Partant de sues preüaièrs remeignêUtensV ôns arrive à M<éfs
déterminations : assez démontrables'des" autrës ô%; mais Un
arrivo aussi r comme dansées ^oiSekux et lés reptiles,' à • la
preuve que leur nombre n’esfrpas le même que5dàns«lë~fétus
humain, et, qui plus e'st, nous verrons qu'’ilf?n’estipas^CDns-
tant dans lës? différera poissons.
On recofmait aisément* îè^ deux p a riétfivx (n;° 7) derrière
les frontaux, mais ils ne se touchent que rarement* 1 ; presque
toujours ils sont séparés-Fun de l’autre par Fosimpair’fm0 8),
duquel s’élève l’épine occipitale, qui est très-grande dans
beaucoup de poissonsy,\et s’y prolonge souvent en avant
en une vraie crête Sagittale ; dans cellMs^onust tenté naturellement
d’appelèri eef és'impair- interpariétala; mais' quelquefois
aussiy comine dans la carpe* les pariétaux.se'touchent
sur une grande partie de-leur longueur, et alors^l’os-en
question est en arrièrnd’oux, et pourrait être regardé comme
un Occipital îunéAÉxr; son rôle ressemblerait alors beaucoup
à celui qu’il joue dans la tortue. 11 y a. des poissons,
nommément dans la famille des silures? ou les pariétaux
manquent tout-à-faît, èt sont remplacés, piar un plus grand
développement d ë c e th s impair. •
^9Ge dernier a tébjburs àr^ies côtés, comme d^hs’ cefte même
tortue,»deux paires d’os qui forment les parties latérales de
l’occiput, et qui répondent rigoureusement à ceux due j ’ai
appelés, dans la tortue, occipital externe (n.! 0) *et ac'oU
p ita l latéral (n.9 40 ).
de ta "base du crâne. Par ce nom S’os de la. base (Grundbeid) j,'* M. Meckel entend la
réurlioh"dh basilaire, du spSénciîJé et dés os,latéraux q/pVÿÿ,.attachent
1. Ik-paraH qu’enfin toutd em onde, et même en dernier lieu M. Geoffifcgr,':est
aussi d^cçord surdès pariétaux,
•. 2. *Mt .Geoffroy, a .fini. par. nommer aussi cet os interpariétal) et je ne rois pas
nue personne s’éjoigne de cette,idée,,,' ;
vSM’on aimait mieux appeler fos impair dont j ’ai parlé,
interpanétal, les'deux éé#pitaux ’externes pourraient être
conSidéfésicomme 's iin$obeipita>l ‘sMpèAeur. divisé en deux1 ;
'forment chacun le /sommet la première crête latérale
du crabe, celle que j’àppelle intermédiaire, à laquelle s’attache
une dès apophysèS* dwsnrscapulaire. Dans l’intérieur
dimérâne, d^occipi-Utl lat©K&k(nv° 10) donne souvent une
lame qui shunt à celle <fé son correspondant pour Ifeimer
unplancheu au-dessus sdestsatcl^ôié sont renfermées‘les pierres
de -l’oreillei B a quelquefois.* une* conformation -singulière!,
notamment dans la carpe* où il est percé d’un, grand trou.
U m éip ita l inférieur ou basiléirë (m9 5) occupe sa place
ordinaire, et c|ëst. entièrement à lui qu’appartierit la facette
articulaires; en forme dë cônu creux, par laquelle la tête
s’attache a u ’corps-’de la première : vertèbre ; ; mais les deux
hitrês petites* facettes qui, dans1 un grand nombre d’espèces*
coneourent à l’articulation de la tête avec leS facettes articulaires
de cetjtç même vertèbre, appartiennent aux occïpù
taux latéraux (n.° 10).
’îî De chaque: côté du sphénoïde, eu.avant de Boecipital
latéral et de Finffrieur, s’élève W grande aile ou aile tem-
pora£e (n;° 14)*, qui va toujoursï<Tsfe joindre par une suture
au frontal postérieur (n& 4 ) 9, et ^fournit, î cUnjointemènt
l ï i p , une facettei articulaire à temporal. G’est par
un trou ; ou par une" échancrure de? cette pièce, que passent
les. deux dernières branches de la cinquième paire. Il arrive
I :«4. ,M. Geoffroy* a atf«sîfàdbpté' cette- détermination, et nomme ces deux paires
dté^Mioiüpital^Xiestocdpitah M. Bojimïi’&àppelle l'occipital externe/ inlerpariéial.
2 . M. Geoffroy', qui- a a-dbpté enfin la-même determination /iVriôirrme ptéréal.
îïoutjle ü o n d e parait mainiehant âfaceèïÉ^bfc^eVùs»* s ie e .p ’estM. Rosenthal et
M. - Meckel, qüiMe prenneîrtpoiir le rocher.