sont situés conqpe dans tousses inaoem®r^ 6t les reptiles ;
lès intermaxillaires ;(mM7)’Siir Ibïdesvaiat de la mâchoire*,
a ^ « e n de mobilité ; les maxillaires ( n.H 8 ) sur les côtés-,
jusqu’à ' la commissure, affinés' de dents qui continuent la.
sérfo'des dentsintermaxillaires. De,chaque côté, en dedans
des dentigmaxillairesl èst, une ia te n jc rk 'd e i dents- appartenant
au palatin, leoiætme dansJles*serpem, et auf milieu
il s’en tronwtuiieidjandé adhérente àuieeli i^llongiliidikial
qui est, comme nous l’avoéis d it, Iknalogue du vomer.
Létte structure se1 retrouve dans • les ; épérlans yîèsiombres
ou* eorégonèsi et - dans toute la famille des * dupes* ©dnsle
polyptèré’; lk ressemblance l’avec ‘des mammifères'1' *et les
^ptilès enèore plus loin ,;sf 'üçl maxillaires' et ^àdfftér4-
maxillaires sont attaehés^fixémenftæt sans mobilité au reste
de là tête.: g *■
s 11 y a des stTuetuïfcs plus ouMoins analogues#dànsfdw®is
autres genres; mais dans le plus grand nombçe-dèSipoissonsy
notamîooent dans! les cyprins et fflans presque tousdèsra&n-
tboptérygiens, \Hnterrmqxülaixef{xu 17) dorme la presque-
lotalité du bord de la mâcboffe supédeï^erjL e t se ; meut en
faisant glisser une apophyse* montante ;dévant rextrpiruté
antérieure du crâne, formée^ïàinsLque nous d’ai&hps* dit,
par deux ^analogues à. l’ethmoïde et! aUevonfer
(nJLÎ6). Le m axiïïairç (n«e f&)4est placé ^paralfolementvà
l’intermaxillaire,et forme.ee qu’on appelle^çpmmuqément
Xos labial, parce qu’il porte quelquefois un repli de la peau
qùi..rçprésente une lèvre, ou Wo^d^es, r^st(^çers , parce qu’il
représente une sorte de moustache, et parce que cet-os se
prolonge quelquefois en un barbillon*, charnu ou véritable
moqstache, comme: 6ela se voit surtout dans ,les silures.
Cet os maxillaire (n.° 18 ) s’articule par des articulations
CHAP. I I I . OS T É O’L G OM E DES' POISSONS. 247
mobiles à d’intermaxillaire (n.ü:17[)^ à une facette saillante
du vomer (n.° 16) e1?ti une> âpophysemn peu courbée de l’os
palatin Æ’esté ainsi- que llost intermaxillaire, l’os
maxillaire et» le .palatin ave®' l’appareil qui est attaché à ce
dernier meuvent lesvaioas sur les -autres* et sur le crâne.
Le maxillaire ( nv° i’&Jïifo subdiviseiquelquefois en deux ou
trois lipiègès^t comme dans des harengs ,; ou même en-un
beaucoup plus.; grand nombre, comme dans le lépisostée.
L’intermaxillairey(qôl 7). lui-même a quelquefois, sonapo-
physe montante distingué,e du .reste de son „corps par une
suture1 $c’estücépîqued’on voit nommément dans le cernièr.4
fe s cyprins ont quelqüeichose de plus particulier dans trois
petite os placés entre cçux^de la mâchoireietde crâne,-èt sur
lesquels nous reviendrons à- leur chapitre. !
j ’■'-G’estS en général de la forme des'; intermaxillaires*que
dépèudVcelte1 du museau Mes ‘poissons, tantôt'ablati horizontalement
,î ou comprimé p a r les éoÉééf;V tantôt obtus ûü
arrondi; tantô,tfâvàrieé;au-dela de la boubhej eU proefténencè
plusj ou- m$ins\s^ulla%iey*'et quelquefois même ’ éhorme|
eoiâmejdans les'saphïasi; tantôt-s’alongeant éii foêMétèmps
que la mâchoire inférieure.en une dans
i . ’pendant quelque temps que l’os labial réprindaït -jè’esif cjaïis
ee système que '5ÎVFi^cl^erj ed a parlé dans stpn «Traité 58e. l’os iq tenjiax'iUaire y où'il
paraiVregarder l'extrémité antérieure*du crâné- eoname^rép.QçidanJ;.à 1^,nj^c|iojre
supérieure'. M. Spè^J^^li'dp'pté de M.'Fiscnériparfrapportsjâ^gè dei'nïer
point, rnais^ÿ veutq-ue le labial me soijt qu’un démembrement de l’intermaxillaire,
„C’est en 181 i que j’IS reconnu le labial pour ce qu’il est, en l’observant dans les
truites, et je,-jf6tti.qaae éfettè* opinion a? été adoptée d'epuisvp’aï totis- Ife's >iàs tpol ogistes,
excepté M. Rosenlhal. Elle est-en effet évidente;pour qùiconquç’cofnmeneel’étude
dé i Cçt 1 ©s dans - la Jruite et les| autreà* espèces,- Où- il -fait partie -dît:bord de là
mâcbbire. . * ~ - :
.-2. , pet|e( appphjse,.ainsi séparée'lqug! M. Geoffroy prend pour-'le cornet
inférieur du nez, et qu’il nomme rhinosphénal. jj|