et daiiÿ-leHifouiïiàl
de physique, t. XXVI, p. 5i.
t ^^^ardin^Thenrds '.Bk,iî^^iÿ:pÿofèsseur’S'^S)p®idî^^ofi^jrfèù® depp
màssili&nsis■ CopenhaOT.ê et Leipzig;*«. jS®8;s>int&.S^ , il y décrit assè^ -exacteçlént
eeiïttet une espèces, dont qpelques-'uries'étaiefiémeuveMeS'. Il*-^&fautîpnsVoeiujojp's
çetjfieEf^.saxmojiinpndytui’e ; fsotiuPerca pusilla, par ^exemple»,** nîçst.-cjueitle ’Zeds
aper.'A la fin c s ro ii1, ^jyjujflu c intitulé : Spolia maris Zdriatid ,'<Gm iklenhindique
entrer!treize espièôes, mai's qui -rentrent-en partie dans lek premières.
r 3<(1jFrançois Gitii, ex-jésuite, ajïteurvdeifcjAsriay^naturalt di Sardegna, <eh
quatre .■®61una.es, fêiiar; "'Sassari ;l-dèffi774tl^^77'8. ïï tra^é. des,tpoissons- dans* le
tp®is®èrne , ^h^f^ilassèsss ^en-. abrégéj^s^K^yexeeptetcêAqBdSæegasrde le Thon;\ -iiy
4'. Don Joseph Çdigtinji', régicfôr d,%^ant-Iago", auteur d’un Essai d*une histoire des
poissons et autres productions marines deiîa côte ^ Sa/^'cepsèihnj<]^^Stèbti)Ç de l i o i é ,
en espagnol -, 1788', in-rfàw!®
1 Description de différent ohjeis'd’Ahistoire naturelle, surtout de productions marines,
pa$ â6ip:.^B#ei«APAtaA.,)en'.es;pagi)ioh5'La Havaiae, «78«, petit‘im*^j°, avec soixante-
quinze planches: i (ÿeRtruiwdës ■ ouvragés-les plus-utiles^ à la connajtssance;*des poisfigures,
fort
exactes .oü- ils 'sont'représentésiàH'-