mftis de mantere à ee qilt’une fois que Mobl a bien sai^i c©
premier type, il est toujours facile de les y ramener. On y
reconnaît aisément une grande analogie avec les crânes dep
reptiles et des, oiseaux1, dont il n’est, pas difficile d’y retrouver
presque toutes les parties, e t ,c’est ce dont on aura la preuve^
si l’on veut bien examiner avec nous un de ces crânes, celui
de la“pêrcbe commune, par exemple : lës âùtres acantbop-
têfygieüs pi^èdënt tous‘lés'mêmes ob, et ne diffèrent les
ùns des autres-que pat* lès proportions de céS os et telles
de l’ensemble c’eïft pourquoi aussi nous nous bornerons à
décrire ëêS'oS; génériquement d’après leur nombre, leurs
connexions'et leurs fonction^’, ‘sans entrer dans les détails
dé leite edbflguration, qui seraient purement spécifiques.,
et ïte servirateht qu’à rendre nos indications plus difficiles
à saisir.
A fat face supérieure, le fro n ta l prinèipàt (n.° 1 ) forme
la voûte de Forbile et la partie antérieure dé celle du crâne.*
Il a en ayant et en arrière des Os qui forment les piliers
antérieur et postérieur de l’orbite, et qui répondent aux
frontaux antérieur et postérieur des reptiles.
Les fro n ta u x antérieurs (n.0Ü) forment le pilier de devant
,- et laissent passer entre eux les nerfs olfactifs,, comme,
dans tous les animaux où ces os existent ; mais Vethmoïde
(n.° 3) formant ici une cloison verticale, c’est entre lui èf
le frontal antérieur, par une échancrure de ©e dernier, qu^
passe le nerf de chaque côté, très«souvent même -c’e#* par
un trou du ftontal antérieur,,,et non par. une échancrure;
1. Oa doit consulter sut te crâne des reptiles, les chapitres oif-je l’ai décrit, dans
mon Traité des ossemens fossiles, i. Vÿ 2.® pa*t.
2 . 11 ne- parait y avoir qu’une opinion sur Get os; tons les auteurs le reconnaissent
comme nous pour le frontal.
maii eet *m n’en est pas moins toujours reconnaissable pour
ce qu’il est. Dam le congre ét l’anguille, il reste toujours
•à fietat cartilagineux, et disparaît quand les >sqüelettes sont
trop maeérésit ^ e frontal antérieur a à son bord inférieur
une facetfe pomr le palati n (m° 2 2 |, et' souvent en dehors
de celle-là d%è autrdpour le premier sous-orbitaire (n.° 19).1
J Le fr yM a t postérieur (xi1'] 4 ):forme le pilier postérieur
de l’oibite; et s concourt à fournir une articulation à l’os que
j’apspêtlé,temporal f n A i S ^ 5 .
< L’axe de la face inférieure est occupé’, comme à F ordinaire,
p a rle b a s i l a i r e et te sphénoïde (n.° fi).'Le sphénOïdfe
«e prolonge en avant|ifeiC0mme dans les oiseaux, en une
apophyse longue, qui sert de base à la clorson interorbîtàire,
laquelleresfe le plus souvent membraneuseiffp
...4 ■ M» s ém eut à ë p » sy^àme;-géwï'a% fptwt dans le f r é t a i antérieur
paiMçmsjnin, laçp'mal, . et M. nm o s plpnem.-v-ÎJojjks avons à opposer k
t ‘(.s,Ydf < v l™TÎioii( s roîsÆiwjTi^ri<nis%>oi™(l(‘jà donp&ejf‘dana nplre Ostéologie
Au crocodile (<ÏLéûherxhes sur les os ymsMg-s, t. V , ‘Q.c part., pi 6j}y JS où «et os e xiste
é|3^n^d|p cagtilpgineflx., jpi’il enveloppe 'po^pa^ la ’partie au^oeui*
du' fronumenvrlojppe jSïtnmpidp des rurpinans. M. Bmqnpsi, pajtapt sans,do,ute
dû. trou qu’il a dans ’pjbsieurs plissons pour le' derrbTractif, en Taif ïmêlârrTe
eribleuse de l’ethriibïdè';1-' m a is ’cetteTapinjon, qui à’a'paS fcéfAoiffefl 'daas toutes
les,,esjpèces..est, réJqlép.ji’aiiLeurs parties ,apt,pes Rapports ,dg, ce( os avec les os
Voisins.' Quafflt à M.J Rosenthpl, qui le gj^se comme partjeiuk maxillaire supérieur,
o-è^aft-'peut expliquer--son 'idée 'que par la suppositibii 'qu’il •*niavait pas
étudié lqs foptüçs, piide frontal antérieur .|!s%sép,aré du maxillaire par un lacrymal.
M. Geojfrpy etJM. -parus appellent cet os ^lacrymal. commq M. Spix. M. Bakkey
détermination, mais il nomme l’bs pd à fu f, oréûqlJ
2. Les auteurs varient beauc|jdj) sur es frontal postérieur. Selon M. Rosenthal et
M. Bo-j-a-n-us , -e’est la -partie écaitteuse du- -tempora 1 r Selon-M. S pix, c’est une partie
diu yttgàl. M. Ba tter en fa;itîfes?dîa rodberi M« ®ÿb®oysuît î’idéé de MM/Bbsenthal
et Bo.janus, >et nomme eet ëk iemporalJ'
■’3^'^iîr l e .basilaire %t sur le spfaéhbïde-jiostérietir to ü tle mondffiparaît'dmlcoïd i;
setflenient M* Geoffroy établit dans le premier une division transversale que jè lie
puis y voie. Il -nom-me l«î,sègtoé&t jsoétâmiexirPbeisisphénal; otofphénat ;
lé sphénoïde, hyposphénal. M. Bosenthal donne au sphénoïde le nom vague dVs