c’est-à-dire qu’elles lui fontfairéavec le corps un angle* plus
ou-moins ouvert; les deux couchespostérieures la rappror
cheht.et la cdlleut.-contre- leëcorps. (iliaque couche, ^agissant
séparément,, peut élever pu abaissérla nageoire-suivant sa
direction. Le plus;souvent il sc détache de la"couche posté-
rieure profonde u n lambeau (n.° 4 6 ), qui, portant soir tendon
sur le bord supérieur, devient un releveur spécial de la
nageoire. C’est par la combinaison de ces différentes actions
que la pectorale s’épanouit ou ,s(ûcon tracte. DanslesSfespèeés
ou le carpe Se prolonge, comme dans la:baudroie',,"-ces;mus*-
clés spéciaux prennent plus de développement, v
, Séÿÿont les' couchès.dont nous\avous, parlé d’abord q uw
agrandies par degrés dans les squales, deviennent, enfin'les
énormes muscles des ailes de la raie, desquels forment la plus
grande partie de la chair mangeable de ce^poisson..
Des Muscles du. Bassin. -
Les os qui portent les nageoires ventrales ÊgU auxquels on
applique le nom d’os du bassin, sont.mus en av&ofc ëi.en
arrièff'pavcles muscles grêles inférieurs du -tronci •
dont nous avons déjà parlés Les,.antérieurs viennent defüex-
trémité inférieure des huméraux, et s’insèrent à la;face infér
rieure des os en question préside leur bord ^interne. -Les
postérieurs tiennent au bord postérieur des os du hassin, se
rendent vers l’anus, qu’ils- entourent, et.se perdent sur les
muscles latéraux, ou s’attachent aûx premiers interépineux
de la nageoire anale. Les antérieurs sont quelquefois subdivisés.
Dans les poissons dont les ventrales s’attachent sous
la gorge ou sous le thorax, ils sont fort courts, et s’unissent
assez intimement aux grands muscles latéraux.
297
Ces ns d u^assjp.;sont ibl® Fun verçs l’autre par des muscles
tr.aus^erJs^j^pl^s^^^^su^ ^ce inférieure;, dont une partie
est quelquefoi^§roi*ség, mais qui n’existent pas toujours. La
peÿche, par < exemple, ne les a p a$ |e t ils manquent probablement
idans,.tautesd%W^cps où lés-os,du bassin sont unis
l’un à l’autre par une suture. Us sont, au contraire, fort
développés- dans* la baud^oie^t.iA^eès osjlsont éloignés l’un
de l’a-utri
Les* ôsldu bassin.; r'episvépt des grands msuséléSÆ latéraux,
entre? lesquels, ils sont plaeés, une languette qui les tire de
c@Mt|ia|taisiëBi> général leurs mouvemens-, ainsi que ceux des
os de l’épaule-j' ne sont pas très-prononcés.
D es Muscles'dès Nage&inës ventrales. • ;
Us sont portés par lesvbs,du-bassin;.les abaisseurs, à leur
face .infé^qm^ ;(joijr0v 4 7 et la supérieurè.
Deux,cqqfcjhesÈà chaque face, un peü croisées l’une sur l’autre.
, jcamme- ceüx des pectorales,*■ sp ^divisent en autant de
languettes qu’il y.agle rayons, et plus où moins*distinctes,
selon que, ^efirayons sont plus ou moins écartés et jouissent
de mouvemens plusaisolésv Les plus extérieures de ces ;lan-
guetf es;&( n,-° -, 17:^sp; séparent plus^généralement, et servent
à dilater les - nagëoiréS. : gf
, QeS muscles propres des rayons des extrémités, tant aux
nageoires, pectorales* qu’aux' ventrale^^peuvent être comparés,
aux courts fléchisseurs et aux courts extenseurs des. doigts
des lézards / surtout du crocodile ; animaux qui les ont génér
râlement ainsi* disposés en deux^,couches à chaque face (Je la
main et.du pied, mais plus distincts, et secondés par des
muscles longs, qui manquent entièrement dans les poissons.
. g ^