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pendant le dix-septième, une heureuse nécessité»âvait portée
à étudier l’anatomie des animaux!.*
’ L’un de; ses- plus habi^f$; maîtres*, Fabricius d’Aquapen-
dente- .entra, dans quelques détails sur la ^énéiàtïon de's
poissons- et sur leurs, ^c^illgs} e,t, donna , une description
anatomjigpç ue l’ésrrfssqïe^«*
Çasserius SA son élève ^et. son successeur y hti connaître
beaucoup Qe* faits mteçessans sur le cerveau et les* ergânes
des sens de‘ :çes animaux, et particulièrement sut leur! 1 * narines
, leurs yeu.x, leur labyrinthe membraneux et les pierre'S
de leur oreille.
c Severinus^ dans sa Z&otèmia dem&critèehtyen -jetant i lés
fondemens d’une anatomie générale des animaux,.posa aussi
eeux de l’anatomie "des p’oissUns 5; dank?sbn * À fàttp^pm ias
il chercha à prouver que les.p ^ ^ n s respirent l’air contenu
dans l’eau, et meme, d’aprèsdsfefr,idées sur l’uniformijtSde
structure dans tous/les tanimaùx, jJ,‘ ^ u tin t oiiiüfsv onf*hun
poumon indépendamment dès leurs'brandbiëË*; 'mais ^ prit
les reins pour cet ôr^aiîé? '■
1; Voyez Halieh , Bibl,‘ (èjiati’, ;r.r' pjht.
S:. 'VérWne.PiNaavs, né à Aquapêndente, blffièmsT'hlldpe, Imaître diè‘~Æti^êy‘!
professera- a. Padóue-de
3 . Jules CASsEiqus, de Plaisance, successeur < ^tâ3|nei®à|Pl(JpSe; -morf en rtrip£.
a publié deux ouvrages 'très-remarquables pour temps : De>-mcifJffîffiiû,sqii'e
organis historia anatomica; Férraré^-iôdo, ï vól.' \n'AàB&Ç ei'DïnifsicêsWlbhyTidc^esï
de quinque Trësf'dai^lèiifeinierJqu’il*déc1-ifeet rU|i£ésent^
j . fj4 et g5 , le cerveau, les ôrêiUës é i t^ ^ a r iô Jes>dü^br0&Wét;|fl|SnS le”sêe&if®JP^-
donne l’oeil., roais<moin$ exactement,
i._Marf-Aurèle Sevemhds, ne à Tarsia, en Calabre, en K $4/p f5ffe‘sêuï’a,'N^les
en }Gio, mort dans cette ville en la jq. S^Avmffît^lJeiêw'crïteai’fflpïïmjéèé à
Nuremberg par les Soins db ‘ VolJMh'er, i 6if5^ 1 vol. petit in-4.°V‘‘éstrlë<péerinîër
traite général 'et philosophique d’anatomie cbrrîparéeJ:!'il''y ‘döifna'des' fiSte's Sur
l’anatoirïie"‘d’unê douzaine de poisson^, aîfècV'quelques 'figufes’ de viScères gravées
grossièrement'êÉLbôis1 *. Son Ahiipeiipalias, heit 'et? rèspirmïSrîk “''piScfum, parut Seulement
en 1661., à Amsterdam, en un volume petit in-folio, salis figurés.
HI»SïTQjIRË -]$BV l ’ i CHTTOLOGIE.
'B e t é ^ / dans-.son traité;,TDb mo$$$nimatium % txiposa
le ,mécamsjÉieirde la natation, ef fit connaître l’usage de la
vesSîe mata toire.. ,
Malpighi5 décrivit le singulier?;plissement de la substance
médullaire du! nerfipptique^ qu’il observa surtout dans le
xiphiasi-sifA;
traita, du* eepveàu, de,, l’oeil |eà;de^dents du
sjpiafeéjif&t donna ip^ë bonne! description des visberes, de la
raje 6 * 8^et dè^enx dec la torpillé» SvdWt on avait aussi une
description spéciale par L,of^mAnhJ;pM
S$p|sprit de cette- école fut porté en Angleterre par Harvey 9j
^MNapIes en 1 jj=r IjPiSet et à Florence ,
ni^yfc.9 lionie.cn 1679, l’un des fondateurs de l’école des iatromnthématiciens, qui
c l^ ^M ^ ^ lla p p lS u a^ jd d g calculs exactstjau» j^énpiçiènes^de l'a physiologie.
,.2ri D^inoiT^/inimcdiurh, f i p ^ ^ p M s t l m m û m , •
né pVè^d^BpIpOT^ §iÈbé§;l%t'PrbfeSseû>j ABolpgneyà Pise,
a Messi^é‘,{/qtîpïcr{n'ê]^^ege^^d’Inn!GÎeeï|t XII,,rt^or5PaB>l^^'e^e<ÿï'^f^âcompte parmi
a^ » t e unHf3a>{ps «JSîjo.u.^? 1 to* sur ia s trjicjtur e îdés, Oifsanes\üeir^dés,plis du nerf Optique
d^j^§iks,°jas^j;(î ü'li -d« çri.x ijjjjÿf n 1664, sur ^ xiphiaj>y dans une ^lettre ^dressée, à
^P^^^^^eJle'ps^r§jjniprimée«da]|s^e& 0&]|re^GOnapïète.s.;. LoAdres-j 1687. 1 voit
bi^jqlio. 1 y
t ,, né. en i,§3 8?^, dÂyenu^éa th ôli qite A Floa-pnce
en ,, précepteur(,4u fds du gran,Ü-dua,,ipEofes,Seurtl'<4îanatorçiie,i évèque in par-
- tihüs.f ‘eteï-*,?amdrtï,à. Schwerir^ eii - airfejïâ|,de, plusieurs ..éeraitsysra A’Unatonüe
m|iÿ^j0logiqae§ publiésiy(p%Ban©marck,. en^France^et^n Italiet ^uji
5. Dans lire dissertation à la suite de son Elemenloruni mjologioe speçirftenj
îFlqggrice«, et r'ginîp’rim^'êjdans Blaiius, p^aliSlef,suivantes. ,) i
6. Dans soi» Ep i$ to lc f\»raias anaieme^tfaïntefrèb soï^traité De glandulis.et mus-
culis, etjéimprunée. dans ‘Blasius, p! et5’suivanfes.yjî
î^t'Pansilesc-jfcï.j medieV^ Hafn'.-, 1. IIiÿ'<jbs.jv88. <. ,
8. Qsserçaziom, iniorno aile ioipeàini, faite da Stefano Lorenzini, Florence, 1,6,78,
iû-.4,°, ej en latin dans,les^lWiwre|AiB(5rf., I , arm5 g*et îcT, obs. îya ; réimprirné.
es|d^ns;--Pa^e72Vrn,_a4 iparfa^ pi,2 1
19^îtGuillaume HARVE^ÿ.né( A?.Fol>kstone, dMi%l^cqmté de Kentw en 1577, mort;
en V657, médecin des rois Jacques I er et Charles I.cr, l’illustre inventeur de la cir-
culal:ipn: générale, était élève de Fabricius d’Aquapendente. On voit même True.ses
découvertes sont une suite des idées de son maître.