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Quant aux analogies de» ces-muscles, tout ce que Pon peut
en dire, ocjest quede faiseeâu des suspenseurs ^quelque rapport
à.ve,c les stylo-hyoïdiens et les stylo-pharyngiens de
1 homme, et que les transversésisupérieurs peuvent'&e;comparer
aux hyo- et aux crico-pharyngiens j -mais ïee^Pfffeiides
rapports tellement éloignés, qu’ils me peuvent établir de
véritable analogie.
C H A P .-V q C E R V E A U E T 'N ERFS^ B E l$ ï> O IS S O N S. 507
; ^CHAPITRE Y:
CERVEAU ER-NERES DES PO IS SO N S .
Après avoir décrit le mécanisme Ides mouvemfens , nous
passons au, sÿrtem&yles qrgahp^^sitifsJ\^è^t'-à-dire aux
ressorts Jui mettent ce mécanisme en jeu.'
^ ^ f ^ l l ^ m e 'se composé*;' comme dans’ les animâlix supérieurs
, des^eps.extérieurs,. appareil médullaire central
et de nerfs qui établissent leur communication. Comme dans.
MS animaux supérieurs aussi, l’appareil médtallaiye cfentral|
^est-àrdiffie' l’èncéphale et la moennépinière^'nequpe la cavité
comprise dans le crâne et le canal vertébral. ‘
Du Cerveau.'* 1
. Ce! qui,frappe le plus à* l’aspect, du cerveau despoissons,
petitésèct, non-seulement p à r rapport à la
lotahteyiu Jq^ps., .mais par ^apport à l^ iéassfe c^s, nerfs qui
'âC fEie ceï&ëaydefe poissons a otô d^ffdhïïe K'Kuro-éfmdi.é e# déernttaiveetun peu plus
de^détajlrq.uilleurs'j-nuscles, et dans* Ge& derniers temps l’on, a examiné avec \soiii la
idfeteLbuiidîi, de Jieuï’s! ndr-fj A *g*î
i En 168 5 , Collins a. donné ides figtuî^jde cerveaux d’un «ecteinknomÿre depnis-
SBonâÿJinëdiOciemexit idessinées,^^ avec .des1 explications peu' approfondies et peu
concordante«: pi. 6o,.:d’un squid eg pta-êts, d’une tfàié bHdbuheç pl.' 6 2 d’une raie
bouclqe et d’un^angejnpl. 63,,i d’une moruey dîune JamprdLe, d’unef truite etjii’un
ombre ; pl. 6 4 , d’une carpe ; pi. 6 5 , d’une barbue, d’une plie, d’une .limande,
d’un 11 et, d’ûne' sole etjcFeu turbot; plt &ÿ£d’un merlaat^d’une perche, d’un goujon
©t d’dne' anguille ; pl. 6 7 /d’une dorée, d’un épferlân, d;uii& grémwSie’.ÿ id’un hareng
et d’nnspoisSon qu’il nomnoe gîirnet, mais qüë je ne crois pas 1© groiid||)e ; pb 68,
ijfome orpbiè f. d’un saumon, "d?un muge et dfufc maquereau ; pP. 69ySi’un brochet,
d’une tanche et d’une perche; Sa plancKêyo, représente l’origine, de la moelle