bosselures en avant,, une au milieu, et leurs parties latérales
sont striées transversalement. I
Je les trouve «ssSfiffir^^K^ïrtsi dans fe ? s« # y ^ p ffu leur
surface est marquée de sillons tortueux comme -ceMe d un
cerveau.
Dans les triglhs« eu voit jusqu’à einq renftemens de opaque
côté, placés à la file'! les uns > des autreiparrondis^
pant un espace qui s’étend jusqu’à la deuxième vertèbreyet
qui «égale presque endonguenr le reste de Fencéphaferffèst
du dernier de ces tubercules quei sort la deuxième pairëdes
nerfs spinaux, laquelle aboutitaux irfÿorisJibreSjqui, dans
ce;g e ^ f 4S®ilÉ:ïàtte®tefe au-dessous’?dè la pectorale. g
On a comparé ces lobes à la petite bandelette grisâtre qui
est placée dans les mammifères en .trave^Jdu^|^ps.-resti-
forme, ou de ce cordon : médullaire qui m: enrarrfè%e du
cervelet à la moelle et borde d e chaque .côté le quatrième
ventricule; mais il faut conyeuir qu’ils en seraient un développement
prodigieux^ |jj g
On voit sur Je fond du quatrième ventricule de légers
sillons longitudinaux qui marquent déjà la divisiion,«.des
faisceaux médullaires dont les ?ext'ernest:s;ei, rendent dans .les
lobes creux et aboutissent ^^«ImurréLet.:^Avi^::.que-j’ai,
nommé corps cannelé, et dont les médians 5se> continuent
jusqu’aux lobes antérieurs c). On y distingue aussi-rfes
linéamens qui paraissent indiquer les origines des nerfs de
la cinquième, de la septième et de la huitième paire.
E n dessous il rfy a rien qui ressemble à un pont ?de
varole ; mais on y voit des sillons qui paraissent distinguer
les mêmes faisceaux dont nous venons de parler. Les médians
représentent les pyramides ; mais on rfy aperçoit aucun
croisement de fibres. Il rfy a point de corps olivaires,
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à moins qu’ouy nauvjehïllerfes, cbcr*ber, dàns les tubercules
du dessus? délia m © eU ^ ^ g | ^maiirfl'Stl'eraient alors beaucoup:
plus remontés^q/aeï darf$ fe» malnfflÉarfeïies'J Surlo^cètés
desda moçlfèj^nidm|fais'ceaiix dite-*,rétiformes qui aboiitis-
sentLauVîéiweléfe i-
- La glande j^buèfeire^Jîfl^é'Sft placée, comme àd’brdinaire,
sous 4e .cerveau, -U. F extrémité ^es4^hfnnwbulnn#^llé'iest
gén^ràlèmenl:,grande7 dans les* ptussOÈÈs p é#de&'appendieeb
membrane|ases *efc sv ascûfèusès déformes* d$v#Bsfe#ïlljj»âeéOiîdl
pagnentesativent^iEles appendice^^ttBpé^fehuit'lfcirt rhnailf?
quaèfeidans les f aies?Quelque!ois,ié©mrféldans la baudroie,*
l’aigrefin, etc., l’infundibulum ^ prolonge en un filetsgrêlé;
et .laglande pituitairesest forbloiimmi-avant. Il n|est [pas plus
faêd'C':.dejæeeonnaîtr.e seaqMage^dïBûs lest pofes’ons qn^dâns
les-ièutres|dasses d’animaux. g
- et' â’&îaï Moellè -épinière. ■
• Lesiinierfs* olfactife*{(.on^o) sortenb desitwbéE(rf'es:iantérîéurs
(c^»|*)rfet très-souvent il encorè à- leur irfcine un autrd
renflement mfem • ils varient beaucoup pour la grosseur; et
la cdiuporftion ; tantôt simplement capillaires, tantôt grés ,;
quoique simples^ tantôt - doubles * où tripléirfoa enfii# ëôtài
posés de fifets pltis? oumoins uokibreuxç réunis èn faisceaux.
Dans plusieurs poissons* ils* se renflent en un ganglion avant
de>’sè distribuer kda membrane pituitâirdrfét ï’on a remar-
qurfque êda arrivé sudout dans dfde^pèees*où il rfy à,point
dê renflement à leur basé erf avant des lobes antérieurs.
Les nerfs optiques (n, rvp&ê croisent au-devant de l’infun-
dibulumi($!rfefc, dans jrfplupart des poissons,* saris s’unir ni
se collerd’un à l’autre, si cç n’est par quelque eellulositéw:>.
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